Expositions

rien que pour ces sublimes expos au Château, cela vaut la peine de vivre à Tours



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héhé. et puis on a tout le temps.  

Demain j'irai faire un tour sur Mons en Belgique pour voir cette exposition:

Citation :

Nous parlions pourtant de la Belle Epoque ! Une période marquée par des progrès sociaux, techniques, économiques et politiques fulgurants. Elle prend fin de façon violente le 4 août 1914. Mais comment a-t-on pu en arriver là ? Cette exposition Signes des Temps tente de mieux cerner un état d’agitation généralisé qui se manifeste de manière flagrante dans les arts d’avant-guerre. Le bouleversement des habitudes quotidiennes déclenche des émotions antagonistes : peurs et espoirs, incertitudes et rêves, ivresse et aspirations.

Plus d’une quarantaine d’artistes originaires de 6 nations européennes sont ici réunis autour de thématiques qui permettent de sonder les limites et les liens entre des courants artistiques pourtant distincts comme le naturalisme, le symbolisme ou encore l’expressionnisme. Ensemble, ils révèlent la signature plastique d’une époque baignée d’incertitudes. Cet état de crise produit notamment par l’effondrement de valeurs anciennes est l’une des racines de l’art moderne. Des visions de peur, de menaces, d’apocalypse côtoient des projets de mondes utopiques et idylliques. Interprétées aujourd’hui comme Signes des Temps, ces œuvres sont avant tout le témoignage d’un monde en révolution que nous tâchons de comprendre a posteriori comme les images visionnaires d’un futur sombre.

Les 150 pièces présentes dans cette exposition sont autant des peintures, des sculptures que des œuvres graphiques ou photographiques d’artistes allemands, français, belges, suisses ou autrichiens issus de grandes collections internationales : Georges Minne, Auguste Rodin, Edvard Munch, Félicien Rops, Alfred Kubin ou encore Léon Spillaert, Fernand Khnopff, Arnold Schönberg, James Ensor, Ludwig Meidner … Les pages les plus sombres de la Belle Epoque ressurgissent au fil du parcours.

C'était très bien mais j'ai la flemme d'en faire un commentaire   

Ce culot! Nous faire envie, puis nous laisser tomber  !

topocl a écrit:

Ce culot! Nous faire envie, puis nous laisser tomber  !

Et toc! Mais je ferai un effort si j'arrive déjà à me mettre aux commentaires de livres qui me restent à rédiger.

Pas très sérieux, tout ça!

topocl a écrit:

Pas très sérieux, tout ça!

  

topocl a écrit:

Ce culot! Nous faire envie, puis nous laisser tomber  !

  ah oui, j'attendais aussi un commentaire... au moins quelques mots??

Et on sais ce qu'il fait à la place de ses commentaires : regarder des émissions télé très grand public.   

Arabella a écrit:

Et on sais ce qu'il fait à la place de ses commentaires : regarder des émissions télé très grand public.   

 
Il va peut être nous en faire ressortir  toute la substantifique moêlle de ces "émissions télé très grand public" à travers des commentaires renversant toutes nos convictions !  

églantine a écrit:

Arabella a écrit:

Et on sais ce qu'il fait à la place de ses commentaires : regarder des émissions télé très grand public.   

 
Il va peut être nous en faire ressortir  toute la substantifique moêlle de ces "émissions télé très grand public" à travers des commentaires renversant toutes nos convictions !  

Et il y a des choses à dire!! Par exemple...

Le petit Némo qui a fait un carton à The Voice Kids, et qui était d'un naturel confondant, ne sortait pas de l'anonymat le plus total. Sa mère dans les coulisses, qui surjouait la fébrilité de voir son rejeton se lancer sur scène, n'était autre que la comédienne et réalisatrice Isild Le Besco Emmanuelle Bercot. Et ce gamin était déjà génial dans le film avec Catherine Deneuve "Elle s'en va".



Tout est fabriqué, scénarisé, formaté pour émouvoir et conduire la barque exactement où la production le souhaite. Même Jennifer disait dans une interview que le moment où leur fauteuil se retourne n'est pas une décision spontanée et guidée par leurs propres émotions mais ordonnée par la direction de façon très stratégique.

Il y a quelque chose qui me fascine dans cet univers de fausse télé-réalité qui est encore plus artificielle que la fiction. Je recommande notamment de voir ou revoir le film de Matteo Garrone "Reality" qui était assez génial sur le sujet (il parlait d'ailleurs davantage de la psychose).

Bon, promis... J'essaierai d'en dire autant sur l'expo que j'ai vue et qui est autrement plus intéressante  

Marko a écrit:

Le petit Némo qui a fait un carton à The Voice Kids, et qui était d'un naturel confondant, ne sortait pas de l'anonymat le plus total. Sa mère dans les coulisses, qui surjouait la fébrilité de voir son rejeton se lancer sur scène, n'était autre que la comédienne et réalisatrice Isild Le Besco.

Comme je trouvais que la femme de cette photo avait l'air plus âgée qu'Isild Le Besco j'ai fait une petite recherche...il s'agirait plutôt d'Emmanuelle Bercot. 

nezumi a écrit:

Marko a écrit:

Le petit Némo qui a fait un carton à The Voice Kids, et qui était d'un naturel confondant, ne sortait pas de l'anonymat le plus total. Sa mère dans les coulisses, qui surjouait la fébrilité de voir son rejeton se lancer sur scène, n'était autre que la comédienne et réalisatrice Isild Le Besco.

Comme je trouvais que la femme de cette photo avait l'air plus âgée qu'Isild Le Besco j'ai fait une petite recherche...il s'agirait plutôt d'Emmanuelle Bercot. 

Tu as raison j'ai fait l'allitération dans mon esprit! (idem pour Christophe Lambert et Lambert Wilson qu'on inverse souvent). Isild Le Besco n'étant pas encore cinéaste mais seulement actrice contrairement à Emmanuelle Bercot.

Parmi les expos de la rentrée à Paris :

Musée Jacquemart-André, du 12 septembre au 19 janvier 2015 : Le Pérugin, maître de Raphaël.

Citation :

Après le succès de l’exposition "Fra Angelico et les Maîtres de la lumière" en 2011, le Musée Jacquemart-André propose de redécouvrir un autre grand maître de la Renaissance italienne, Le Pérugin (1450-1523). Connu pour son influence sur le jeune Raphaël, Le Pérugin est avant tout un peintre novateur dont la fortune, très importante dans toute l’Italie au début du XVIe siècle, aura un écho particulier en France jusqu’à l’époque contemporaine.
Considéré par ses contemporains comme l’un des plus grands peintres d’Italie, Le Pérugin a initié pendant les dernières décennies du XVe siècle et les premières du XVIe siècle une nouvelle manière de peindre, qui a profondément marqué son époque. Son art cristallin, fait de transparences et de lumières théâtrales, a suscité un très grand engouement et les effets inédits de grâce et de séduction qu’il a développés font de lui l’un des plus grands représentants de la Renaissance italienne.

(source : http://www.musee-jacquemart-andre.com/fr/evenements/perugin-maitre-raphael ).
Le pdf de présentation est à télécharger sur : http://www.musee-jacquemart-andre.com/sites/default/files/editeur/mecene/dossier_mecenat_perugin.pdf

On notera que l'exposition Fra Angelico était une catastrophe absolue en terme de présentation : les numéros pour écouter les explications avaient été mises tout près du sol, les explications dans les coins des salles, mais en bas ; bref, le commissaire de l'exposition de l'époque (qui n'est pas le même que pour l'expo Pérugin) était un gros enfoiré ou un crétin absolu, ou encore un sadique total, ou bien tout simplement un incompétent qui ne s'imagine pas qu'il puisse y avoir des gens à l'expo qui sont obligés de monter sur les épaules les uns les autres pour pouvoir lire le numéro à taper, ou bien le titre de l'oeuvre (qu'il suffit d'afficher au-dessus des oeuvres, eh oui, pas besoin d'être une lumière pour y penser).
D'une manière générale, il ne faut aller y voir que les expos qui ne rencontreront pas de succès, sinon les conditions sont exécrables. Ou bien avoir une visite privée.
Les collections permanentes sont fabuleuses, ceci dit, et il n'y a jamais personne. Et c'est un très joli musée.