Parfum de livres… parfum d’ailleurs
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 Le cinéma de traversay

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bix229
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MessageSujet: Re: Le cinéma de traversay   Cinema - Le cinéma de traversay - Page 2 EmptyJeu 4 Juin 2009 - 17:50

Kurozawa était un cinéaste universel.

Inspiré fortement par Dostoievski et Shakespeare.
On sent les deux influences. Son but était de montrer que la réalité de SHakespeare, on la retrouvait partout, tout le temps et notamment au
Japon.
Et donc aussi des personnages dostoievskiens...
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eXPie
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MessageSujet: Re: Le cinéma de traversay   Cinema - Le cinéma de traversay - Page 2 EmptyJeu 4 Juin 2009 - 19:47

traversay a écrit:
7 Powell. Avec son complice Pressburger, Michael Powell a tourné quelques unes des plus belles oeuvres du cinéma mondial et je ne parle pas que de leur esthétique. Au premier rang desquelles je ne citerai que Le narcisse noir et Je sais où je vais.
Oui, son complice Pressburger est vraiment très important. Il me semble qu'il y a eu une hausse de la qualité de ses films à partir du début de leur collaboration, même si on trouvait déjà ce goût particulier pour les légendes Edge of the World (1937).
Huston : des hauts et des bas, oui. Il ne faisait pas les choses à moitié...
Concernant Lean, il faudrait citer son Brève rencontre, aussi, non ? A moins qu'il n'ait vieilli ces dernières années, mais à une époque (en 1952), il figurait dans la liste des 10 meilleurs films (petit tableau ici, si la déontologie me le permet).

Ah, Animal, je vote aussi Shock Corridor. Excellent.
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MessageSujet: Re: Le cinéma de traversay   Cinema - Le cinéma de traversay - Page 2 EmptyJeu 4 Juin 2009 - 19:56

J'adOOOOOOOOOOOOOre Brève rencontre aussi !
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MessageSujet: Re: Le cinéma de traversay   Cinema - Le cinéma de traversay - Page 2 EmptyJeu 4 Juin 2009 - 19:58

eXPie a écrit:
Ah, Animal, je vote aussi Shock Corridor. Excellent.
The naked Kiss aussi qui est dans le même package dvd !
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MessageSujet: Re: Le cinéma de traversay   Cinema - Le cinéma de traversay - Page 2 EmptyJeu 4 Juin 2009 - 22:22

Vu ce soir : Le révolté (Nagisa Oshima, 1962). Un film historique, au sujet particulièrement intéressant : les persécutions des chrétiens dans le Japon du 17ème siècle. De forme plutôt classique, à mi-chemin entre Mizoguchi et Kurosawa, cette fresque grandiose est parfois confuse mais ses accents shakespeariens, dans un noir et blanc somptueux, impressionnent.

Du même réalisateur, vus récemment les DVD suivants :

A propos des chansons paillardes au Japon (Nagisa Oshima, 1967).
Une bal(l)ade entre Eros et Thanatos. Sur fond de manifestations contre la guerre au Vietnam, une oeuvre au scénario erratique, existentialiste et difficile à appréhender sans une bonne connaissance du cinéma d'Oshima et de l'histoire japonaise. Du Godard, en un peu plus lisible (quoique...).

Le retour des trois soûlards (Nagisa Oshima, 1968).
Complètement débridé. Un film loufoque, burlesque, happening permanent où le cinéaste arrête tout à mi-distance et reprend depuis le début avec des scènes identiques. Inutile de chercher à comprendre le fin mot du scénario, quoique les allusions à la guerre du Vietnam et à l'inimitié nippo-coréenne ne sont pas anodines. A condition de laisser son esprit cartésien au vestiaire, le film peut se déguster comme une sorte de "Help", en plus halluciné.

L'obsédé en plein jour (Nagisa Oshima, 1966).
Le plus complexe des films d'Oshima. Deux femmes et un assassin violeur. Crimes, viols, suicides s'enchaînent en une drôle de sarabande. Le cinéaste explore l'âme noir de l'humain sans jamais céder au morbide. Epoustouflant sur la forme, totalement éclaté dans le récit, le film magnétise durablement un peu à l'instar de Providence de Resnais.

La ville de l'amour et de l'espoir (Nagisa Oshima, 1959).
Héraut de la nouvelle vague japonaise, Oshima rompt d'emblée avec ses prestigieux aînés, tant dans la forme -montage cut très brutal-, que dans le fond -préoccupations sociales plutôt que psychologiques. Le film, qui fait se confronter deux mondes aux antipodes, celui des riches entrepreneurs et celui d'une famille vivant d'expédients, se contente d'une intrigue minimale et d'une durée dépassant à peine une heure pour affirmer avec force un discours politique sans ambigüités. Dès ses premiers films, Oshima est un rebelle.

L'enterrement du soleil (Nagisa Oshima, 1960).
Le premier film en couleurs d'Oshima est son plus noir. Une guerre des gangs dans des taudis innommables où s'accumulent meurtres, suicides, viols et autres tendresses du même genre. Métaphore du Japon de l'après guerre et portrait des délaissés du développement économique, le film d'Oshima parvient, on ne sait comment, à être poétique au milieu des immondices. Enorme travail sur le son et la couleur. Proche par le thème de Dodes'kaden de Kurosawa mais avec un traitement radical qui l'en éloigne. Un film que citent régulièrement Tarantino et Michael Mann. On comprend pourquoi.
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MessageSujet: Re: Le cinéma de traversay   Cinema - Le cinéma de traversay - Page 2 EmptySam 6 Juin 2009 - 18:59

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Rafles sur la ville (Pierre Chenal, 1957).
Adapté de l'oeuvre d'Auguste Le Breton, un des meilleurs films noirs français des années 50. S"il respecte un certain nombre des clichés du genre, il les transcende par son pessimisme radical et un style d'une efficacité qui rappelle Melville dans ses meilleurs moments. Très bonne utilisation des seconds rôles et partition parfaite de l'ancien Vanel et du jeune Piccoli. Aux commandes, Pierre Chenal, dont les meilleurs films datent des années 30 (La maison du maltais, L'alibi, Le dernier tournant...) et qui retrouve ici une nouvelle jeunesse. Il confirmera deux ans plus tard avec La bête à l'affut.
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MessageSujet: Re: Le cinéma de traversay   Cinema - Le cinéma de traversay - Page 2 EmptySam 6 Juin 2009 - 22:09

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La belle de New York (Charles Walters, 1952).
Walters et Astaire se déclaraient peu satisfaits par le film. On les comprend : l'argument est minimal, ce qui n'est pas rédhibitoire pour une comédie musicale, mais surtout, les chansons et danses manquent singulièrement d'entrain. Fred Astaire est égal à lui-même mais il manque l'étincelle qui mettrait le feu à ce film bien trop sage.

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MessageSujet: Re: Le cinéma de traversay   Cinema - Le cinéma de traversay - Page 2 EmptyDim 7 Juin 2009 - 16:45

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Cinema - Le cinéma de traversay - Page 2 Camorrista400

Le maître de la Camorra (Giuseppe Tornatore).
Le tout premier film de Tornatore, loin de l'univers dans lequel il excelle (Cinema Paradiso, Ils vont tous bien...). Une fresque impressionnante (2 heures 40) dont le réalisme le rapproche davantage de Gomorra que de la trilogie du Parrain. Malgré quelques affèteries stylistiques, un grand film qui aborde certains aspects peu traités dans l'évocation des mafias italiennes, notamment la place des femmes.
A noter que le dernier film de Tornatore L'inconnue, n'est toujours pas sorti en France. Il s'agit d'un thriller un peu tarabiscoté et inabouti mais qui mérite d'être vu.
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MessageSujet: Re: Le cinéma de traversay   Cinema - Le cinéma de traversay - Page 2 EmptyLun 8 Juin 2009 - 23:01

Vu sur CinéPolar :

Mirages de la peur (The accused, William Dieterle, 1949)
Dieterle n'est pas répertorié comme un des grands de Hollywood mais il lui est arrivé de tendre à l'excellence (Tous les biens de la terre, Portrait de Jennie...) et il a réalisé dans les années 30 des biopics de bonne facture (La vie de Louis Pasteur, La vie d'Emile Zola...). Mirages de la peur n'est pas de sa meilleure veine : un film noir cousu de fil blanc, qui s'oublie très vite. Mise en scène atone, interprétation sans relief (Loretta Young, pour une fois décevante), scénario scolaire. Sans oublier un happy end tiré par les cheveux.

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MessageSujet: Re: Le cinéma de traversay   Cinema - Le cinéma de traversay - Page 2 EmptyMar 9 Juin 2009 - 22:12

Vu sur CinéClassic :

Terre damnée (Copper canyon, John Farrow, 1950).
Excellent western du méconnu John Farrow. Equilibre parfait entre scènes d'action et psychologie, sur fond d'après guerre de Sécession. Le technicolor est parfois un peu clinquant mais la mise en scène, affûtée, est implacable. Hedy Lamarr est d'une beauté à couper le souffle.

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MessageSujet: Re: Le cinéma de traversay   Cinema - Le cinéma de traversay - Page 2 EmptyJeu 11 Juin 2009 - 20:05

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Casanova le petit (Casanova Brown, Sam Wood, 1944).
Artisan honnête, Sam Wood savait, à l'occasion se mettre à la hauteur de ses scénarios (Un jour aux courses, Pour qui sonne le glas...). Celui de Casanova le petit n'a rien de miraculeux mais cette comédie loufoque et romantique n'est pas si mauvaise. En grande partie grâce à Gary Cooper, toujours impeccable.


Dernière édition par traversay le Dim 14 Juin 2009 - 0:11, édité 1 fois
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MessageSujet: Re: Le cinéma de traversay   Cinema - Le cinéma de traversay - Page 2 EmptyJeu 11 Juin 2009 - 22:21

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Des gens sans importance (Henri Verneuil, 1955).
Un film en gris et blanc comme il s'en tournait beaucoup en France à l'époque, dans un style réaliste que railla la Nouvelle vague. Un peu désuet, c'est indéniable mais pas sans intérêt pour son aspect documentaire su le monde des routiers. Au côté d'un Gabin impressionnant, Françoise Arnoul impose sa fragile et charnelle présence.
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MessageSujet: Re: Le cinéma de traversay   Cinema - Le cinéma de traversay - Page 2 EmptyVen 12 Juin 2009 - 22:43

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La mer cruelle (The cruel sea, Charles Frend, 1953).
Un film de guerre britannique bien dans la tradition, c'est à dire intégrant deux composantes essentielles : 1. Le facteur humain ou autrement dit une sorte d'héroïsme modeste ; 2. L'aspect documentaire, particulièrement réaliste et sans esprit de propagande. A rapprocher de Ceux qui servent en mer de David Lean.
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MessageSujet: Re: Le cinéma de traversay   Cinema - Le cinéma de traversay - Page 2 EmptySam 13 Juin 2009 - 18:36

Le soleil des voyous (Jean Delannoy, 1967).
Non, Delannoy n'a pas tourné que des films à la noix ! Adapté d'une série noire, dialogué par Alphonse Boudard, le film est un polar traditionnel qui a l'intelligence de prendre son temps et de s'intéresser à la psychologie des personnages. Mise en scène popote mais excellente interprétation de l'étrange couple Gabin/Stack. Ca se laisse voir, ma foi.
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MessageSujet: Re: Le cinéma de traversay   Cinema - Le cinéma de traversay - Page 2 EmptySam 13 Juin 2009 - 22:48

Le voyage (The journey, Anatole Litvak, 1959).
L'histoire est familière : celle d'un groupe de voyageurs retenu contre leur gré pendant plusieurs jours dans un hôtel. Il est évident que Boule de suif de Maupassant a influencé le scénario au même titre que La chevauchée fantastique de Ford, vingt ans plus tôt. Le contexte est évidemment différent, nous sommes en 1956 en Hongrie et les troupes soviétiques viennent d'écraser la révolte à Budapest. Bon script, qui aurait gagné à être élagué (1/2 heure au moins), mis en scène avec application et sans génie par Litvak. L'interprétation est de premier ordre, en particulier celles de Yul Brynner et de Deborah Kerr. A noter les petits rôles de Anouk Aimée et Gérard Oury dans cette production qui a le mérite d'éviter l'anti-communisme primaire.

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