Nos lectures de mars 2016

Un peu de mal avec L'homme sans qualités pour l'instant, 150 pages.

Je me fais plaisir avec Racine, et son Andromaque. Même si je le trouve un peu moins inspiré que dans d'autres pièces, ça se sent que c'est une des premières au niveau de la richesse et variété des rimes. Cela ne m'empêche pas de l'aimer de plus en plus le Jeannot.

Hanta a écrit:

Suis en train de me régaler avec Barbusse.

Quel titre ?

Pardon pas précis. Le feu.
Pourquoi ce smiley :) ?

Smiley curieux, comme je tourne autour de cet auteur depuis un moment sans m'y lancer. J'ai aussi Le feu, et L'enfer, dans ma PAL.

La fin de semaine est assez tranquille en cette occasion de Pâques. J'ai travaillé hier, et donc cela veut dire que j'ai eu le temps de lire comme la plupart du temps en fin de semaine. J'ai lu quatre recueils, du moins commencé un 4e. J'ai pris quatre maisons d'édition différentes (L'Oie de Cravan, Poètes de brousse, Noroît et Le Quartanier).

Maman sauvage de Geneviève Elverum (c'est une poétesse assez accomplie)
La sueur des airs climatisés de Simon Boulerice
Femme avec caméra, de Corinne Larochelle (Elle écrit bien. Je l'avais spottée il y avait un bon moment. Elle est influencée par l'écriture d'Élise Turcotte à ce qu'il m'a semblé ou des références communes aux deux auteures)
Vies & opinions de Gottfried Gröll

Présentement, j'analyse beaucoup les démarches qui sont caractéristiques aux maisons L'Oie de Cravan et Le Quartanier. Pour une raison que je m'explique peu, je suis un peu hermétique aux stratégies textuelles du Quartanier même si je leur reconnais du mérite littéraire. L'Oie de Cravan se place sous le signe de l'avant-garde culturelle surréaliste.

Jusqu'à maintenant, Les Herbes rouges, Noroît et L'Oie de Cravan sont plus proches de mes sensibilités de poète.

ArturoBandini a écrit:

Un peu de mal avec L'homme sans qualités pour l'instant, 150 pages.

Je me fais plaisir avec Racine, et son Andromaque. Même si je le trouve un peu moins inspiré que dans d'autres pièces, ça se sent que c'est une des premières au niveau de la richesse et variété des rimes. Cela ne m'empêche pas de l'aimer de plus en plus le Jeannot.

j'ai l'homme sans qualités, je le lirai bientôt........................

Petites créatures d'Alberto Capitta. Trouvé à 2 euros dans un petit kiosque.

"Les ombres de Katyn" de Philip Kerr.

Le Bibliomane a écrit:

"Les ombres de Katyn" de Philip Kerr.

Je suis intéressée par ton avis, d'autant qu'il vient de sortir en poche. J'adore les aventures de Bernie Gunther, mais certains lecteurs ont été déçus par celui-ci. Tu me diras ?

En toute franchise (Richard Ford)

Bédoulène a écrit:

ArturoBandini a écrit:

Un peu de mal avec L'homme sans qualités pour l'instant, 150 pages.

Je me fais plaisir avec Racine, et son Andromaque. Même si je le trouve un peu moins inspiré que dans d'autres pièces, ça se sent que c'est une des premières au niveau de la richesse et variété des rimes. Cela ne m'empêche pas de l'aimer de plus en plus le Jeannot.

j'ai l'homme sans qualités, je le lirai bientôt........................

"L'homme sans qualités" semble être un pavé assez complexe et dense, pourquoi ne pas aborder Musil par " Les Désarrois de l'élève Törless" ? Ca aura une cohérence chronologique, c'est le premier roman de l'auteur et il est beaucoup plus plaisant à lire. Après, poursuivre avec " L'homme sans qualités" est possible.

Diogène, je ne suis pas certain de ton assertion... :)

Déjà, en lisant L'homme sans qualités, nous savons que c'est un des grands chefs-d'oeuvre de la littérature. Tout paraît bien pâle en comparaison. Mais bon, je me destine également à lire Les désarrois de l'élève Torless à un moment ou un autre...

jack-hubert bukowski a écrit:

Diogène, je ne suis pas certain de ton assertion... :)

Déjà, en lisant L'homme sans qualités, nous savons que c'est un des grands chefs-d'oeuvre de la littérature. Tout paraît bien pâle en comparaison. Mais bon, je me destine également à lire Les désarrois de l'élève Torless à un moment ou un autre...

Je ne dis pas que le premier est meilleur que le second car je n'ai pas encore lu " L'homme sans qualités" puis ça serait subjectif et donc sans valeur. Ce que je dis c'est que vue que beaucoup semblent avoir du mal avec " L'homme sans qualités", pourquoi ne pas aborder Musil par "Les désarrois de l'élève Torless" ? Mon assertion visait l'oeuvre de Musil dans sa globalité.

Diogène, si tu n'as pas encore lu L'homme sans qualités, lis le quitte à n'en lire que 100 ou 150 pages. Tu ne le regretteras pas je crois... pour ma part, j'ai pas poursuivi encore, mais la trace est déjà impérissable dans mon esprit...

C'est prévu, je te remercie de m'y encourager.