| Parfum de livres… parfum d’ailleurs Littérature, forum littéraire : passion, imaginaire, partage et liberté. Ce forum livre l’émotion littéraire. Parlez d’écrivains, du plaisir livres, de littérature : romans, poèmes…ou d’arts… |
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| R.K. Narayan [Inde] | |
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+7Marko Aeriale Amapola Bédoulène eXPie Arabella domreader 11 participants | |
Auteur | Message |
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Aeriale Léoparde domestiquée
Messages : 18120 Inscription le : 01/02/2007
| Sujet: Re: R.K. Narayan [Inde] Mar 6 Aoû 2013 - 20:23 | |
| Ca fait très envie! A te lire j'ai déjà hâte de me le procurer. J'ai offert le dernier paru chez Zulma à une amie (Le magicien de la finance) pour lui faire découvrir cet auteur atypique, dont j'aime tant la malice cachée subtilement derrière cette sorte de candeur feinte. En attendant, je vais voir si je trouve celui-ci, mais ce n'est pas si fréquent de le trouver en bibli. Merci en tout cas pour la piqure de rappel, Arabella | |
| | | Arabella Sphinge incisive
Messages : 19316 Inscription le : 02/12/2007 Localisation : Paris
| Sujet: Re: R.K. Narayan [Inde] Mar 6 Aoû 2013 - 20:50 | |
| C'est un excellent Narayan, très fantaisiste, il s'y lâche vraiment. J'ai eu la chance de le trouver en occasion chez J.G., en fait la plupart du temps quand j'y vais je regarde si je peux trouver cet auteur, et je suis repartie comme ça plusieurs fois avec des livres épuisés. Et celui-ci était dans un état quasi neuf.
Si tu ne trouves pas, je peux cercler. | |
| | | Aeriale Léoparde domestiquée
Messages : 18120 Inscription le : 01/02/2007
| Sujet: Re: R.K. Narayan [Inde] Mer 7 Aoû 2013 - 15:20 | |
| Tu as eu de la chance! Moi aussi je zieute toujours chez GJ quand j'en ai l'occasion, et je suis tombée gagnante quelquefois.. Mais je suis partante pour un cerclage, avec grand plaisir même | |
| | | Arabella Sphinge incisive
Messages : 19316 Inscription le : 02/12/2007 Localisation : Paris
| Sujet: Re: R.K. Narayan [Inde] Mer 7 Aoû 2013 - 17:45 | |
| J'ai quand même plus d'occasions d'aller chez, J. G., cet antre de perdition. Même si je tente d'être raisonnable. Pour le cerclage ce sera un plaisir de partager ce livre, dis-moi quand tu le veux, il me semble que tu es sur le départ pour les antipodes actuellement ? | |
| | | Aeriale Léoparde domestiquée
Messages : 18120 Inscription le : 01/02/2007
| Sujet: Re: R.K. Narayan [Inde] Jeu 8 Aoû 2013 - 8:45 | |
| Oui, on part demain pour la Savoie, mais on ne rentre plus à Nice avant le big flight. Alors ça peut attendre septembre Arabella, merci | |
| | | Arabella Sphinge incisive
Messages : 19316 Inscription le : 02/12/2007 Localisation : Paris
| Sujet: Re: R.K. Narayan [Inde] Jeu 8 Aoû 2013 - 10:39 | |
| On va attendre septembre alors. Sauf si quelqu'un d'autre a envie de lire ce livre maintenant, et dans ce cas je suis prête à l'envoyer de suite. Des volontaires ? | |
| | | Heyoka Zen littéraire
Messages : 5026 Inscription le : 16/02/2013 Age : 36 Localisation : Suède
| Sujet: Re: R.K. Narayan [Inde] Jeu 8 Aoû 2013 - 19:45 | |
| Ça me fait penser que je dois te transmettre ton Figurec Aeriale, après ses deux ou trois ans de tour de France. | |
| | | Aeriale Léoparde domestiquée
Messages : 18120 Inscription le : 01/02/2007
| Sujet: Re: R.K. Narayan [Inde] Jeu 8 Aoû 2013 - 20:19 | |
| Impec pour Septembre! J'en ai pris un en attendant avec moi : Le guide et la danseuse Et pas de souci pour Figurec, Jeyoka. Du moment que tu l'as, c'est bon! | |
| | | Epi Escargote Zen
Messages : 14255 Inscription le : 05/03/2008 Age : 64 Localisation : à l'ouest
| Sujet: Re: R.K. Narayan [Inde] Jeu 8 Aoû 2013 - 20:22 | |
| Ah ça me donne envie de me remettre à Narayan, surtout que j'en ai encore un dans ma PAL, je ne sais plus lequel d'ailleurs mais peu importe, j'en attends que du bon. | |
| | | Sigismond Agilité postale
Messages : 875 Inscription le : 25/03/2013
| Sujet: Re: R.K. Narayan [Inde] Lun 19 Aoû 2013 - 1:14 | |
| - domreader a écrit:
- Le Peintre des Enseignes
The Painter of Signs R.K. Narayan
- Spoiler:
Voici un des romans de Narayan qui se déroule dans la petite ville inventée de Malgudi. Raman y est peintre d’enseignes et il met un point d’honneur à peindre ses enseignes avec grand soin en utilisant la calligraphie appropriée selon l’enseigne, sans faire de fautes, en accordant la couleur au sujet, etc.. Car Raman est un homme éduqué, qui a été à l’université. Il a un cercle de connaissances, avec qui il boit régulièrement thé ou café en échangeant ses opinions politiques ou philosophiques sur tel ou tel sujet. Narayan nous introduit dans la vie plutôt bien réglée de Raman et de ses routines en y mêlant nombre d’anecdotes savoureuses sur la vie à Malgudi. Raman vit avec sa vieille tante très pieuse qui s’occupe de tenir le foyer et veille à ce que Raman soit bien nourri, elle aussi est pourvoyeuse de nombre d’histoires sur sa vie, celle des voisins ou autres habitants de la ville et elle prodigue un déluge de conseils à Raman. Son rêve est de le voir se marier avec une jeune fille qui conviendrait. Mais voilà…Daisy apparaît ! C’est une jeune femme décidée et libérée qui travaille pour le planning familial et qui est chargée de faire la tournée des villages autour de Malgudi pour y développer l’utilisation de la contraception. Elle voudrait que Raman peigne des enseignes ‘éducatives’ qui seraient apposées à des endroits clés dans les villages. Raman part donc en tournée avec elle et se retrouve littéralement ensorcelé par cette femme qu’il veut épouser. La suite est bien sûr à découvrir…. Je vais poursuivre ma découverte de Narayan car je me suis laissée vraiment entraîner à Malgudi où l’auteur nous met à l’aise en nous contant des petits riens, en nous installant patiemment au milieu de tous ses personnages. Je trouve vraiment rare d’avoir la voix des personnages qui résonne longtemps en moi après avoir refermé un livre et pourtant c’est ce que Narayan réussi à faire avec la vieille tante de Raman, qui n’est pas un personnage central, et pourtant elle s’est imposée à moi pendant un bon moment. Elle représente le côté ancestral, sage, la tradition à laquelle on ne doit pas déroger, et Daisy c’est tout simplement le progrès, la nouveauté bonne ou mauvaise. Quand à Raman, il a bien du mal à se situer au milieu de tout cela. N’hésitez pas à découvrir Narayan si vous le pouvez, puisqu’il semble que ses livres soient rares en français, c’est un conteur et un enchanteur.
- Arabella a écrit:
- Le peintre d'enseignes
- Spoiler:
Domreader a très bien résumé ce roman, je ne vais donc pas vous répéter les mêmes choses. C'est un vrai bonheur que de suivre Raman, adopter son rythme, jamais pressé, toujours le temps de regarder autour de lui, de voir les gens, les petits détails du quotidien, de boire ou manger quelque chose. Il est l'observateur privilégié d'une communauté, d'un quartier. Et lorsqu'il voyage avec Daisy, il porte me même regard interessé sur les gens des villages qu'ils traversent, sans jugement, avec de la sympathie, prêt à accepter les gens qu'il rencontre et ce qui lui arrive tel quel.
J'ai eu la sensation que sa philosophie de la vie devait être proche de celle de l'auteur, qui dépeint son personnage principal et tous les autres, avec une indéniable tendresse, mais aussi avec d'humour beaucoup d'humour, n'hésitant pas à se moquer gentillement de ses personnages, comme Raman est finalement prêt à se moquer de lui-même. Les passages du voyage sur le char à boeuf, ou celui dans lequel Raman craint d'être arrêté par le police et pour tester ce qu'il risque s'approche de plus en plus du commisariat, sont vraiment drôles.
Une belle découverte pour moi, et je vais donc continuer à découvrir cet auteur, dont on trouve encore heureusement des livres en bibliothèques.
- Epi a écrit:
- The painter of signs
(Le peintre des enseignes)
- Spoiler:
Raman est célibataire et vit avec sa vieille tante, qui s'occupe de lui depuis la mort de ses parents dans un accident. Il peint des enseignes avec art et passion et mène une vie tranquille, entre les visites chez ses clients et celles du bar où il rencontre ses amis tous les jours, et, surtout, éloigné des femmes le plus possible.
Mais voilà, pour son travail, il rencontre Daisy, responsable d'une antenne du planning familial et l'accompagne dans sa tournée de villages où elle tente de persuader les gens de faire moins d'enfants. Raman va tomber bien sûr éperdument amoureux d'elle.
Mais Daisy est complètement indifférente à son charme la plupart du temps tout en lui envoyant quelques signes d'intérêt de temps à autre. Daisy est aussi passionnée par son travail, sa "mission", elle veut aller jusqu'au bout de ses convictions et ne fait aucun compromis. Elle est moderne, et refuse de se plier aux soumissions que connaît la femme indienne traditionnelle. Elle aime sa liberté et son travail par-dessus tout. Pour elle, sa vie est toute tracée, elle n'a qu'un but : convaincre tous ces villageois que les familles nombreuses, c'est terminé, qu'ils doivent se contenter de deux enfants maximum. Personnage un peu rigide, sans grandes nuances, exact opposé de Raman qui lui ne cesse de se poser des questions, de s'adapter aux situations, de rêver, de rire, de vivre sa vie intensément.
La passion qui le consumme ne l'empêche pas d'avoir un œil critique sur lui-même et sur sa dulcinée, mais sa lucidité ne lui sert à rien et ses résolutions ne tiennent pas longtemps. C'est un homme tout simplement, avec ses questionnements et surtout sa soif d'amour, au début complètement niée puis peu à peu si dévorante qu'il en fait des tas de bêtises. Au contact de Daisy, toutes ses bonnes intentions tombent, les unes après les autres et cela donne prétexte à des scènes comiques telles que celle du chariot et celles qui en découlent, sa peur d'avoir été dénoncé, sa visite au poste pour voir s'il se fait arrêter… Un vrai régal.
Ici, les rôles ne sont pas conventionnels et la suprématie du mâle en prend pour son grade. C'est Daisy qui mène la danse et Raman, amoureux, n'a aucune volonté devant ses exigences. Daisy est une femme libérée et représente l'émancipation de la femme. Au contraire, la tante de Raman, qui apparaît tout au long du roman, représente la tradition, religieuse et familiale.
Entre tradition et modernité, Raman doit faire face à ses contradictions, il a des principes mais peu de volonté à les respecter, ce qui lui donne des remords mais il s'abandonne avec facilité à son amour, prêt à accepter une vie qu'il n'a absolument pas choisie.
En toile de fond, la vie d'une petite ville indienne, admirablement reconstituée, avec ses commerçants, les voisins, le temple… ainsi que celle de petits villages où les idées nouvelles n'ont pas encore fait de percées. Les nombreuses scènes de rues, du quotidien, sont fortes et imagées, ce livre est un vrai dépaysement.
Les tribulations de Raman permettent de peindre une certaine Inde et surtout d'aborder le problème de la surpopulation et d'une tentative de contrôle des naissance initiée dans les années 70 ainsi que l'ouverture à un mode vie plus moderne. Mais cela est fait avec beaucoup d'humour, de comique dans les situations, de légèreté même et les excellents dialogues sont un pur ravissement.
Beaucoup d'émotion aussi, surtout à la fin, quand l'auteur laisse un peu plus longtemps la parole à la vieille tante qui décide d'aller mourir à Bénarès.
Un roman extrêmement agréable à lire. Le premier de Narayan pour moi mais certainement pas le dernier.
Juste quelques petites considérations succintes en guise de commentaire, car passer derrière domreader, Arabella et Epi est redoutable (que dire de plus, qui fasse apport ?), à supposer que ce soit seulement envisageable ! Livre assez aimable, digeste et fort bien tourné. 200 pages troussées sans pesanteur, l'ensemble est enlevé. Les petites touches d'humour atteignent leur but, il y a beaucoup de tendresse pour les personnages, y compris les très secondaires (comme le conducteur de char à boeuf) ou à peine évoqués (comme le vendeur de livres...). Le final tragi-comique lui-même ne se soustrait pas à cette délicate peinture, non pas d'enseigne, mais de moeurs et d'amours contrariées sinon impossibles sur fond de choc des cultures, point "politique", ou du moins "à message pouvant faire débat" qu'on peut retirer de l'oeuvre, sans la réduire à cela, ce qui serait passer à côté du livre. A noter que sur ce plan-là Narayan observe, brosse le tableau (celui de la mutation d'une époque et de l'interpénétration des cultures, en somme), et ne tranche pas, excellente attention évitant la réduction par instrumentalisation de l'ouvrage. En ce sens, ne serait-il pas comme Raman, qui peint ce qu'on lui dit, mais préfère toujours choisir la couleur et la calligraphie, dans la mesure où il le peut, ne pas se les faire imposer ? Je me contente de suggérer le point en mode interrogatif, ne connaissant pas assez l'auteur et son oeuvre pour élucubrer plus loin ! J'aurais aimé, je l'avoue, une Daisy (parfois sèchement caricaturale, mais c'est le jeu, Raman aussi !) plus complexifiée, et surtout davantage dépeinte de l'intérieur, plutôt que depuis les yeux de Raman. A noter que l'autre personnage féminin, la tante, ne lui cède ni en grandeur, ni en volonté de fer, ni en sens du devoir et s'abandonne comme elle entièerment à la force de ses convictions, pour éviter d'employer le mot foi, qui ne siérait pas à Daisy. | |
| | | Aeriale Léoparde domestiquée
Messages : 18120 Inscription le : 01/02/2007
| Sujet: Re: R.K. Narayan [Inde] Jeu 12 Sep 2013 - 22:12 | |
| -Le guide et la danseuse-Retour à Malgudi, ses petites échoppes, ses commerçants qui se pressent pour amadouer le chaland et usent de leur roublardise pour vendre leur camelote. Narayan a l'art de nous fondre dans une atmosphère, le bruit, les odeurs de cette Inde post coloniale. D'entrée la rencontre de Raju, tout juste sorti de prison, arborant barbe et chapelet, avec ce paysan le prenant pour un sage, est un petit moment réjouissant. L'ancien détenu promu prophète se prend au jeu et se retrouve piégé par sa duperie plus ou moins volontaire. Alternant passé et présent ( et par un bizarre concours de circonstances qui nous est révélé dans les dernières pages) il va raconter à ce même paysan, Velan, le chemin parcouru: Son enfance près de la gare, la reprise de la boutique paternelle avant sa reconversion en guide touristique, jusqu'à son coup de foudre pour l'envoûtante Rosie, danseuse contrariée et mariée avec un obsédé d'hiéroglyphes. A partir de là, les choses vont mal tourner pour notre "sage" Raju mais l'humour et la malice se feront toujours la part belle. Cette fois encore, je me suis régalée à suivre ce récit. Narayan, en philosophe averti, s'amuse de ses contemporains, de leur naïveté et de leur magouilles, de cette capacité qui leur semble innée à suivre le cours des événements pour mieux rebondir -ou pas- Jamais ils ne luttent ( Marco, le mari trompé, en est aussi un exemple) les plus rusés se débrouillent mais le destin ou la morale les rattrape. Comme Raju, coincé dans son orgueil et sa lâcheté, qui finira avec les honneurs dûs à son rang. Un auteur à conseiller à tous, qui garde toujours ce regard amusé et bourré d'empathie, sans jamais verser dans le donneur de leçons. Un petit régal! | |
| | | Avadoro Zen littéraire
Messages : 3501 Inscription le : 03/01/2011 Age : 39 Localisation : Cergy
| Sujet: Re: R.K. Narayan [Inde] Dim 12 Oct 2014 - 22:25 | |
| Dans la chambre obscure
Ma première incursion dans l'oeuvre de Narayan et j'ai apprécié ce roman court et dense. L'auteur saisit les nuances du quotidien d'une cellule familiale, se concentrant sur le désarroi de Savitri qui socialement ne peut rester qu'une épouse. Cette absence de perspectives devient d'autant plus forte qu'elle doit faire face au caractère inconstant de son mari, Ramani. Elle va prendre une décision en forme de rupture avant d'aboutir à une impasse et un retour en arrière. Ce cheminement est amer et douloureux mais Narayan dévoile avec beaucoup de sensibilité ces enjeux relationnels : il décrit attentivement les interrogations du mari, des enfants, des domestiques, du voisinage et montre l'empreinte paradoxale d'une modernité trop lente (à l'image de l'introduction de Shanta Bai comme employée puis maitresse de Ramani). | |
| | | Arabella Sphinge incisive
Messages : 19316 Inscription le : 02/12/2007 Localisation : Paris
| Sujet: Re: R.K. Narayan [Inde] Sam 20 Déc 2014 - 19:50 | |
| Le magicien de la finance
Le fameux magicien est Margayya, qui se fait une sorte d'intermédiaire entre les paysans et la banque locale, ce que les responsables de cette dernière voient d'un mauvais oeil. Un hasard (mais est-ce vraiment un hasard) met Margayya en possession d'un manuscrit sulfureux, dont l'édition va le rendre riche. Mais il se languit de retourner à la finance, ce qu'il peut faire à une autre échelle grâce à l'argent qu'il a gagné dans l'édition. Jusqu'à perdre le sens du réel, d'autant plus que son fils lui cause bien du souci..
Un livre plus long que les autres livres de l'auteur que j'ai eu l'occasion de lire. L'intrigue se déroule sur une longue période et évoque des milieux différents. C'est peut être un peu plus démonstratif que d'autres romans de l'auteur (l'argent qui n'apporte pas le bonheur, la façon de gâter un enfant jusqu'à le rendre incapable de quoi que ce soit....) mais cela reste jubilatoire la plupart du temps, avec des scènes franchement hilarantes (la chasse au lotus...).
Et bonne nouvelle, apparemment Zulma va éditer ou rééditer tous les livres de Narayan. | |
| | | Invité Invité
| | | | Arabella Sphinge incisive
Messages : 19316 Inscription le : 02/12/2007 Localisation : Paris
| Sujet: Re: R.K. Narayan [Inde] Sam 20 Déc 2014 - 21:45 | |
| - Armor-Argoat a écrit:
Zulma semble s'intéresser de plus en plus à la littérature indienne. Un inédit de Narayan et un inédit de Tagore cette année, et à paraître en février, un recueil de nouvelles d'un auteur tamoul encore inconnu en France. (De haute lutte, de Ambaï)
Cela semble prometteur. | |
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| | | | R.K. Narayan [Inde] | |
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