Une image en passant...

C'est toi qui l'a faite Nezumi ?
Elle est drôle en effet !

Non, elle n'est pas de moi. Je l'ai trouvée sur un site de photos insolites.

nezumi a écrit:

Non, elle n'est pas de moi. Je l'ai trouvée sur un site de photos insolites.

en tout cas elle est bonne.. jamais "faut être au bon endroit au bon moment" n'a été aussi vrai

Encore faut-il également avoir un appareil photo sur soi... (faudrait que je pense à le prendre plus souvent avec moi tiens !)

Eilif Peterssen, le pêcheur de saumons

Schön !

oui, il y a quelque chose de presque anormal là dedans, ça ne ressemble pas à un travail de groupe, et puis le ciel est en bas. on dirait du Ramuz.

plus classique, après un tour chez les américains, pas toujours folichonne l'expédition, une touche d'exotisme, classique mais des ciels étrangers, je vous propose celui-ci :


William Bradford, Coastal Scene, 1860

changement de côté avec Laurits Andersen Ring :






on peut soigner ses yeux et son esprit par ici : clic

edit : pour celles et ceux qui cherchent la page 56, elle est ici. pour la ressemblance... oui et non, peut-être non, malgré des similitudes.

je poursuis la promenade au nord. académisme presque fou pour paysages particularisés. j'aimerai bien voir ça en vrai, ça doit faire son impression (un peu plus figé mais un peu plus dingue que Caillebotte par exemple ?)


Peter Mork Mønsted,

moi j'aime bien, belle découverte

Carel Willink, The Blimp, 1933


Découvert à cause de Hella S. Hasse et son livre sur les Jardins de Bomarzo : ici

kenavo a écrit:

Carel Willink, The Blimp, 1933


Découvert à cause de Hella S. Hasse et son livre sur les Jardins de Bomarzo : ici

A cause de ou grace à ?
Bien sympa en tout cas !

Harelde a écrit:

A cause de ou grace à ?

quand je traduis en tapant vite, le "à cause" est plus proche que le "grace à" mais c'est bien ça, grace à cette belle lecture, je l'ai découvert

Giovanni Segantini, Nature morte avec S.Cecilia

Vladimir Dubossarsky & Alexandre Vinogradov :



« Avec leur peintures délurées et sexy, Dubossarsky & Vinogradov incarnent à la fois la tradition russe du tableau impeccablement composé et un humour très pop. A l’image de ce lascif trio : une rondelette poupée russe rêvant aux formes parfaites d’une Barbie occidentale, sous les yeux d’un Picasso ébahi. Ou le réchauffement des relations Est/Ouest. »