Nos lectures d'août 2015

Comme j'ai revu La cité des enfants perdus hier soir, je pense forcément à Jeunet et son côté glauque (même si on trouve aussi chez lui une profonde naïveté)...

J'ai acheté tout plein de Mishima, mais pas encore La mer de fertilité, je me la réserve pour une apothéose. Je te conseille vraiment Le pavillon d'or Dreep, si t'accroches pas avec ça, je pense qu'il y a de fortes chances pour que ce ne soit pas un auteur pour toi. Ou Neige de printemps, qui bouleverse Marko, et qui doit valoir son pesant d'or je n'en doute pas.

colimasson a écrit:

Le meilleur, dans ce roman, c'est le dictionnaire des idées reçues...

Tu pouvais pas le dire plus tôt?
Non c'est lassant, mais bon ça reste Flaubert. Donc une demie déception.

darkanny a écrit:

Sullien a écrit:

Je me suis lancé dans le second volume des Misérables : j'avais bien besoin de ça !

Bonne lecture!
Je suis en train de finir Notre Dame de Paris, encore un grand cru que je te conseille, si ce n'est déjà fait

Merci, bonne lecture à toi aussi.
Pas mon préféré, Notre-Dame de Paris : même si certains passages sont époustouflants, je dois avouer qu'il m'a un peu ennuyé.
Deux romans qu'il me tarde tarde de découvrir, c'est Han d'Islande et (surtout) Les Travailleurs de la Mer.

Sullien a écrit:

Les Travailleurs de la Mer.

Tu devrais te régaler ...

GrandGousierGuerin a écrit:

Sullien a écrit:

Les Travailleurs de la Mer.

Tu devrais te régaler ...

Oui, je ne me l'imagine pas autrement : Hugo écrivant la mer. Quel délice ce doit être !

Sullien a écrit:

GrandGousierGuerin a écrit:

Sullien a écrit:

Les Travailleurs de la Mer.

Tu devrais te régaler ...

Oui, je ne me l'imagine pas autrement : Hugo écrivant la mer. Quel délice ce doit être !

En description de tempêtes, il se surpasse : je préfère ses évocations à n'importe quel lourd effet spécial d'un blockbuster. En effet, l'émotion ressentie était bien plus profonde et sensible .... C'est tout le mal que je te souhaite Sullien !
Ce fut mon premier Hugo et j'en fus ébloui : mon préféré ... Peut-être parce que ce fut mon premier ?

Hugo, à l'instar de Céline, me fait toujours un peu peur. Mais pas de la même manière.

(Lu les deux, mais peu.)

Dreep a écrit:

Hugo, à l'instar de Céline, me fait toujours un peu peur. Mais pas de la même manière.

(Lu les deux, mais peu.)

Moi ce serait plus Bolano qui se trouve dans ta liste de lecture en cours

Toi, faut que tu viennes me parler en privé.

Dreep a écrit:

Hugo, à l'instar de Céline, me fait toujours un peu peur. Mais pas de la même manière.

(Lu les deux, mais peu.)

En quoi te font-ils peur? Pour chacun d'eux.

Je commence en parallèle à d'autres lectures à feuilleter L'anthologie de la poésie arabe.

Arabella a écrit:

Je commence en parallèle à d'autres lectures à feuilleter L'anthologie de la poésie arabe.

Tu me ferais plaisir si tu nous en mettais parfois quelques extraits ...
Envisageable d'avoir un commentaire au final ?

Les extraits éventuellement, mais pour un commentaire ce sera plus difficile. J'ai beaucoup de mal à commenter la poésie. Et le volume concentre beaucoup de siècles et pays.

GrandGousierGuerin a écrit:

Sullien a écrit:

GrandGousierGuerin a écrit:

Sullien a écrit:

Les Travailleurs de la Mer.

Tu devrais te régaler ...

Oui, je ne me l'imagine pas autrement : Hugo écrivant la mer. Quel délice ce doit être !

En description de tempêtes, il se surpasse : je préfère ses évocations à n'importe quel lourd effet spécial d'un blockbuster. En effet, l'émotion ressentie était bien plus profonde et sensible .... C'est tout le mal que je te souhaite Sullien !
Ce fut mon premier Hugo et j'en fus ébloui : mon préféré ... Peut-être parce que ce fut mon premier ?

Quatre-vingt treize, mon premier Hugo (et son dernier roman, d'ailleurs) est aussi mon préféré jusqu'ici...

Arabella a écrit:

Les extraits éventuellement, mais pour un commentaire ce sera plus difficile. J'ai beaucoup de mal à commenter la poésie. Et le volume concentre beaucoup de siècles et pays.

Je ne suis pas meilleur mais je serai intéressé par les poèmes que tu as aimés, ce qui t'a touché ou laissé de glace. Laisse couler l'encre