Expositions

Vigée-Lebrun et Fragonard ! Heureusement que je n'habite pas à Paris...
Je finirais sans le sou, victime d'une overdose ou d'une crise cardiaque à force de trépigner.

Et n'oublions pas Houellebecq au Palais de Tokyo en 2016.

Du 10 septembre 2015 au 7 février 2016 au Musée Marmottan : Villa Flora, les Temps enchantés.

Citation :

La collection particulière Arthur et Hedy Hahnloser-Bühler

Chefs-d’œuvre d’exception : Bonnard, Cézanne, Manet, Matisse, Renoir, Vallotton, Vuillard, Van Gogh…

Musée des collectionneurs par excellence, le musée Marmottan Monet a vocation à faire découvrir des chefs-d’œuvre provenant des plus prestigieuses collections particulières. Le remarquable ensemble réuni par les époux Hedy et Arthur Hahnloser figure au premier rang de celles-ci. Installé à Winterthour, non loin de Zurich, c’est entre 1906 et 1936 que ce couple suisse constitue une collection unique en son genre pour orner sa demeure, la Villa Flora.

Du 10 septembre 2015 au 07 février 2016, le musée Marmottan Monet crée l’évènement et présente cette collection pour la première fois en France.
À cette occasion, près de 80 chefs-d’œuvre par Bonnard, Cézanne, Manet, Manguin, Matisse, Marquet, Renoir ou encore Vallotton, Vuillard et Van Gogh voyageront hors de Suisse pour être présentés dans l’hôtel particulier de Paul Marmottan qui sera, le temps d’une exposition temporaire, l’écrin de l’exceptionnelle collection Hahnloser-Bühler.

Dossier de presse : http://www.marmottan.fr/upload/files/DP%20MUSEE%20MARMOTTAN%20MONET%20VILLA%20FLORA.pdf


Manguin


Hodler


Bonnard...

ça a l'air bien cette affaire !

animal a écrit:

ça l'air bien cette affaire !

Plutôt, oui !

j'oublie encore des mots. il faut que je dorme.

eXPie a écrit:

animal a écrit:

ça l'air bien cette affaire !

Plutôt, oui !

ah mais oui, lors de ma visite de la Villa Flora à Winterthur j'étais enchantée par leur collection... faut profiter de l'occasion pour voir ces bijoux

Lille 3000 continue avec"Renaissance". De quoi m'occuper pendant quelques temps. Parade inaugurale ce soir.

Teaser de l'expo des Beaux Arts consacrée à la joie de vivre:

Tiens la dernière fois que j'ai été au Palais des beaux-arts de Lille, il y avait une expo où Donald Duck s'insérait dans les tableaux des maîtres. C'était assez joyeux aussi par moment. Et cela attirait des enfants, ce qui n'est pas si mal. Dans la salle des antiquités il fallait faire attention à ne pas se tromper!

Bonne expo!

Au Petit Palais, du 1er octobre 2015 au 17 janvier 2016, se tiennent deux expositions consacrées au fantastique dans les estampes.

Citation :

Le Petit Palais propose à l’automne une saison sur le thème du Fantastique à travers deux grandes expositions d’estampes.

La première, Kuniyoshi, le démon de l’estampe rassemblera près de 250 estampes et peintures de l’artiste, provenant pour l’essentiel d’une collection particulière japonaise. La seconde, L’estampe visionnaire, de Goya à Redon, présentera plus de 170 œuvres issues des collections du département des Estampes et de la photographie de la Bibliothèque nationale de France.

Source : http://www.petitpalais.paris.fr/sites/default/files/cp_fantastique_fr.pdf

Expo 1 :

Citation :

Le Petit Palais invite le public à découvrir pour la première fois en France la production d’un artiste hors du commun, Kuniyoshi (1797-1861). Grâce à d’importants prêts japonais, complétés par ceux d’institutions françaises, les 250 œuvres présentées témoigneront de sa grande force dramatique et de sa beauté expressive. L’exposition explicitera la fonction de cette imagerie de grande qualité et son importance dans la société japonaise, l'œuvre de Kuniyoshi, naguère admiré de Monet ou Rodin, ayant largement influencé depuis l’art du manga et du tatouage.

(source : http://www.petitpalais.paris.fr/fr/expositions/fantastique-kuniyoshi-le-demon-de-lestampe )

Kuniyoshi sur Wikipedia : https://fr.wikipedia.org/wiki/Utagawa_Kuniyoshi


Expo 2 :

Citation :

Le Petit Palais invite dans ses murs la Bibliothèque nationale de France pour cette grande première sur l’estampe fantastique. Plus de 170 oeuvres de Goya à Redon en passant par Delacroix et Gustave Doré introduiront le visiteur dans cet univers omniprésent dans la gravure et la lithographie du XIXe siècle. Du macabre au bestiaire fantastique, ou au paysage habité, jusqu’à la représentation du rêve ou du cauchemar : le triomphe du noir !

Source : http://www.petitpalais.paris.fr/fr/expositions/fantastique-lestampe-visionnaire-de-goya-a-redon


De plus :

Citation :

En résonnance avec les deux expositions Kuniyoshi, le démon de l’estampe et L’estampe visionnaire, de Goya à Redon, le Petit Palais présente un choix de chefs-d’œuvre des collections du musée sur le thème « Sabbat et tentations ». Dessins et gravures des plus grands maîtres témoignent de l’intérêt que les artistes de la Renaissance et du XVIIe siècle ont porté à l’univers de la sorcellerie, dont les adeptes ne furent jamais aussi nombreux qu’à l’aube de l’époque moderne.

(source : http://www.petitpalais.paris.fr/sites/default/files/dp-fantastique.pdf )

Dossier de presse : http://www.petitpalais.paris.fr/sites/default/files/dp-fantastique_0.pdf
Communiqué de presse : http://www.petitpalais.paris.fr/sites/default/files/cp_fantastique_fr.pdf

Rétrospective Wifredo Lam au Centre Pompidou. Du 30 septembre au 15 février 2016.

Citation :

Trait d’union entre les avant-gardes internationales, passeur entre l’Europe et les Amériques, la modernité de l’œuvre de Wifredo Lam (1902-1982) est irréductible à une quelconque « origine » géographique ou culturelle. Le Centre Pompidou lui consacre pour la première fois une rétrospective réunissant près de trois cents œuvres ainsi que de nombreux documents d’archives et photographies. En cinq séquences chronologiques, l’exposition revient sur la genèse de son travail, ses intérêts stylistiques et ses choix iconographiques, ainsi que sur
ses collaborations avec nombre de peintres, poètes et intellectuels ayant marqué l’histoire du 20e siècle. Le parcours, au gré des voyages et des exils de Lam, rend hommage
à sa modernité transcontinentale.

S’écartant volontairement des lectures culturalistes par trop réductrices, l’exposition propose un regard renouvelé sur une œuvre conçue comme un manifeste poétique et engagé. Il inscrit l’artiste dans
une histoire de l’art moderne relue au prisme des échanges culturels et des syncrétismes. Des conflits et des rencontres de plusieurs histoires, Lam, qui a épousé les drames de son siècle, a fait naître une œuvre visant à l’universel, porteuse d’un autre regard sur le monde post-colonial. Au cœur de ce dialogue entre l’artiste et son temps, sont présentés de nombreux chefs-d’œuvre et prêts exceptionnels, telle La Jungle, peinture monumentale de 1943 conservée au MoMA de New York, qui a inscrit Lam au rang des artistes les plus en vue de son époque.

Source : https://www.centrepompidou.fr/media/imp/M5050/CPV/94/5b/M5050-CPV-71efbaf4-ccf1-436a-945b-1b0a979c0259.pdf

Portfolio : http://www.lemonde.fr/arts/portfolio/2015/10/08/le-centre-pompidou-expose-wifredo-lam-pour-la-premiere-fois_4784700_1655012.html


Petite vidéo :

Musée de la chasse et de la nature de Paris : exposition George Shiras "L'Intérieur de la Nuit", du 15 septembre 2015 au 14 février 2016

Citation :

Chasseur dans ses jeunes années, puis avocat, homme politique, naturaliste et photographe, George Shiras abandonne dès les années 1880 le fusil pour l’appareil photo et s’engage en faveur de la préservation du monde animal.

Pionnier de la wild life photography, Shiras est aussi le premier à révéler par ses photographies au flash la vie nocturne des animaux sauvages, puis à installer des pièges photographiques, obtenant des images inédites des nombreux animaux peuplant les forêts d’Amérique du Nord. Détournant des techniques propres à la chasse, sa pratique singulière s’inscrit dans une époque marquée par le développement d’une conscience environnementaliste.

Salué en son temps pour la valeur scientifique et esthétique de ses photographies, ainsi que pour ses nombreux reportages illustrés, George Shiras est pourtant resté largement méconnu du public après sa disparition en 1942. L’exposition est l’occasion de découvrir cet auteur grâce à une cinquantaine de tirages issus des collections de la National Geographic Society et du DeVos Art Museum de Marquette.

(Source : http://www.chassenature.org/fr/le-musee/les-expositions/l-interieur-de-la-nuit )



Notice Wikipedia de George Shiras (1859-1942) : https://fr.wikipedia.org/wiki/George_Shiras_III

Une autre chouette photo de George Shiras, trouvée sur le net :

Après 6 ans de travaux, le Musée de l' Homme rouvre ses portes. Enrichi de découvertes récentes, il porte un nouveau regard sur notre passé et s' interroge sur l' avenir de l' humanité.

Vigée-Lebrun - Grand-Palais

Enfin une rétrospective pour la peintre préférée des cours Européennes du 18è, de Marie-Antoinette en particulier. Mais aller la voir, c'est voir revivre Vernet (son mentor), Houdon (son portraitiste) ou encore H. Robert.

C'est voir une formidable synthèse d'art flamand, italien (raphaëlesque), mais surtout des figures d'une vivacité inouïe, prises sur le vif, dans des cadrages audacieux, influencée par le colorisme d'un Rubens ou d'un Van Dyck.

Les accords chromatiques sont fabuleux. On croise les célébrités du moment, l'entourage royal, la famille Brongniart (intime de l'artiste)...

VL, c'est aussi une suite d'autoportraits. C'est la célébration de la mère et de sa tendresse pour l'enfance. La madone se laïcise en quelque sorte.

Des bébés qui dorment, des enfants spontanés (y compris ceux de Marie-Antoinette).

Un sens aigu de la psychologie, des carnations délicates. Je la trouve moins complaisante avec ses modèles que Quentin La Tour, dont elle n'a rien à envier (surtout pour la technique du pastel).

On en prend plein la vue et on revisite l'histoire car elle a dû s'exiler 12 ans et jusqu'en Russie.

Une femme ne vivant que pour la peinture.

Vraiment impressionnante.

Je cours aller voir Fragonard, pour rester dans l'époque. Même si le registre grivois tranchera avec l'apparat de Mme Vigée-Lebrun.

Sans froisser les conventions du moment, elle arrive à affirmer une sacrée personnalité  !!!


Tous les portraits sont différents et elle ne donne pas dans la facilité.

Quelle bonne femme !

Dialogue entre chefs-d'oeuvre ("Dialog der Meisterwerke"), au musée Städel de Francfort (du 7 octobre au 24 janvier 2016)


C'est le deux centième anniversaire du Städel de Francfort, et à cette occasion, il y a pas mal d'oeuvres importantes qui sont invitées.
Le principe, c'est de mettre une oeuvre du Städel, et une autre oeuvre d'un autre musée, pour faire une comparaison. Par exemple, le Vermeer du Städel

avec celui de la National Gallery de Dublin.


L'Annonciation de Van Eyck (de Washington)

avec Lucca Madonna, toujours de Van Eyck :


Etc. avec Degas, Otto Dix, Gentileschi, Daniel Richter, Rossetti...

On peut voir quelques oeuvres en bas du lien : http://www.staedelmuseum.de/en/exhibitions/masterworks-dialogue



Ça va être trooop bien. J'y vais dans pas bien longtemps !