| Parfum de livres… parfum d’ailleurs Littérature, forum littéraire : passion, imaginaire, partage et liberté. Ce forum livre l’émotion littéraire. Parlez d’écrivains, du plaisir livres, de littérature : romans, poèmes…ou d’arts… |
|
| Katherine Mosby | |
| | |
Auteur | Message |
---|
Epi Escargote Zen
Messages : 14255 Inscription le : 05/03/2008 Age : 64 Localisation : à l'ouest
| Sujet: Re: Katherine Mosby Jeu 4 Nov 2010 - 17:40 | |
| The season of Lillian Dawes (Sous le charme de Lillian Dawes)
Expulsé de son école, Gabriel 17 ans est envoyé vivre chez son frère Spencer pour le reste de l'année. Commence alors pour lui une vie un peu bohème, faite de balades dans Manhattan, de séances de cinéma et de rencontres plus ou moins excitantes. Son frère, plus âgé, passe son temps à écrire des nouvelles.
Gabriel va tomber amoureux de Lillian, une "people" comme on dirait aujourd'hui, jusqu'à l'obsession. Son frère Spencer va également s’intéresser à elle, sans en avoir l’air, comme à peu près tous les autres personnages qui semblent la connaître plus ou moins intimement même si Lillian reste un mystère pour tous.
Un début plutôt prometteur, alors pourquoi cette histoire devient-elle de plus en plus ennuyeuse ?
On a d'un côté Gabriel qui traque les apparitions de Lillian dans les journaux, se rapproche d'anciennes relations dans l'espoir de la rencontrer, s'informe un peu partout sur elle. De l'autre côté, une histoire d'héritage à partager avec la petite fille d'un homme autrefois escroqué par le père de Spencer et Gabriel et dont on ignore tout, qu’on ne retrouve pas. (Et là, je pense que tout le monde a déjà compris comment ça va finir tout ça…) Et puis autour de ça, une famille riche et puritaine, une tante excentrique qui revient d'Europe et prend sous son aile les deux frères, et une flopée de personnages annexes pas plus épais qu'une feuille de papier à cigarettes.
J'ai trouvé l'histoire pauvre, j'attendais quelque chose de plus fouillé, une étude de la haute société NY de l'époque un peu plus poussée, critique et acerbe, j'attendais aussi une sorte de duel entre les deux frères, de vrais cas de conscience. Au lieu de cela, nous avons un héro, le narrateur, pas très convaincant, si jeune et qui pourtant comprend la vie comme s'il avait vécu 90 ans, si amoureux mais qui montre très peu d'émotion en apprenant que son frère et Lillian s'aiment. Et tellement perspicace dans ses observations qu’on dirait qu’il fréquente la société depuis des lustres alors qu’il sort à peine de l’école. Ce garçon n'est tout simplement pas crédible, tout comme Lillian d'ailleurs, aux multiples talents et relations, et surtout aux nombreuses identités sous lesquelles elle est connue mais dont personne ne semble se soucier. Je ne parle même pas de la fin qui n'est pas très digne, un peu trop facile et qu’on voit venir dès la page 50.
Ce qui sauve le livre, c'est le style élégant de Mosby même s’il est malheureusement un peu trop travaillé, un peu trop prétentieux. Un style soigné est toujours agréable mais quand il est naturel, quand il apparaît comme aller de soi. Or, je n'ai pas eu cette impression de fluidité avec ce roman, elle en fait trop, comme si elle voulait, par son écriture sophistiquée, souligner plutôt deux fois qu'une le raffinement de ses personnages. Elle écrit peut-être toujours ainsi, je n'en sais rien, mais peu importe, ici, même si c'est un style qui donne beaucoup de charme au roman, il frise la préciosité trop souvent.
Je ne sais trop comment qualifier ce roman. Mis à part le style, inutilement compliqué par endroits mais tout de même plaisant donc, j'ai eu en quelque sorte l'impression de lire un livre destiné aux ados. L'histoire est traitée trop simplement, le dénouement est trop évident, le tout est un peu trop niais, le genre d'histoire sortie tout droit d'un fantasme de jeune garçon solitaire. En bref, une sorte de roman d'apprentissage plutôt destiné aux adolescents en mal de romance et de mystère mais pas trop exigeants non plus.
Et d'une manière générale, pour moi Mosby a échoué pour ce qui concerne la peinture d'une certaine société New Yorkaise, alors qu'il y avait matière et que le début était plein de promesses. A vouloir en faire trop, elle n'en a pas fait assez finalement, en particulier avec ses personnages qui sont la plupart du temps brossés un peu à la va-vite, sans souci de vraisemblance. La plupart des personnages secondaires m'ont fait l'effet de squatteurs, à l'image de Gerwith, l'ami qui vit plus ou moins aux crochets de ses relations. Ils sont là, n'apportent pas grand-chose et essaient de remplir péniblement quelques pages.
Je me rends compte que je casse un peu le livre alors que ce n'était pas du tout mon intention parce que j'y ai pris tout de même un certain plaisir, un peu mitigé tout de même mais je ne l'ai pas détesté en tout cas. J'ai envie de lire quand même Sanctuaires ardents puisque les deux romans sont liés et en même temps, j'ai un peu peur d'avoir les mêmes reproches à lui faire alors j'hésite encore.
| |
| | | Invité Invité
| Sujet: Re: Katherine Mosby Jeu 4 Nov 2010 - 18:13 | |
| Lillian Dawes est plus léger, "mondain", que Sanctuaires ardents, que moi j'ai trouvé un peu pesant par moments. Alors il te plaira peut-être davantage. sauf si c'est avec le style de Mosby que tu as du mal à accrocher. |
| | | Epi Escargote Zen
Messages : 14255 Inscription le : 05/03/2008 Age : 64 Localisation : à l'ouest
| Sujet: Re: Katherine Mosby Jeu 4 Nov 2010 - 18:19 | |
| Non, j'ai plutôt apprécié le style, c'est l'histoire que j'ai trouvé bâclée. Je garde Sanctuaires ardents dans ma LAL. | |
| | | Invité Invité
| Sujet: Re: Katherine Mosby Jeu 4 Nov 2010 - 18:20 | |
| Ah bon, je croyais que tu trouvais son écriture trop sophistiquée et travaillée ?
Ce que je reprocherais à Lillian Dawes, c'est en effet un côté un peu trop "champagne", glamour, ce qui a son charme, mais qui peut rester un peu superficiel aussi. |
| | | Epi Escargote Zen
Messages : 14255 Inscription le : 05/03/2008 Age : 64 Localisation : à l'ouest
| Sujet: Re: Katherine Mosby Jeu 4 Nov 2010 - 18:24 | |
| - Nezumi a écrit:
- Ah bon, je croyais que tu trouvais son écriture trop sophistiquée et travaillée ?
Ce que je reprocherais à Lillian Dawes, c'est en effet un côté un peu trop "champagne", glamour, ce qui a son charme, mais qui peut rester un peu superficiel aussi. Oui, par moments, le style m'a semblé trop appliqué mais comme je l'ai dit, c'est quand même agréable dans l'ensemble et c'est ce qui donne son intérêt au livre. | |
| | | kenavo Zen Littéraire
Messages : 63288 Inscription le : 08/11/2007
| Sujet: Re: Katherine Mosby Jeu 4 Nov 2010 - 19:11 | |
| bon, j'ai mangé une grande tartine et je suis prête pour prendre la défense avant de venir au -très bon commentaire d'Epi- je dois quand même reprendre cette citation - Nezumi a écrit:
- Ce que je reprocherais à Lillian Dawes, c'est en effet un côté un peu trop "champagne", glamour, ce qui a son charme, mais qui peut rester un peu superficiel aussi.
et avouer que j'ai un côté 'glamour' dans certains de mes envies de lecture autant que je cours quand on parle de tea-time dans une ancienne colonie anglaise, autant je suis partante quand j'entends le 'cling-cling' des coupes de champagne sur la côte est de l'Amérique.. - Epi a écrit:
- J'ai trouvé l'histoire pauvre, j'attendais quelque chose de plus fouillé, une étude de la haute société NY de l'époque un peu plus poussée, critique et acerbe, j'attendais aussi une sorte de duel entre les deux frères, de vrais cas de conscience. Au lieu de cela, nous avons un héro, le narrateur, pas très convaincant, si jeune et qui pourtant comprend la vie comme s'il avait vécu 90 ans, si amoureux mais qui montre très peu d'émotion en apprenant que son frère et Lillian s'aiment. Et tellement perspicace dans ses observations qu’on dirait qu’il fréquente la société depuis des lustres alors qu’il sort à peine de l’école.
donc, avec ce penchant pour le côté 'champagne' de ce roman, je ne trouvais pas l'histoire pauvre.. c'est un "instant" dont elle s'occupe, un moment dans la vie de ce jeune homme et je ne m'attendais pas à plus, surtout pas une autre étude de la haute société NY (peut être Fitzgerald, Grace Paley, Dawn Pawell, Dorothy Parker... et tous ces auteurs m'ont donné un tel fond d'image que je pouvais placer tout de suite l'histoire de Mosby dans un entourage.. certes, ce n'est pas le travail d'un auteur: demander aux lecteurs de remplir les blancs ) je ne m'attendais pas non plus à un duel entre les frères, il adore trop son frère pour cela... et en ce qui concerne montrer son état amoureux: là je trouve qu'elle a bien dessiné son garçon, cette timidité est rien d'extraordinaire à 17 ans (tandis que je t'accorde les 90 ans pour comprendre la vie et ses observations concernant la société bien que tout juste sortie de l'école!) - Epi a écrit:
- Ce garçon n'est tout simplement pas crédible, tout comme Lillian d'ailleurs, aux multiples talents et relations, et surtout aux nombreuses identités sous lesquelles elle est connue mais dont personne ne semble se soucier.
Je ne parle même pas de la fin qui n'est pas très digne, un peu trop facile et qu’on voit venir dès la page 50. hm.. sans en dire plus et de trop.. la lecture du premier livre de Katherine Mosby va éclairer quelque chose dans ce que tu écris ici et rend aussi la fin tout à fait plausible et tout à fait digne du personnage et je dois dire que cela ne m'a pas embêté qu'on prévoit la fin presque du début - connaître la fin ne m'a pas privé du plaisir de lire le chemin pour en arriver là - Epi a écrit:
- Je ne sais trop comment qualifier ce roman. Mis à part le style, inutilement compliqué par endroits mais tout de même plaisant donc, j'ai eu en quelque sorte l'impression de lire un livre destiné aux ados. L'histoire est traitée trop simplement, le dénouement est trop évident, le tout est un peu trop niais, le genre d'histoire sortie tout droit d'un fantasme de jeune garçon solitaire.
En bref, une sorte de roman d'apprentissage plutôt destiné aux adolescents en mal de romance et de mystère mais pas trop exigeants non plus. oui, d'accord.. un roman d'apprentissage.. mais pas pour autant destiné aux adolescents (ou peut être alors "aux adolescents et ceux qui aiment le côté champagne" ) - Epi a écrit:
- Je me rends compte que je casse un peu le livre alors que ce n'était pas du tout mon intention parce que j'y ai pris tout de même un certain plaisir, un peu mitigé tout de même mais je ne l'ai pas détesté en tout cas. J'ai envie de lire quand même Sanctuaires ardents puisque les deux romans sont liés et en même temps, j'ai un peu peur d'avoir les mêmes reproches à lui faire alors j'hésite encore.
je ne trouve pas que tu casse le livre, tu donne un avis bien fouillé de ton ressenti et si tu n'as pas apprécié, pourquoi le cacher.. on ne peut pas se retrouver à s'enthousiasmer toujours pour les mêmes livres.. quel ennui ce forum serait - Spoiler:
à part que tu ne vas plus avoir de champagne au bar, rien de mal va se passer
Dernière édition par kenavo le Jeu 4 Nov 2010 - 19:33, édité 1 fois | |
| | | Invité Invité
| Sujet: Re: Katherine Mosby Jeu 4 Nov 2010 - 19:22 | |
| Waouh, quelle défense, bravo! je devrais manger les mêmes tartines. |
| | | kenavo Zen Littéraire
Messages : 63288 Inscription le : 08/11/2007
| | | | Epi Escargote Zen
Messages : 14255 Inscription le : 05/03/2008 Age : 64 Localisation : à l'ouest
| Sujet: Re: Katherine Mosby Jeu 4 Nov 2010 - 20:11 | |
| - kenavo a écrit:
- bon, j'ai mangé une grande tartine et je suis prête pour prendre la défense
Tu as pris des forces je vois - kenavo a écrit:
- Epi a écrit:
- J'ai trouvé l'histoire pauvre, j'attendais quelque chose de plus fouillé, une étude de la haute société NY de l'époque un peu plus poussée, critique et acerbe, j'attendais aussi une sorte de duel entre les deux frères, de vrais cas de conscience. Au lieu de cela, nous avons un héro, le narrateur, pas très convaincant, si jeune et qui pourtant comprend la vie comme s'il avait vécu 90 ans, si amoureux mais qui montre très peu d'émotion en apprenant que son frère et Lillian s'aiment. Et tellement perspicace dans ses observations qu’on dirait qu’il fréquente la société depuis des lustres alors qu’il sort à peine de l’école.
donc, avec ce penchant pour le côté 'champagne' de ce roman, je ne trouvais pas l'histoire pauvre.. c'est un "instant" dont elle s'occupe, un moment dans la vie de ce jeune homme et je ne m'attendais pas à plus, surtout pas une autre étude de la haute société NY (peut être Fitzgerald, Grace Paley, Dawn Pawell, Dorothy Parker... et tous ces auteurs m'ont donné un tel fond d'image que je pouvais placer tout de suite l'histoire de Mosby dans un entourage.. certes, ce n'est pas le travail d'un auteur: demander aux lecteurs de remplir les blancs ) Le début laissait présager d'une étude un peu plus poussée, j'ai eu l'impression qu'elle commençait mais n'allait pas jusqu'au bout, ce qui m'a laissée un peu sur ma faim. Certes, je comprends bien que ce n'était pas vraiment le propos du livre mais certains personnages auraient gagné en crédibilité s'ils avaient eu un peu plus d'épaisseur et si elle avait décrit un peu plus précisément l'environnement dans lequel ils évoluent. Parce qu'elle n'est pas tendre avec ce milieu mais on dirait qu'elle n'a pas "osé" approfondir, du coup, cela reste assez léger. J'aime bien aussi le côté "champagne" mais elle balance entre la critique d'une certaine société et une sorte de récit mondain superficiel et je trouve que les deux ne vont pas ensemble, il faut choisir l'un ou l'autre, on critique ou on plonge carrément dans le champagne, d'où pour moi cette impression de flottement et un résultat pas tout à fait honnête et abouti. - kenavo a écrit:
- je ne m'attendais pas non plus à un duel entre les frères, il adore trop son frère pour cela...
La 4e de couverture laissait entendre que la vie des deux frères allait être bouleversée (ou c'est moi qui l'ai rêvé peut-être ) et même si je ne m'attendais pas à ce qu'ils en viennent aux mains (comme tu le dis, ils s'aiment beaucoup), je n'ai pas trouvé tellement naturel qu'il n'y ait aucun sentiment négatif de la part de Gabriel. Spencer lui, en a tout de même un peu mais tout cela glisse sur Gabriel comme s'il n'était en aucune manière concerné alors qu'il y avait au début tant d'acharnement à se rapprocher de Lillian. Je n'ai pas trouvé ça très cohérent. - kenavo a écrit:
- Epi a écrit:
- Ce garçon n'est tout simplement pas crédible, tout comme Lillian d'ailleurs, aux multiples talents et relations, et surtout aux nombreuses identités sous lesquelles elle est connue mais dont personne ne semble se soucier.
Je ne parle même pas de la fin qui n'est pas très digne, un peu trop facile et qu’on voit venir dès la page 50. hm.. sans en dire plus et de trop.. la lecture du premier livre de Katherine Mosby va éclairer quelque chose dans ce que tu écris ici et rend aussi la fin tout à fait plausible et tout à fait digne du personnage et je dois dire que cela ne m'a pas embêté qu'on prévoit la fin presque du début - connaître la fin ne m'a pas privé du plaisir de lire le chemin pour en arriver là Cela ne m'a pas gênée plus que ça non plus, ce n'est pas un polar mais quand même, c'était cousu de fil blanc et surtout, ce qui ne m'a pas plu par rapport à ça je crois, c'est la facilité avec laquelle Gabriel a tout deviné. En soi, ce n'est pas très grave, c'est juste l'accumulation qui m'a un peu exaspérée. Peut-être comme tu le dis, la lecture du premier me fera voir les choses différemment. - kenavo a écrit:
- oui, d'accord.. un roman d'apprentissage.. mais pas pour autant destiné aux adolescents (ou peut être alors "aux adolescents et ceux qui aiment le côté champagne" )
Aux grands ados alors ? De l'âge de Gabriel - kenavo a écrit:
- je ne trouve pas que tu casse le livre, tu donne un avis bien fouillé de ton ressenti et si tu n'as pas apprécié, pourquoi le cacher.. on ne peut pas se retrouver à s'enthousiasmer toujours pour les mêmes livres.. quel ennui ce forum serait
Je donne toujours mon avis même s'il est discordant mais je ne voulais pas être si négative non plus parce que ce n'est pas un mauvais livre du tout. - kenavo a écrit:
- Spoiler:
à part que tu ne vas plus avoir de champagne au bar, rien de mal va se passer
- Spoiler:
Je pourrais quand même avoir du champ au bar alors ?
Bon, je ferais mieux d'aller manger une grande tartine aussi | |
| | | kenavo Zen Littéraire
Messages : 63288 Inscription le : 08/11/2007
| Sujet: Re: Katherine Mosby Jeu 4 Nov 2010 - 20:16 | |
| - Epi a écrit:
-
- Spoiler:
Je pourrais quand même avoir du champ au bar alors ?
Bon, je ferais mieux d'aller manger une grande tartine aussi je vois que tu as déjà mangé une bien bonne tartine et je vais t'offrir une coupe au bar | |
| | | Epi Escargote Zen
Messages : 14255 Inscription le : 05/03/2008 Age : 64 Localisation : à l'ouest
| Sujet: Re: Katherine Mosby Jeu 4 Nov 2010 - 20:19 | |
| Oui, merci pour le champ, ça donne soif tout ça. Surtout que quand même hein, ce n'est pas un mauvais roman du tout (je préfère le répéter, on ne sait jamais ) | |
| | | kenavo Zen Littéraire
Messages : 63288 Inscription le : 08/11/2007
| Sujet: Re: Katherine Mosby Jeu 4 Nov 2010 - 20:23 | |
| | |
| | | Epi Escargote Zen
Messages : 14255 Inscription le : 05/03/2008 Age : 64 Localisation : à l'ouest
| Sujet: Re: Katherine Mosby Jeu 4 Nov 2010 - 20:43 | |
| | |
| | | kenavo Zen Littéraire
Messages : 63288 Inscription le : 08/11/2007
| Sujet: Re: Katherine Mosby Jeu 4 Nov 2010 - 20:53 | |
| - Epi a écrit:
- Je savais que j'y étais allée trop fort !
ah non.. si tu savais combien j'adore.. souvent il n'y a pas de discussion autour d'une lecture parce qu'on se retrouve sur les mêmes avis.. mais devoir 'défendre' contre un avis contraire au sien.. et peut-être aussi revoir certains aspects de sa lecture (expérience que j'ai aussi déjà fait), moi j'adore d'avoir plusieurs angles de vues sur un livre et rien n'est toujours blanc et noir, donc.. autant en discuter de bonne humeur et oui, tu vas avoir toute la bouteille | |
| | | Queenie ...
Messages : 22891 Inscription le : 02/02/2007 Age : 44 Localisation : Un peu plus loin.
| Sujet: Re: Katherine Mosby Ven 5 Nov 2010 - 8:45 | |
| Intéressante discussion, en tout cas ! (Et y'a vraiment qu'une micro chance qu'un jour je lise ce livre). | |
| | | Contenu sponsorisé
| Sujet: Re: Katherine Mosby | |
| |
| | | | Katherine Mosby | |
|
Sujets similaires | |
|
| Permission de ce forum: | Vous ne pouvez pas répondre aux sujets dans ce forum
| |
| |
| |
|