Stanley Kubrick [photographe]

Son fil en tant que réalisateur

C’est en 2010 que j’ai vu pour la première fois des photos de Stanley Kubrick, mais à ce moment il n’y avait pas beaucoup disponible en ligne, cela a changé un peu entre temps, en plus, il a été photographe avant qu’il est devenu réalisateur, je pense que ce fil s’impose !

Je l’ai déjà mis sur son autre fil, mais c’est une de mes préférées…

Et la trouvaille de Queenie en couleur

Ah, sympa, je ne le connaissais pas en tant que photographe.

Kubrick est assez photographe de par son approche cinématographique. Il a été directeur photo avant d'avoir perfectionné sa technique cinématographique.

colimasson a écrit:

Ah, sympa, je ne le connaissais pas en tant que photographe.

Kubrick a commencé à gagner sa vie très jeune, grâce à la photo :

Citation :

En avril 1945, à l'âge de 16 ans, il réussit à vendre au magazine illustré Look une photographie d'un vendeur de journaux en larmes après la mort de Franklin D. Roosevelt, qu'il a prise alors qu'il se rendait au lycée1. La rédactrice en chef l'engage comme photographe indépendant, « par pitié » dira-t-il plus tard. Stanley Kubrick y travaille durant quatre ans et y apprend les ficelles du métier, la composition d'une image, les éclairages, l'usage des extérieurs et l'art de saisir le mouvement5. Plutôt perfectionniste, il lui arrive de prendre plusieurs centaines de clichés pour réaliser une seule photo6. Grand amateur de boxe, son premier « photos-récit » intitulé Prizefighter (Le Professionnel) raconte une journée de la vie du boxeur Walter Cartier. C'est ce photo-récit qui sera à l'origine de son premier film : Day of the Fight.

(source : Wikipedia).

En fait, je devais le savoir mais je m'étais cantonnée à m'intéresser à ses films...

Citation :

Beaucoup l’ignorent, mais avant d’être le réalisateur talentueux que l’on connait, Stanley Kubrick a commencé par travailler comme photographe. De 1945 à 1950, il travaille pour le magazine Look, en livrant de superbes clichés. Cette série en fait partie, alors qu’il n’est âgé que de 17 ans, il immortalise le métro de New York, une série qui nous apparait aujourd’hui comme délicieusement vintage. L’occasion de découvrir Kubrick comme on ne l’a jamais vu.