Gianni Di Gregorio

Vu Le déjeuner du 15 Août (Di Gregorio).

L'histoire de Gianni, qui vit et s'occupe de sa mère. Par un concours de circonstances, le voilà à devoir prendre en charge trois autres "mamies".
Longtemps que je ne m'étais pas autant ennuyée. Un scénario creux, des personnages clichés, tout y passe, les personnes âgées reviennent en enfance, c'est bien connu, alors caprice, fugue, discussion pour ne pas aller se coucher, vol de nourriture la nuit etc etc...
La mère de Gianni a un physique improbable, , elle me faisait penser à une sorte d'ET qui aurait pris 70 ans, et serait devenue une femme.



C'est elle, mais sur cette photo, elle est presque belle.

Ce film aurait pu être une comédie tendre, douce-amère sur la cohabitation des générations, la vieillesse mais c'est plutôt une succession creuse de situations qui ne sont pas drôles, un scénario très convenu.

Li a écrit:

Vu Le déjeuner du 15 Août (Di Gregorio).

L'histoire de Gianni, qui vit et s'occupe de sa mère. Par un concours de circonstances, le voilà à devoir prendre en charge trois autres "mamies".
Longtemps que je ne m'étais pas autant ennuyée. Un scénario creux, des personnages clichés, tout y passe, les personnes âgées reviennent en enfance, c'est bien connu, alors caprice, fugue, discussion pour ne pas aller se coucher, vol de nourriture la nuit etc etc...
La mère de Gianni a un physique improbable, , elle me faisait penser à une sorte d'ET qui aurait pris 70 ans, et serait devenue une femme.



C'est elle, mais sur cette photo, elle est presque belle.

Ce film aurait pu être une comédie tendre, douce-amère sur la cohabitation des générations, la vieillesse mais c'est plutôt une succession creuse de situations qui ne sont pas drôles, un scénario très convenu.

Ah tiens, la BA de ce film m'avait bien plu. Mais je l'avais oublié depuis. Et c'est pas un mal apparemment, tant mieux ! (Et dommage pour toi Li)

Gianni et les femmes de Gianni Di Gregorio

Citation :

Gianni, la soixantaine éclatante, fait preuve d’un dévouement exceptionnel : il est au service de son épouse, femme active débordée, de sa fille adorée, du fiancé de sa fille qui a élu domicile chez lui, et surtout de sa vieille mère, noble déchue qui s’obstine à vivre au-dessus de ses moyens.

Après Le déjeuner du 15 août, Gianni Di Gregorio reprend son personnage fétiche, qu'il interprète toujours lui-même, avec toute la suavité requise. Gianni et les femmes, donc, ou plutôt Gianni esclave de ses femmes : épouse, fille, mère, amies ..., ce fringant sexagénaire est de la pâte dont on fait les nouilles, tellement sa volonté semble réduite à néant face à leurs exigences. Une comédie italienne proclame l'affiche du film ! Oui et non. Oui, pour le ton doux amer, non pour l'absence de rythme et la paresse éhontée du film, qui colle bien, remarquez, à celle de son personnage central. Sympathique, le Gianni, et un peu tête à claques, lui dont la dernière fois où il a dit non doit remonter aux années 70. Si mou, qu'à côté de lui, Woody Allen ressemble à un épileptique. Si suite il y a, il est à craindre que ce soit Gianni à l'hospice. Basta, per favore !

traversay a écrit:

Gianni et les femmes de Gianni Di Gregorio

Citation :

Gianni, la soixantaine éclatante, fait preuve d’un dévouement exceptionnel : il est au service de son épouse, femme active débordée, de sa fille adorée, du fiancé de sa fille qui a élu domicile chez lui, et surtout de sa vieille mère, noble déchue qui s’obstine à vivre au-dessus de ses moyens.

Après Le déjeuner du 15 août, Gianni Di Gregorio reprend son personnage fétiche, qu'il interprète toujours lui-même, avec toute la suavité requise. Gianni et les femmes, donc, ou plutôt Gianni esclave de ses femmes : épouse, fille, mère, amies ..., ce fringant sexagénaire est de la pâte dont on fait les nouilles, tellement sa volonté semble réduite à néant face à leurs exigences. Une comédie italienne proclame l'affiche du film ! Oui et non. Oui, pour le ton doux amer, non pour l'absence de rythme et la paresse éhontée du film, qui colle bien, remarquez, à celle de son personnage central. Sympathique, le Gianni, et un peu tête à claques, lui dont la dernière fois où il a dit non doit remonter aux années 70. Si mou, qu'à côté de lui, Woody Allen ressemble à un épileptique. Si suite il y a, il est à craindre que ce soit Gianni à l'hospice. Basta, per favore !

Arf.
Moi qui voulais y aller, juste pour me rappeler un peu l'Italie, ça refroidit ton commentaire.

traversay a écrit:

Marko a écrit:

traversay a écrit:

C'est peu dire qu'on espérait tellement plus !

La bande annonce donne le sentiment d'une version académique à la sauce hollywoodienne d'un film d'auteur russe. Très curieux. Le titre déjà n'est pas très engageant...

Pas hollywoodien, très russe au contraire dans le côté attendu (mafia, vodka et militaires violeurs). La mise en scène n'a rien de bouleversant. Je doute que tu puisses y trouver ton compte, camarade.

Je trouve que les russes ont un côté très hollywoodien dans leur cinéma, aujourd'hui. Un peu comme certains Coréens.
C'est toujours très étrange cette impression d'influence trop forte.

Queenie a écrit:

Gianni et les femmes de Gianni Di Gregorio


Arf.
Moi qui voulais y aller, juste pour me rappeler un peu l'Italie, ça refroidit ton commentaire.

Un peu mou du genou, je trouve. Déjà, je n'étais pas fan du Déjeuner du 15 août.
Queenie, je peux te conseiller ce film italien, qui sort le 29 juin (ce n'est pas le film du siècle, mais c'est chouette quand même).

Merci du conseil !