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| Jean Luc Godard | |
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Auteur | Message |
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Roderick Usher Posteur en quête
Messages : 75 Inscription le : 23/10/2009 Age : 32
| Sujet: Jean Luc Godard Lun 7 Déc 2009 - 20:36 | |
| - Citation :
- Réalisateur suisse, Jean-Luc Godard fait des études d'ethnologie à Paris. A la Sorbonne, il rencontre les 'jeunes Turcs' du cinéma français : Truffaut, Rivette, Rohmer, avec qui il rédige des critiques dans la revue des Cahiers du cinéma. La sortie de son premier long métrage en 1959, 'A bout de souffle', en fait l'un des réalisateurs phares de la Nouvelle Vague. Dès lors, il va chercher à réinventer la forme narrative du cinéma, à travers de nombreux films : 'Une femme est une femme' (1961), 'Le Mépris' avec Brigitte Bardot (1963), 'Pierrot le fou' avec Jean-Paul Belmondo (1965). Il expérimente ensuite la vidéo. En 1980, il revient à un cinéma plus grand public qui attire des acteurs de renom. Il est sélectionné au Festival de Cannes trois fois pour 'Sauve qui peut la vie' (1980), 'Passion' (1982) et 'Détective' (1985) et obtient le Lion d'or au Festival de Venise pour 'Prénom Carmen'. Dans les années 1990, Godard fait un retour à l'expérimentation avec 'Eloge de l'amour'. Dans sa perpétuelle volonté de 'peindre les choses qui sont derrière les choses', Jean-Luc Godard est un véritable novateur qui a marqué l'histoire du cinéma français.
source : www.evene.fr - Citation :
- Filmographie/Index (Cliquez sur les chiffres pour accéder directement aux pages)
1960 : À bout de souffle Page 11960 : Le Petit Soldat 1961 : Une femme est une femme 1962 : Vivre sa vie. Film en douze tableaux Page 31963 : Les Carabiniers 1963 : Le Mépris Page 11964 : Bande à part 1964 : Une femme mariée. Fragments d’un film tourné en 1964 1965 : Alphaville, une étrange aventure de Lemmy Caution Page 21965 : Pierrot le fou 1966 : Masculin féminin 1966 : Made in USA 1966 : 2 ou 3 choses que je sais d'elle Page 31967 : La Chinoise 1967 : Week-end 1968 : Le Gai Savoir 1968 : Cinétract (numéros 7, 8, 9, 10, 12, 13, 14, 15, 16, 23, 40) 1968 : Un film comme les autres (revendiqué a posteriori par le Groupe Dziga Vertov) 1968 : One American Movie (abandonné par le Groupe Dziga Vertov, puis terminé par Richard Leacock et D.A. Pennebaker en 1971 sous le titre One P.M.) 1968 : One Plus One (distribué dans une version modifiée par le producteur sous le titre Sympathy for the Devil) 1969 : British Sounds (signé a posteriori par le Groupe Dziga Vertov) 1969 : Pravda (signé a posteriori par le Groupe Dziga Vertov) 1969 : Vent d’est (signé par le Groupe Dziga Vertov) 1970 : Luttes en Italie (Lotte in Italia) (signé par le Groupe Dziga Vertov) 1970 : Vladimir et Rosa (signé par le Groupe Dziga Vertov) 1972 : Tout va bien (coréalisé avec Jean-Pierre Gorin) 1972 : Letter to Jane (coréalisé avec Jean-Pierre Gorin) 1974 : Ici et ailleurs (coréalisé avec Anne-Marie Miéville) 1975 : Numéro deux (en) (coréalisé avec Anne-Marie Miéville) 1976 : Comment ça va (coréalisé avec Anne-Marie Miéville) 1976 : Six fois deux (Sur et sous la communication) (coréalisé avec Anne-Marie Miéville) 1977 : Quand la gauche aura le pouvoir 1979 : France tour détour deux enfants (coréalisé avec Anne-Marie Miéville) 1979 : Sauve qui peut (la vie) 1982 : Passion 1983 : Prénom Carmen 1985 : Je vous salue, Marie 1985 : Détective 1985 : Soft and Hard. Soft Talk On a Hard Subject Between Two Friends (coréalisé avec Anne-Marie Miéville) 1985 : Grandeur et décadence d'un petit commerce de cinéma révélées par la recherche des acteurs dans un film de télévision publique d’après un vieux roman de J.H. Chase (alias Chantons en chœur – titre de la sortie VHS) 1986 : Meetin' WA 1987 : Soigne ta droite. Une place sur la Terre 1987 : King Lear 1987 : On s'est tous défilés 1988 : Puissance de la parole 1988 : Histoire(s) du cinéma 1990 : Nouvelle vague 1991 : Allemagne année 90 neuf zéro. Solitudes, un état et des variations 1993 : Hélas pour moi 1993 : Les enfants jouent à la Russie 1993 : Je vous salue Sarajevo 1995 : JLG/JLG. Autoportrait de décembre 1995 : Deux fois cinquante ans de cinéma français (coréalisé avec Anne-Marie Miéville) 1996 : Espoir/Microcosmos 1996 : Le Monde comme il ne va pas 1996 : For Ever Mozart 1996 : Adieu au TNS 1996 : Clip video Plus Oh! de France Gall 1998 : Histoire(s) du cinéma 1998 : The Old Place. Small Notes Regarding the Arts at Fall of 20th Century (coréalisé avec Anne-Marie Miéville) 2000 : L'Origine du XXIe siècle 2001 : Éloge de l'amour 2002 : Dans le noir du temps (épisode du film Ten Minutes Older : The Cello) 2002 : Liberté et patrie (coréalisé avec Anne-Marie Miéville) 2004 : Notre musique 2004 : Moments choisis des Histoire(s) du cinéma 2006 : Vrai faux passeport. Fiction documentaire sur des occasions de porter un jugement à propos de la façon de faire des films 2006 : Ecce homo 2006 : Une bonne à tout faire (nouvelle version) 2010 : Film Socialisme Page 2Film annoncé : Adieu au langage - Citation :
- mise à jour le 04/03/2013 à la page 3
Je suis surpris que personne n'est pensé a ce réalisateur qui est quand même l'un des plus important de la deuxiéme moitié du XXeme siècle, d'autant plus qu'on ne peut pas dire qu'il laisse indifférent on peut autant le trouver insupportable que génial. Pour ma part, j'ai surtout vu les films des années 60, la suite est beaucoup plus expérimental (la période nouvelle vague, l'est aussi, mais en moins hermétique il me semble) et je connais très mal, mais j'aime beaucoup ce que j'ai vu, je trouve que ce sont des films vraiment audacieux, encore aujourd'hui dans leur déconstruction narrative et leur mise en scéne. Les films que j'ai vu A bout de souffle Une femme est un femme Les carabiniers Pierrot le fou Alphaville Le mépris Week End
Dernière édition par Bédoulène le Lun 4 Mar 2013 - 23:32, édité 2 fois (Raison : ajout bio et photo) | |
| | | Steven Zen littéraire
Messages : 4499 Inscription le : 26/09/2007 Age : 52 Localisation : Saint-Sever (Landes)
| Sujet: Re: Jean Luc Godard Lun 7 Déc 2009 - 20:57 | |
| Alors, quand je vois ce titre, je ne peux m'empêcher de mettre ça :
A bout de souffle
Pour Godart, je ne connais pas trop, comme tout ce qui touche au cinéma. Mais Le mépris, quand même, quel chef-d'oeuvre ! | |
| | | Roderick Usher Posteur en quête
Messages : 75 Inscription le : 23/10/2009 Age : 32
| Sujet: Re: Jean Luc Godard Lun 7 Déc 2009 - 21:05 | |
| Le mépris est un film magnifique, réflexion sur le couple, sur le cinema, a l'esthétique infiniment poétique. C'est beau, intelligent et contrairement a tout les clichés que l'on pourrait entendre sur ce film, certainement pas chiant, le rythme est assez lent, c'est assez élitiste, mais si l'on s'accroche un peu on apprécieras vraiment ce film magnifique | |
| | | animal Tête de Peluche
Messages : 31548 Inscription le : 12/05/2007 Age : 43 Localisation : Tours
| Sujet: Re: Jean Luc Godard Lun 7 Déc 2009 - 22:00 | |
| vu que A bout de souffle que j'ai trouvé plus chiant que insupportable (pour reprendre les mots). d'ailleurs si quelqu'un peut expliquer le contexte qui ferait que wahou le film a un tel statut, je le lirai volontiers ! je suis un peu gêné par le manque de souvenirs laissés par le film, pourtant vu il n'y a pas si longtemps. Vision par ailleurs sans a priori (on ne sait jamais ) | |
| | | Roderick Usher Posteur en quête
Messages : 75 Inscription le : 23/10/2009 Age : 32
| Sujet: Re: Jean Luc Godard Lun 7 Déc 2009 - 22:15 | |
| A bout de souffle chiant!? J'avoue que je me serais plus attendu a lire ce mot pour des films comme Le mépris et Alphaville, parce que A bout de souffle c'est le plus commercial des films de Godard.
Sinon effectivement le film est déroutant et je ne comprend que l'on ne rentre pas dedans. Après ce qui fait que c'est considéré comme l'une des œuvres fondatrice du cinema moderne post-Citizen Kane, et bien il faut quand même se remettre dans le contexte de l'époque, ou l'on voit débouler dans le paysage du très sage cinema français de l'époque, ce véritable OVNI, hommage aux séries B américaine (dont Godard et Truffaut scénariste du film était de véritable fan), qui rompt toute les règles cinématographique: -Belmondo s'adresse au spectateur -Godard ne cherche pas a cacher que ce qui est projeté a l'écran est un film, d'où les acteur qui parle a la caméra, ou les passants, qui ne sont même pas des figurants puisque Godard a tourner dans la rue avec des moyens minimaux qui regarde la caméra -Le film est il me semble intégralement filmé caméra a l'épaule -Il se déroule presque entiérement en décor naturel -Le montage complétement hallucinant avec ces coupes qui brise la continuité du film et qui accentue l'impression que Belmondo vit sa vie a 100 à l'heure, jusqu'a la fin ou il finit par s'effondrer a bout de souffle (d'ou le titre du film)
C'est a cause de tout ça que le film possède un tel statut encore aujourd'hui, parce qu'il reste quand même très moderne. | |
| | | animal Tête de Peluche
Messages : 31548 Inscription le : 12/05/2007 Age : 43 Localisation : Tours
| Sujet: Re: Jean Luc Godard Lun 7 Déc 2009 - 22:26 | |
| mmmmh je ne dirai pas "déroutant" en tout cas... vu de maintenant ? les points que tu soulignes se traduisent mal (pour moi) dans le spectacle film et puis j'ai des doutes sur certains comme la place du spectateur, le décor naturel en 1960 il y a déjà eu un bon paquet de films. je pense que mon manque d'intérêt vient de la platitude de l'histoire et de la façon dont elle est menée, dans le genre la série B rustique a peut être plus tendance à démarrer, à emmener son affaire. une petite impression de film qui prend la pose (ce qui marche parfois), une sorte d'effet d'esbroufe ? ... j'ai cherché mine de rien mon os à ronger derrière mais revenu bredouille en fait il est fort possible que je n'ai pas cherché ce que le film pouvait proposer... à la fois dommage et partie du jeu ? | |
| | | eXPie Abeille bibliophile
Messages : 15620 Inscription le : 22/11/2007 Localisation : Paris
| Sujet: Re: Jean Luc Godard Lun 7 Déc 2009 - 23:17 | |
| - animal a écrit:
- les points que tu soulignes se traduisent mal (pour moi) dans le spectacle film et puis j'ai des doutes sur certains comme la place du spectateur, le décor naturel en 1960 il y a déjà eu un bon paquet de films.
Si je ne me trompe pas, par exemple les premiers Chabrol : Le Beau Serge (1958). Godard, je me souviens que j'ai commencé à voir Alphaville. Et je ne comprenais rien à ce qui se disait. Mauvaise copie, ou bien est-ce fait exprès, qu'on ne comprenne pas ce qui se dit ? A bout de Souffle, oui, je l'ai vu, dans mon souvenir ça valait surtout par Belmondo et Jean Seberg (dont la coiffure, sauf erreur de ma part vient de Saint Joan, 1957, merci Preminger- Godard est un as du recyclage, du collage, de la citation). Ah, Pierrot le fou. Sympa. Mais j'étais content que ça se termine, à la fin. Un poil long, comme film ? Et, ah, il y a Le Mépris, dont je retiens la musique. Delerue était un grand. Si ça se trouve, je ne suis pas très réceptif à Godard. | |
| | | Roderick Usher Posteur en quête
Messages : 75 Inscription le : 23/10/2009 Age : 32
| Sujet: Re: Jean Luc Godard Mar 8 Déc 2009 - 8:38 | |
| - animal a écrit:
- les points que tu soulignes se traduisent mal (pour moi) dans le spectacle film et puis j'ai des doutes sur certains comme la place du spectateur, le décor naturel en 1960 il y a déjà eu un bon paquet de films.
La place du spectateur? Tu veux dire quand je dit que Belmondo parle directement au spectateur, revoici le début du film ou l'on trouve cette fameuse scéne. https://www.youtube.com/watch?v=JVX9EgyC0Ys Pour les films en décor naturel, non il n'y en a pas des masses, peut être des muets, ou quelque film du réalisme poétique, après l'essentiel du cinema des années 50 est un cinema de studio, a quelques exception prêt, Au début des années 60, les films en décor naturel sont essentiellement des films nouvelle vague donc Le Beau Serge de Chabrol, Les 400 coups de Truffaut, mais après a part la nouvelle vague, il n'y a presque pas de film en décor naturel, c'est assez rare. Pour Alpaville tu as probablement vu une mauvaise copie, parce que l'on comprend très bien ce qui se dit, après comprendre ce que ça veut dire c'est autre chose, parce que c'est très absurde, et que Godard a l'art d'alterner passage très significatif et profond et esbroufe complétement délirante et voir de mêler les deux du coup, c'est assez difficile a suivre. | |
| | | Roderick Usher Posteur en quête
Messages : 75 Inscription le : 23/10/2009 Age : 32
| Sujet: Re: Jean Luc Godard Sam 12 Déc 2009 - 19:35 | |
| A voir aussi: Une femme est une femme, premier gros échec commercial de Godard, même si il n'a jamais était un cinéaste grand public, A bout de souffle avait tout de même était un succès, et plus tard Pierrot le fou avait lui aussi bien marcher. Pourtant on ne peut pas accuser cette comédie d'être chiante, et intellectualisante a l'extrême, ce mélange de Guitry et de Ionesco, prouve que l'avant gardisme peut être un véritable amusement, alors il faut aimez un humour assez absurde avec des aparté du genre: "Avant de jouer la comédie il faut saluer les spectateur" et les acteurs s'incline vers la caméra. Une bande son souvent délirante (irruption de musique en total décalage avec les images), et toute une foule d'effet burlesque comme Brialy qui fait du vélo dans son appartement tout en se disputant avec sa femme, ou bien la dispute muette du couple qui ne communique plus que par titre de livre. Godard multiplie aussi les clins d'œil aux films de la nouvelle vague: Belmondo qui s'aprete a regarder A bout de souffle a la télé, ou encore Marie Dubois annonçant triomphalement qu'elle vient de voir Tirez sur le pianiste (film dans lequel elle jouait) au cinema. | |
| | | Babelle Zen littéraire
Messages : 5065 Inscription le : 14/02/2007 Localisation : FSB
| Sujet: Re: Jean Luc Godard Mar 12 Jan 2010 - 20:05 | |
| J'ai vraiment du mal avec Godard. (Il faudrait que je revoie Le Mépris bien sûr). Son (ses) Histoire (s) du cinéma me déroute (sur DVD). Je n'y vois pas de sens. C'est comme un amalgame d'images et de sons, images faites des coupures de films classiques, d'images d'archives de périodes difficiles, et de son image à lui (qui écrit, parle)... avec, en résonance, à la fois le son des films qui ont fait l'histoire du cinéma certes mais aussi sa propre voix. | |
| | | traversay Flâneur mélancolique
Messages : 10160 Inscription le : 03/06/2009 Age : 66 Localisation : Sous l'aile d'un ange
| Sujet: Re: Jean Luc Godard Mar 12 Jan 2010 - 22:16 | |
| Pas trop ma tasse de thé Godard mais il faudrait que je revois les classiques : Pierrot le fou, Le mépris, A bout de souffle... J'ai vu ses films des années 80 et 90 et là Sauve qui peut, pour reprendre un de ses titres. Avant de réaliser, Godard, Truffaut, Rohmer et Chabrol écrivaient au même moment dans Les cahiers du cinéma (les numéros ont été réédités sous forme de pavés). Godard parlant de Lang ou de Johnny Guitar de Ray, c'est très très brillant (un peu abscons, aussi, parfois). | |
| | | bix229 Parfum livresque
Messages : 24639 Inscription le : 24/11/2007 Localisation : Lauragais (France)
| Sujet: Re: Jean Luc Godard Mar 12 Jan 2010 - 22:35 | |
| Godard : autodidacte intelligent, brillant meme. Mais qui se semble s' etre perdu lui meme dans le labyrinthe de ses questionnements, de ses contradictions... Dans l' abstraction. Dommage: A bout de souffle reste un bon film... Pierrot le fou... Perdu de vue depuis longtemps. | |
| | | eXPie Abeille bibliophile
Messages : 15620 Inscription le : 22/11/2007 Localisation : Paris
| Sujet: Re: Jean Luc Godard Mar 12 Jan 2010 - 23:58 | |
| - bix229 a écrit:
- Godard : autodidacte intelligent, brillant meme.
Mais qui se semble s' etre perdu lui meme dans le labyrinthe de ses questionnements, de ses contradictions... Dans l' abstraction. Ouh là oui... Brillant, je ne sais pas, je me méfie des gens citent beaucoup les autres, qui les recyclent... Quelqu'un a-t-il vu ses derniers films (Notre musique, Vrai faux passeport, ou même Eloge de l'Amour) ? Ne sont-ils destinés qu'aux purs et très très durs de la cinéphilie ? | |
| | | bix229 Parfum livresque
Messages : 24639 Inscription le : 24/11/2007 Localisation : Lauragais (France)
| Sujet: Re: Jean Luc Godard Mer 13 Jan 2010 - 0:13 | |
| Godard était fasciné par la culture au point de mettre des citations sur tous les murs, dans certains de ses premiers films ou de faire déclamer des citations par un acteur. Au point de filmer le philosophe Brice Parain dans Une femme est une femme je crois. Ce qui était interessant au début, c' était une certaine spontanéité, la présence d' Anna Karina. Des idées, des éclats... Ensuite ... | |
| | | Babelle Zen littéraire
Messages : 5065 Inscription le : 14/02/2007 Localisation : FSB
| Sujet: Re: Jean Luc Godard Mer 13 Jan 2010 - 10:42 | |
| Des indications sur son Histoire (s) du cinéma? (Avant de passer au 3è & 4è DVD je voudrais savoir s'il y a une évolution, moins de nombrilisme, sinon je laisse tomber parce que c'est tuant) | |
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| Sujet: Re: Jean Luc Godard | |
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| | | | Jean Luc Godard | |
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