Une image en passant...

pour les lecteurs du Lys dans la vallée (et les autres) :


Le Parc de Sansac, Armand Charnay, 1885

pas exactement le même coin (près de Loches) mais cette eau est celle de l'Indre... et les couleurs celles de la région.

j'en partage une autre trouvée (dans la base Joconde) en "cherchant la suite" :


Promenade près d'une tour, Armand Charnay

animal a écrit:

pour les lecteurs du Lys dans la vallée (et les autres) :


Le Parc de Sansac, Armand Charnay, 1885

pas exactement le même coin (près de Loches) mais cette eau est celle de l'Indre... et les couleurs celles de la région.

Ah oui, vraiment parfait ! Et j'adore les couleurs

Wolfgang Mattheuer

"peintre et sculpteur allemand, père fondateur de l´Ecole de Leipzig, chroniste de la société Est-Allemande, il fonde son art sur le mythe comme forme de protestation masquée des disfonctionnements du régime communiste"
Mais dans ce tableau "Couple amoureux en suspension", je ne vois pas de proteste

Deborah Van Hauten

Marie a écrit:

Deborah Van Hauten

Ah je l'adore celle-là

Orientale a écrit:

Wolfgang Mattheuer

"peintre et sculpteur allemand, père fondateur de l´Ecole de Leipzig, chroniste de la société Est-Allemande, il fonde son art sur le mythe comme forme de protestation masquée des disfonctionnements du régime communiste"
Mais dans ce tableau "Couple amoureux en suspension", je ne vois pas de proteste

Et pourtant, Orientale, ce tableau déclenchait de grandes discussions lors de sa présentation en début des années 70 à la VIIe exposition d’art contemporaine de la RDA. Un fonctionnaire de la culture officielle contestait ce couple en suspension au-dessus d’une plage, arguant que la jeunesse est-allemande d’alors gardait fermement les pieds sur terre.

Mattheuer peignait avec ce « couple d’amoureux en suspension » un romantisme loin de la réalité socialiste, il s’approchait du mythe antique d’Icare en tant que métaphore pour l’espoir, l’utopie, l’échec, la résignation.

Les simples spectateurs aimaient le tableau pour ses non-dits. Ils l’appréciaient parce qu’il leur laissait la place de suivre leurs pensées et fort à eux d’imaginer la terre, le paysage, la société autour des suspendus amoureux. D’avoir quitté le sol ferme équivalait pour eux au fait de quitter la société qui les entourait, ne serait-ce qu’en pensées. Subversifs ces intensions ? contestataires ces pensées ?

faisant directement suite à ma sortie cinéma du jour :


View of Madrid from Capitan Haya, Antonio López García

huhu, sujet original et j'aime bien :


El aparador, Antonio López García

Les jolies poupées aux visages tristes de Christine Alvarado

Glen Baxter, Tempête sur le tweed.

excellent

Demon dragon, Muhammad Siyah Qalem, XV cent.


The Mantiq al-tair, Habibulla Meshedi, 1600

la promenade du jour m'a donc mené dans la rubrique Iran de wikipedia commons... si de savants parfumés peuvent indiquer ou confirmer le découpage des noms pour le classement de la liste des images, je suis preneur !