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| Serge Brussolo | |
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Auteur | Message |
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Invité Invité
| Sujet: Re: Serge Brussolo Sam 20 Fév 2010 - 10:05 | |
| - Hexagone a écrit:
- Le style de Brussolo est direct, pas de détours pour exprimer les ressorts psychologiques. Et c'est cela qui manque pour faire je pense des livres de Brussolo de grands livres, un peu plus de détails, de soins dans la transcription de l'évolution des personnages.
Je me suis dis exactement la même chose que toi Hexagone ! Et en même temps, j'aime bien son style direct sans fioritures qui va à l'essentiel, ça n'en fait pas de grandes oeuvres mais qu'importe, le plaisir de lire n'en demeure pas moins présent |
| | | Invité Invité
| Sujet: Re: Serge Brussolo Sam 20 Fév 2010 - 10:10 | |
| - Marko a écrit:
- sentinelle a écrit:
Oeuvre de Fabrice Jahk
Très beau. J'aime beaucoup également. Quelques autres de la série Les emmurés ici. |
| | | Steven Zen littéraire
Messages : 4499 Inscription le : 26/09/2007 Age : 52 Localisation : Saint-Sever (Landes)
| Sujet: Re: Serge Brussolo Dim 9 Mai 2010 - 21:46 | |
| La moisson d'hiverLors de la deuxième guerre mondiale, Claire, jeune femme se voit dans l'obligation de laisser Julien dans une pension. Commencent cinq années très longues pour Julien, cinq années où Julien se transforme en adolescent, empli de doutes sur sa mère qui n'envoie que peu de signes de vie. Ces années d'emprisonnement, Julien les traverse dans ce pensionnat, laissant peu à peu les doutes, et la tirstesse l'envahir. C Le début du roman, à la pension pourrait être lourd, pesant. Or, comme un balancement à l'absence de la mère, Brussolo décrit un quotidien fait d'une succession de moment léger, de traits d'humour décalés (souvent de la part d'Antonin, un "grand", à l'humour lourdingue, obsédé par les cuisses des filles. Qui me fait bien rire.) Tout au long de la description de ce quotidien d'un garçon en pension, on glâne quelques informations sur Julien. La mort tragique de son père dans un accident ; la démence, la faillite et la mort de son grand-père. Le passé de sa mère, plein de zones d'ombre ; son présent, que fait elle pendant que lui est en pension ? Viendra-t-elle bien le chercher à la date prévue ? On sent que la "délivrance" de Julien se charge de tension et de nuages. Sa mère vient finalement le chercher. Lui, Julien, est héritier de la maison familiale des Lehurlant ; une maison et une parcelle de terrain autour. Une maison et une parcelle de terrain minée autour ; avec une bombe prête à exploser, lachée du ciel, à l'intérieur de la maison. Mais sans doute, à portée de main, le trèsor caché des Lehurlant. Clair,e M'man, n'en doute pas. Pour Julien commence un nouveau quotidien, un quotidien où peu à peu, la ozne d'ombres entourant sa mère occupe tout l'espace, ne les laissant jamais seul tous les deux. Où tous les interlocuteurs qui surgissent du passé dépeignent une Claire qui déplait fortement à Julien. Où le sang des Lehurlant qui est en lui se révèle et le fait frémir. Ces personnages qui entourent le domaine des Lehurlant, sont hauts en couleurs, tel Benjamin Bruze, Sculpteur, ivrogne, à la main arraché pendant la guerre à qui Claire servit de modèle dans le temps pour sculpter la figure de proue d'un navire des Lehurlant : - Citation :
- Julien progressait plus lentement à présent. La bouche entrouverte, il regardait la figure de proue dressée vers le ciel. C'était bien Claire, nue, les seins pointés, les reins épousant le profil de l'étrave. Elle semblait tirer le navire à elle toute seule. Son visage avait une expression d'avidité barbare, une gourmandise de déesse en rut ou de guerrière donnant le signal du
combat. Il y avait quelque chose de surhumain en elle qui donnait envie de baisser les yeux. C'était une figure de proue pour navire pirate, une idole païenne défiant les eaux, conçue pour fendre la peau des océans le défi à la bouche. Ce n'était pas M'man, mais c'était bien Claire. Une autre Claire que Julien n'avait pas encore rencontrée. Etait-ce pour la sculpture que Charles Lehurlant avait fait remorquer le bateau inachevé jusqu'à la plage ? Descendait-il ici chaque jour, pour la contempler ? S'asseyait-il sur un rocher, le souffle court, se lamentant de ne plus pouvoir caresser la femme de bois comme il le faisait jadis dans l'atelier de Benjamin Bruze ? Julien baissa la tête. C'était moins le corps nu qui le gênait que l'expression du visage. Ce regard, surtout, qui filtrait des paupières entrouvertes et dont on ne pouvait déterminer s'il faisait un effort pour scruter l'horizon ou s'il exprimait la ruse, la bestialité, l'assouvissement . ; tel Gorget, l'ami d'enfance, qui se révèle brutal et malveillant. Tout amène Julien à douter, à peser chaque "vérité" qui lui est exposée et à sentir à lui la force, la colère, la marque de sa famille surgir en lui : - Citation :
- Le poison était en lui, il n'y pouvait rien, il ne pensait plus qu'au dossier caché dans la maison, dans le bureau du grand-père. Il avait beau s'épuiser à la tâche, courir avec Zeppelin jusqu'à ce que le souffle lui manque et le jette dans la poussière, bavant une salive épaisse, rien n'y faisait. La chose était dans sa tête, lui rongeant la cervelle. Il fallait qu'il sache. Qu'il sache,
bon Dieu ! Il tint deux jours entiers, puis, alors que se levait l'aube du troisième matin, il décida, au lieu de se rendre à la corvée de déminage, de s'introduire dans la maison pour visiter le cabinet de travail de l'Amiral. S'assurant que M'man dormait profondément, il récupéra le passe-partout et se glissa dans la bicoque après avoir fait comprendre à Zeppelin qu'il devait rester assis sur son cul et se taire, surtout se taire ! Malgré ses fréquentes descentes dans la cave, il ne s'était pas encore habitué à l'atmosphère d'abandon de la maison forte. La pénombre perpétuelle, le désordre, la poussière et les souris courant en tous sens le remplissaient chaque fois d'une crainte qu'il ne savait nommer. Il lui semblait qu'entre les murs de la maison maudite tout devenait possible, et le surgissement d'un fantôme ne l'aurait pas étonné outre mesure, même s'il essayait de chasser cette éventualité de son esprit. Et puis, il y a cette présence dans la forêt, qui les observe, les menace peut-être... J'ai beaucoup aimé ce roman, l'intrigue familiale et le personnage compliqué de Claire. Dans ce roman, c'est le seul que j'ai lu de Brussolo pour l'instant, l'auteur prend le temps de faire des détours pour exprimer les ressorts psychologiques, tend l'action quand il le faut, depeint parfaitement les personnages et leurs relations. | |
| | | Invité Invité
| Sujet: Re: Serge Brussolo Lun 10 Mai 2010 - 10:07 | |
| Je suis contente qu'il t'ait plu Steven J'ai lu quelque part dans une interview que La moisson d'hiver était un si pas le roman préféré de l'auteur. Je l'avais bien aimé également, même si je lui ai préféré Le syndrome du scaphandrier, qui appartient à un tout autre registre (SF). La maternité et la relation mère-fils chez l'auteur est toujours empreinte de beaucoup de tensions, d'attentes déçues, d'ambiguités, son enfance tourmentée (sa mère était atteint de folie) y étant certainement pour quelque chose... Je ne peux que te souhaite une bonne continuation en compagnie de Brussolo |
| | | Steven Zen littéraire
Messages : 4499 Inscription le : 26/09/2007 Age : 52 Localisation : Saint-Sever (Landes)
| Sujet: Re: Serge Brussolo Lun 10 Mai 2010 - 23:05 | |
| Le syndrome du scaphandrier pour continuer avec Brussolo. D'accord Sentinelle. C'est vrai que Claire, personnage aux multiples faces est au centre du roman. Et ce que j'aime, c'est que l'auteur ne nous donne pas les clés définitives pour elle. Qui nous dit la vérité ? Elle ? Le grand-père ? Gorget ? Bruze ? En définitive, comme Julien, on ne sait pas et c'est très bien ainsi. | |
| | | Queenie ...
Messages : 22891 Inscription le : 02/02/2007 Age : 44 Localisation : Un peu plus loin.
| Sujet: Re: Serge Brussolo Dim 30 Mai 2010 - 20:14 | |
| Ça commence à m'intriguer tous vos commentaires autour des romans de Brussolo... A force d'en voir des tonnes partout, j'ai tendance à me méfier, mais puisqu'ici aussi il semble susciter un intérêt, ça pourrait bien faire ma lecture non prise de caillou de l'été... | |
| | | Invité Invité
| Sujet: Re: Serge Brussolo Dim 30 Mai 2010 - 21:03 | |
| - Queenie a écrit:
- Ça commence à m'intriguer tous vos commentaires autour des romans de Brussolo... A force d'en voir des tonnes partout, j'ai tendance à me méfier, mais puisqu'ici aussi il semble susciter un intérêt, ça pourrait bien faire ma lecture non prise de caillou de l'été...
Quoi, par encore lu un Brussolo ? Pfff qu'est-ce que tu attends encore pour te laisser tenter |
| | | Steven Zen littéraire
Messages : 4499 Inscription le : 26/09/2007 Age : 52 Localisation : Saint-Sever (Landes)
| Sujet: Re: Serge Brussolo Sam 4 Sep 2010 - 9:11 | |
| Les ombres du jardin - Citation :
- Les années cinquante. Martine, treize ans, vit avec Jeanne, sa mère dans une chambre de bonne des beaux quartiers. La jeune femme écrit des romans coquins qui font scandale. La fillette se délecte de cette bohème insouciante… Un jour, ce paradis vole en éclats. Un homme surgi du passé de Jeanne se prétend le père de Martine et veut la confisquer à sa mère. Qui est cet inconnu, violent, peut-être mythomane, qui ne reculera devant rien pour obtenir ce qu’il veut ? Martine est terrifiée à l’idée de suivre ce personnage à l’amour bien encombrant. Commence alors pour la mère et la fille une fuite hasardeuse entre peurs et mensonges… Tout le monde possède un jardin secret, mais chez certains c’est un jardin rempli d’ombres menaçantes dont il faut se garder de pousser la porte.
Dans ce roman, à mi-chemin entre thriller psychologique et roman policier, Brussolo entraine le lecteur à la suite d'un couple mère/fille dans les années cinquante. D'abord à Paris, dans leur chambre de bonne du seizième, puis en banlieue quand la peur les amènera à déménager, ensuite à Saint-Malo et enfin sur l'île de Bregannog. L'auteur part d'un fait divers des années cinquante, une femme vitriolée par un inconnu, sans raison apparente. Dans son roman, cette femme ressemble à Jeanne, auteur à succès de roamn coquin, au passé trouble. Au passé qu'elle remodèle à volonté, selon ses humeurs, car Jeanne est avant tout une conteuse. Sa fille Jeanne, et Carmen, correctrice de Jeanne, à l'amitié trouble et équivoque pour la jeune femme, s'inquiète de ce fait divers. Au même moment, ressurgit du passé un homme, qui se dit le père de Martine ; un fou, pervers dira Jeanne. Un homme insistant qui disparaîtra étrangement aussi vite qu'il est apparu. Jeanne, dans sa fuite du "vitrioleur", fera un retour vers son passé, vers son père qui ne l'a jamais aimé, vers sa mère morte alors qu'elle été encore bébé... Dans ce livre, à la fin un peu tarabiscotée, Brussolo montre encore une fois tout son art. Il maîtrise parfaitement ses talents de conteur, de créateur d'atmosphères envoûtantes. Il y a quelques incohérences mais rien qui n'empêche la ochérence d'ensemble de l'histoire et surtout, ses personnages sont très réussis. De plus, on devine, au détour de tournures utilisées, de phrases lachées un humour ravageur. Dans les romans que j'ai lu de lui pour l'instant, il semble que les relations mère/enfant soient au coeur de ses romans. | |
| | | Invité Invité
| Sujet: Re: Serge Brussolo Lun 13 Sep 2010 - 14:34 | |
| - Steven a écrit:
- Dans ce livre, à la fin un peu tarabiscotée, Brussolo montre encore une fois tout son art. Il maîtrise parfaitement ses talents de conteur, de créateur d'atmosphères envoûtantes. Il y a quelques incohérences mais rien qui n'empêche la ochérence d'ensemble de l'histoire et surtout, ses personnages sont très réussis. De plus, on devine, au détour de tournures utilisées, de phrases lachées un humour ravageur.
Brussolo est effectivement un très bon conteur, je n'ai jamais été déçue jusqu'à présent, sur les cinq romans lus à ce jour (ce qui est peu et beaucoup à la fois) - Steven a écrit:
- Dans les romans que j'ai lu de lui pour l'instant, il semble que les relations mère/enfant soient au coeur de ses romans.
Effectivement, l'auteur brasse souvent ce thème avec d'autres d'ailleurs, mais il arrive à chaque fois à nous surprendre et à en faire quelque chose d'autre, ce qui fait qu'on ne s'en lasse pas J'ai lu pendant mes vacances le très court (118 pages) Trajets et itinéraires de l'oubli, disponible en Folio 2€. Je l'ai trouvé très bon, j'y reviendrai plus en détails mais pour ceux qui ne connaissent pas encore cet auteur, je ne peux que vous le conseiller comme première lecture ! |
| | | Invité Invité
| Sujet: Re: Serge Brussolo Lun 14 Mar 2011 - 10:03 | |
| Boulevard des banquises, paru dans la collection Folio SF. - Citation :
- Quatrième de couverture
Sarah, romancière déçue, accepte faute de mieux de rédiger le guide touristique de Gottherdäl, une île qui semble vivre en dehors du temps, perdue dans les glaces du pôle Nord. Mais quels sinistres secrets cachent les aberrations architecturales de cette Venise de l'Arctique ? Quel est le but des cérémonies expiatoires dans lesquelles se complaisent, chaque nuit, les habitants de l'île ? Quel crime ancien ronge leurs âmes ? J’ai bien aimé ce roman, bien représentatif des obsessions (la folie des hommes, le sentiment de culpabilité, la quête identitaire) et fantasmes de l’auteur (masochisme et fascination morbide). L’intrigue est comme souvent bien mince mais il excelle comme toujours dans la mise en scène des événements : une atmosphère délétère et étouffante, une ambiance oppressante et pestilentielle, des personnages torturés, des mises en scènes très visuelles (les cérémonies expiatoires, les mortifications et cilices en tous genres, les enfants hurleurs, les masques). .. Les répétitions ne manquent malheureusement pas, mais cela reste tout à fait supportable (j’ai lu précédemment Le murmure des loups qui contenait tellement de répétitions que ce fut un calvaire de poursuivre jusqu’au mot fin). Un bon roman donc, au climat malsain et nuisible au possible, mais qui reste avant tout un roman d’ambiance où l’atmosphère rendue prime sur l’intrigue. Ceci dit, je ne comprends pas trop pourquoi ce roman est paru dans la collection SF tant il ne contient aucun élément SF, ce roman lorgnant surtout vers le genre fantastique. Boulevard des banquises de Serge Brussolo, première édition en 1989. |
| | | Le Bibliomane Zen littéraire
Messages : 3403 Inscription le : 21/02/2007 Age : 58 Localisation : Bretagne
| Sujet: Re: Serge Brussolo Lun 14 Mar 2011 - 11:02 | |
| Ahh....Le " Boulevard des banquises", un de mes préférés avec le " Carnaval de fer" ( Tout ça c'est pour faire craquer Queenie) | |
| | | Invité Invité
| Sujet: Re: Serge Brussolo Ven 22 Juil 2011 - 13:27 | |
| Trajets et itinéraires de l’oubli - Citation :
- Quatrième de couverture
Une fois par semaine, Georges s'aventure dans le Musée, monstruosité architecturale et labyrinthe à la fois fascinant et cauchemardesque. Il passe de salle en salle, d'escalier en escalier, à la recherche de sa femme partie en faire l'inventaire trois ans plus tôt. Quels secrets lui a-t-elle cachés ? Quels mensonges l'ont conduite à se perdre sans espoir de retour dans ce gigantesque piège ?
Vous ne connaissez pas encore Serge Brussolo mais l’envie vous titille depuis longtemps de le lire ? Dans ce cas, je ne peux que vous conseiller de lire cette nouvelle assez représentative de son style : folie, démesure, perte des repères, claustrophobie, transformation des chairs, confusion identitaire, bref du Brussolo pur jus. Si ce très court récit constitue une excellente entrée en matière pour ceux qui ne connaissent pas encore l’auteur, les autres apprécieront à sa juste valeur cette nouvelle condensée mais au combien jubilatoire. Un régal ! Et s'il s'avère que vous n'aimiez pas ce court récit, et bien je pense que vous pouvez rayer définitivement l'auteur de votre liste à lire mais au moins, vous serez fixés une bonne fois pour toute. Trajets et itinéraires de l’oubli de Serge Brussolo, Edition Gallimard, Collection Folio, ISBN 9782070426713, janvier 2003, 118 pages |
| | | Steven Zen littéraire
Messages : 4499 Inscription le : 26/09/2007 Age : 52 Localisation : Saint-Sever (Landes)
| Sujet: Re: Serge Brussolo Ven 22 Juil 2011 - 13:51 | |
| J'aimerai aborder le côté SF de Brussolo. Sentinelle m'a conseillé Le syndrome du scaphandrier, son commentaire sur Boulevard des banquises me donne envie de lire ce dernier. Le problème ? C'est que je ne trouve pas de romans de lui. Va falloir commander sur le net. Merci du partage Senti ! | |
| | | Epi Escargote Zen
Messages : 14255 Inscription le : 05/03/2008 Age : 64 Localisation : à l'ouest
| Sujet: Re: Serge Brussolo Ven 22 Juil 2011 - 14:08 | |
| J'ai quatre Brussolo dans ma PAL (impossible de savoir comment ils sont arrivés là d'ailleurs) et je tenterais bien un de ces jours. Mais par lequel commencer ? Le manoir des sortilèges - L'armure de vengeance - Le labyrinthe de Pharaon - Les prisonnières de Pharaon. Ca vous parle ? | |
| | | Steven Zen littéraire
Messages : 4499 Inscription le : 26/09/2007 Age : 52 Localisation : Saint-Sever (Landes)
| Sujet: Re: Serge Brussolo Ven 22 Juil 2011 - 15:36 | |
| - Epi a écrit:
- J'ai quatre Brussolo dans ma PAL (impossible de savoir comment ils sont arrivés là d'ailleurs) et je tenterais bien un de ces jours. Mais par lequel commencer ?
Le manoir des sortilèges - L'armure de vengeance - Le labyrinthe de Pharaon - Les prisonnières de Pharaon. Ca vous parle ? Ca ne me dit rien du tout. Plus haut (ou sur son blog, je ne sais plus) Sentinelle précise que Brussolo est très prolifique. | |
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| | | | Serge Brussolo | |
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