Lecture en commun - Jonathan Franzen (Freedom)

kenavo a écrit:

ok Epi

n'empêche que je vais attendre Noémie et Alixe

Voilà,voilà, j'arrive !! J'ai biberonné les titous, je peux lire....

je continue avec grand plaisir ma lecture. je garde comme promis mes commentairesr pour le moment. Franzen décrit avec bonheur et humour cette jeune femme malheureuse, compliquée et malsaine.

Je préfère vous prévenir : je ne lis pas vite faute de temps et rien ne vous oblige à m'attendre....je suis déjà si contente de participer à cette LC ! Je ne l'aurais surement pas lu sans vous.....

je vous envie, amis parfumés......mais quand je l'aurai entre les mains, vous l'aurez déjà lu...et là j'espère me régaler

Salut!

Excusez-moi... j'ai tellement de stress au travail, que je ne pouvais pas commencer ma lecture à temps... mais demain après-midi je lirai très très très vite....

topocl a écrit:

je continue avec grand plaisir ma lecture. je garde comme promis mes commentairesr pour le moment. Franzen décrit avec bonheur et humour cette jeune femme malheureuse, compliquée et malsaine.

Noémie a écrit:

Je préfère vous prévenir : je ne lis pas vite faute de temps et rien ne vous oblige à m'attendre....je suis déjà si contente de participer à cette LC ! Je ne l'aurais surement pas lu sans vous.....

alixe a écrit:

Excusez-moi... j'ai tellement de stress au travail, que je ne pouvais pas commencer ma lecture à temps... mais demain après-midi je lirai très très très vite....

je pense que cette lecture en commun va se dérouler un peu différemment que d'autres.. vu l'épaisseur du livre et la disponibilité de chacun, je pense que c'est normal.. du moment qu'on revient sur ce fil pour en discuter, je crois qu'il n'y a rien de mal

mimi54 a écrit:

je vous envie, amis parfumés......mais quand je l'aurai entre les mains, vous l'aurez déjà lu...et là j'espère me régaler

tu vas peut-être l'avoir avant la fin de lecture de certains

Je dois dire que ce livre me plaît vraiment (tout en comprenant qu'on puisse le trouver parfaitement insupportable : le mode de narration et les personnages) et que j'aurais du mal à interrompre ma lecture pour attendre les autres. J'en suis à une petite moitié. Par contre je neveux absolument mettre la pression sur personne (le plaisir avant tout), donc je stocke mes commentaires chapitre par chapitre et je les insérerai dans le fil au fur et à mesure de vos réactions. Je vous souhaite autant de jubilation qu’à moi.

Kenavo le sait, je ne suis pas trop amie de la littérature américaine contemporaine. Les soucis et les envies de la classe moyenne américaine, honnêtement dit, je m’en fiche !
Donc, j’ai débuté ma lecture avec des sentiments mitigés. Je dois avouer que je ne regrette pas de m’avoir lancé, puisque le début est tout à fait à mon goût. La façon à laquelle Franzen tourne les « qualités » de cette famille en ridicule me plait vraiment bien.

Je viens de rencontrer les parents de Patty, oui, ce sont toujours les « méchants » parents qui ne s’occupent pas assez de leur portée… Mais, je ne parle pas pour les jeunes parmi nous, mais de ma génération (né dans les années soixante) : Nos parents (ou bien au moins la plupart) ont bossé et le plus important dans l’éducation des enfants était de les voir en bonne santé, bien nourri, bon élève et tranquille. Pour le reste, on se débrouillait tout seul. Ces lamentations chez les américains m’énervent. Mais ici j’ai bien l’impression que ça ira plus au fond.

@Epi: Tu me laisses vraiment toute seule courir après les autres?

@Kenavo: Oui, tu as raison, il y a un peu d'Updike dedans!

alixe a écrit:

Je viens de rencontrer les parents de Patty, oui, ce sont toujours les « méchants » parents qui ne s’occupent pas assez de leur portée… Mais, je ne parle pas pour les jeunes parmi nous, mais de ma génération (né dans les années soixante) : Nos parents (ou bien au moins la plupart) ont bossé et le plus important dans l’éducation des enfants était de les voir en bonne santé, bien nourri, bon élève et tranquille. Pour le reste, on se débrouillait tout seul. Ces lamentations chez les américains m’énervent. Mais ici j’ai bien l’impression que ça ira plus au fond.

Je ne suis pas certaine que les familles américaines (ou européennes peu importe) aient la partie plus facile en ce qui concerne l'éducation de leurs enfants actuellement et je comprends un peu leurs "lamentations"

Les nôtres (de parents) nous ont éduqués à une époque (les 30 glorieuses) où l'effort payait, où l'école jouait encore son rôle d'ascenseur social, où les besoins en consommation n'étaient pas aussi exacerbés et où l'esprit de compétition n'animait pas n'importe quel débat
Ce n'est pas le cas aujourd'hui, les problèmes sont différents et pas moindre.

alixe a écrit:

@Kenavo: Oui, tu as raison, il y a un peu d'Updike dedans!

Bon, alors, je rajoute Updike sur ma LAL.

alixe a écrit:

@Epi: Tu me laisses vraiment toute seule courir après les autres?

Désolée mais je suis sure que tu vas très vite les rattraper. Et puis je crois que Noémie a un peu de retard aussi.

alixe a écrit:

@Kenavo: Oui, tu as raison, il y a un peu d'Updike dedans!

Il faut vraiment que je le lise Updike, surtout que j'en ai dans ma PAL.

topocl a écrit:

alixe a écrit:

@Kenavo: Oui, tu as raison, il y a un peu d'Updike dedans!

Bon, alors, je rajoute Updike sur ma LAL.

Epi a écrit:

alixe a écrit:

@Epi: Tu me laisses vraiment toute seule courir après les autres?

Désolée mais je suis sure que tu vas très vite les rattraper. Et puis je crois que Noémie a un peu de retard aussi.

alixe a écrit:

@Kenavo: Oui, tu as raison, il y a un peu d'Updike dedans!

Il faut vraiment que je le lise Updike, surtout que j'en ai dans ma PAL.

ah mais oui.. Franzen n'est que l'hériter de tous ceux qui ont fait ce genre de littérature bien avant lui: Richard Yates: ici, John O'Hara : ici, John Cheever: ici et naturellement John Updike ici

darkanny a écrit:

Je ne suis pas certaine que les familles américaines (ou européennes peu importe) aient la partie plus facile en ce qui concerne l'éducation de leurs enfants actuellement et je comprends un peu leurs "lamentations"

Les nôtres (de parents) nous ont éduqués à une époque (les 30 glorieuses) où l'effort payait, où l'école jouait encore son rôle d'ascenseur social, où les besoins en consommation n'étaient pas aussi exacerbés et où l'esprit de compétition n'animait pas n'importe quel débat
Ce n'est pas le cas aujourd'hui, les problèmes sont différents et pas moindre.

Oh, Darkanny, je pense que je me suis très mal exprimée. Excuse moi! Je ne parle pas des parents d'aujourd'hui, mais des adultes qui donnent la faute à leurs parents, s'ils ne réussissent pas à gérer leur vie. (je ne parle pas des situations graves comme l'abus ou négligence excessive)

Ahhhh ok je comprends mieux

alixe a écrit:

Oh, Darkanny, je pense que je me suis très mal exprimée. Excuse moi! Je ne parle pas des parents d'aujourd'hui, mais des adultes qui donnent la faute à leurs parents, s'ils ne réussissent pas à gérer leur vie. (je ne parle pas des situations graves comme l'abus ou négligence excessive)

Oui sur la faute des parents, il y a un moment où il faut savoir s'arrêter. C'est là justement que se situe notre liberté.