le top des reprises qui déchirent

Queenie a écrit:

Jdirais vraiment PAS DU TOUT qu'elle déchire cette reprise de Fuck U (Archive) par Placebo...

Honnête mais pour moi incomparable par rapport à l'authentique ...(m'énerve un peu le Molko)
ICI

OuHou la découverte de reprise qui déchire !

Get ur freak on (Missy Elliott) - Eels

Et l'original : Get ur freak on - Missy Elliott

Quand Joe le taxi swing avec The lost fingers

Queenie a écrit:

Quand Joe le taxi swing avec The lost fingers

Héhé ... c'est fou ce que cette chanson a été reprise.

Ouais ouais c'est fabuleux..............
Babacar

ça déchire : Jumpin' Jack Flash !

Road de Nick Drake est un titre sublime. Nibs Van Der Spuy en a fait une très belle reprise (album Beautiful Feet).

Bordel.

Jeanne Cherhal a osé...
Mon corps et une cage
Reprise du titre d'Arcade Fire
...

Nezumi a écrit:

Road de Nick Drake est un titre sublime. Nibs Van Der Spuy en a fait une très belle reprise (album Beautiful Feet).

J'aime bien.
(Et je ne connais ni l'un ni l'autre, à part de nom pour Drake)

Nezumi a écrit:

Road de Nick Drake est un titre sublime. Nibs Van Der Spuy en a fait une très belle reprise (album Beautiful Feet).

Ah oui que c'est bien. Ca fait deux fois que je me la repasse. Si je ne m'en lasse pas à la troisième j'irai jeter un oeil à la Fnac à la prochaine occasion...

Contente que ce titre vous plaise, j'aime beaucoup ces deux musiciens et rares sont les semaines où je n'écoute pas ni l'un ni l'autre.

Nibs Van Der Spuy est un auteur-compositeur sud-africain vraiment talentueux et justement dans la lignée de Nick Drake, qui mériterait d'être plus connu.

Chronique des Inrocks à propos de Beautiful Feet.

Citation :

Proche de Piers Faccini, songwriter avec lequel il partage le goût du voyage, l’humilité et la discrétion, Van der Spuy puise comme son ami dans ce folk apatride qui emprunte tous azimuts, aux guitares du Mali comme aux sonorités endémiques du mbaqanga chéries un temps par Paul Simon, laissant par ailleurs planer sur tout l’album l’ombre du fantôme de Nick Drake – la ressemblance dans le jeu de guitare, les mélodies et, surtout, le timbre de voix doux comme une étreinte, est troublante (Anna Rosa). La filiation est pourtant incontestable. Sur la fin de l’album, la délicate reprise de Road raconte d’ailleurs combien les univers des deux hommes, pourtant séparés par une trentaine d’années et quinze mille kilomètres, sont non seulement proches, mais surtout terriblement universels, divinement intemporels : avec une guitare, une voix et un violon, Nibs Van der Spuy apparaît ainsi comme le dernier rejeton d’une grande et belle famille recomposée de songwriters érudits, qui réunirait, au pied du sapin de Noël, Nick Drake donc, mais aussi Leonard Cohen, Ali Farka Touré, Andrew Bird ou le Ben Harper des bons jours. Les matins de Van der Spuy ne furent pourtant pas toujours des plus festifs. Une rencontre, à la fois artistique et amicale, avec Gito Baloi, bassiste du groupe mozambicain Tananas, poussa, il y a trois ans, les deux hommes à enregistrer un album à quatre mains (Sweet-Thorn) et à partager la scène le temps d’un concert. Le soir même, alors qu’il rentrait chez lui, le bassiste fut agressé et assassiné. De cet accident et de l’absence qu’il a engendrée, Van der Spuy a développé une affection toute particulière pour la musique du Mozambique. Hommage qui devient même officiel avec le morceau simplement baptisé Gito, titre strictement instrumental qui raconte pourtant avec beaucoup d’élégance le manque, la carence sentimentale. Là où beaucoup auraient sombré pieds et poings liés dans le misérabilisme ou le bavardage, Van der Spuy compte ses mots et joue sa musique libre sans mièvrerie ni pathos, avec la minutie des orfèvres, voire ce qui ressemble parfois à la sagesse des griots (Dreams of Believers), la tranquillité des bergers (Wind of Goodbye). De l’ensemble émane la douce quiétude qui accompagne les disques-amis, d’autant plus précieux qu’on ne les attendait pas.

Son dernier album, A bird in the hand, est également superbe.

Tiens, au hasard de mon surf, je suis tombée sur ça :

Lou Rhodes, qui, pour son dernier album dit : "J'ai été très marquée par le son de Nick Drake sur Five Leaves Left. C'est cette atmosphère que j'ai essayé de retranscrire ici"

Bonne pioche dis donc!
Je ne connaissais pas du tout mais c'est vraiment sympa, et en effet on sent bien la filiation Nick Drake. Sa vie et sa discographie furent brèves (il est mort à même pas 30 ans) mais il continue à influencer pas mal de musiciens.

Merci pour la découverte...

dans la collection des reprises différentes et amusantes : Painkiller...

animal a écrit:

dans la collection des reprises différentes et amusantes : Painkiller...

Aha, trop drôle et rafraîchissant !