Comme on fait son lit...

Ah je me disais bien que ça faisait longtemps que tu n'avais pas servi de GPS!
Merci Kenavo, je vais voir.

 

Et je reviens avec une autre belle plante endormie!
 

Je suis fan !

Je continue avec Mickael Parkes.



Ce tableau m'en rappelle un autre.
 

Esperluette a écrit:

Je continue avec Mickael Parkes.

Cleopatra, 1990.

Très classe ! En voici une qui aurait pu figurer parmi les élégantes également...

Une photo de Varunyoo Thongdee :

ça a l'air super confortable  

Confortable en effet...

Hum, j'adore cet artiste.
 

Tu as d'autres photos, Colimasson?  

Je me demande aussi ce que chacun d'entre vous trouve confortable.
L'abandon et la vulnérabilité qui se dégage de ce contraste entre le modèle et son matelas/lit de rocher?

 

Esperluette a écrit:

Hum, j'adore cet artiste.
 

Tu as d'autres photos, Colimasson?  

Je me demande aussi ce que chacun d'entre vous trouve confortable.
L'abandon et la vulnérabilité qui se dégage de ce contraste entre le modèle et son matelas/lit de rocher?

 

La question serait de savoir si :

Le matelas se moule-t-il au corps du modèle...?

Ou

La roche abandonne-t-elle pour autant son modèle?

jack-hubert bukowski a écrit:

La question serait de savoir si :

Le matelas se moule-tu au corps du modèle...?

Ou

La roche abandonne-t-elle pour autant son modèle?

Héhé, Jack-Hubert, tu penses à qui ou à quoi lorsque tu écris "se moule-tu" pour "se moule-t-il"?   

Excellente questions.
Et si le modèle s'abandonnait à cette roche, l'épousait? C'est la première idée, en somme!
Ensuite effectivement, il peut y avoir alchimie entre l'élément naturel et le corps humain. Vaste question.

Ton avis, Jack-Hubert. Je te laisse reprendre tes esprits.... 

Esperluette a écrit:

Et si le modèle s'abandonnait à cette roche, l'épousait? C'est la première idée, en somme!

Curieuse idée en effet...

Quant aux tics de langage que nous pouvons manifester de part et d'autre, s'il faut coller à la précision chirurgicale dont tu sembles faire preuve, Esperluette, nous ne garderions pas ce naturel et la créativité dont nous sommes capables. Je mets ceci sur le compte de ma surdité. Et oui, je vis avec une problématique particulière de la maîtrise d'une langue qui m'est par essence étrangère, puisque jamais entendue.

Je pense surtout que ce "se moule-tu" vient du Québec, une amie Québécoise emploie souvent cette façon de dire avec le "tu" à la place du "il".

Voilà pour une autre partie de l'explication, kannskia, même si l'expression n'est pas nécessairement et rigoureusement juste en français international...

jack-hubert bukowski a écrit:

Esperluette a écrit:

Et si le modèle s'abandonnait à cette roche, l'épousait? C'est la première idée, en somme!

Curieuse idée en effet...

Quant aux tics de langage que nous pouvons manifester de part et d'autre, s'il faut coller à la précision chirurgicale dont tu sembles faire preuve, Esperluette, nous ne garderions pas ce naturel et la créativité dont nous sommes capables. Je mets ceci sur le compte de ma surdité. Et oui, je vis avec une problématique particulière de la maîtrise d'une langue qui m'est par essence étrangère, puisque jamais entendue.

Oui, j'assume mes travers, Jack-Hubert : mon esprit qui emprunte les chemins de traverse, mon esprit tatillon parfois, bref ma complexité! Mais ne te méprends pas, j'adore ces petites créations qui nous échappent! Je trouve cela très poétique et charmant. Mon esprit taquin ne peut s'empêcher de relever!
Me pardonnes-tu?

  Je suis la honte statufiée à ce stade et te présente toutes mes excuses.   

Kannskia a écrit:

Je pense surtout que ce "se moule-tu" vient du Québec, une amie Québécoise emploie souvent cette façon de dire avec le "tu" à la place du "il".

Il faut que je vérifie ceci avec un correspondant canadien, alors!
 

jack-hubert bukowski a écrit:

Voilà pour une autre partie de l'explication, kannskia, même si l'expression n'est pas nécessairement et rigoureusement juste en français international...

J'accepte tout, et c'était une façon taquine de relever l'originalité de la prose de Jack-Hubert!

Bref, que penser de cette alchimie entre le modèle et son support, et troisième paramètre, entre le modèle et son photographe?

Je vous laisse méditer et vais battre ma coulpe!