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| LC Koestler / Hiéroglyphes | |
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Auteur | Message |
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Bédoulène Abeille bibliophile
Messages : 17270 Inscription le : 06/07/2007 Age : 79 Localisation : Provence
| Sujet: Re: LC Koestler / Hiéroglyphes Mar 15 Avr 2014 - 19:15 | |
| merci de ces explications sur le lien Croisade sans croix et Hiéroglyphes quant à Maria ! | |
| | | pia Zen littéraire
Messages : 6473 Inscription le : 04/08/2013 Age : 56 Localisation : Entre Paris et Utrecht
| Sujet: Re: LC Koestler / Hiéroglyphes Mar 15 Avr 2014 - 19:26 | |
| Croisade sans croix est donc un livre qu'il a écrit bien après la mort de Maria? Merci de nous le dire Shanidar. Il parle de l'attirance qu'il a pour elle qui n'est pas physique, ni intellectuelle. ce personnage de Maria est un des personnage Féminin de son autobiographie (en tout cas dans le tome 2) qui se détache le plus des autres personnages féminins. Plus que sa première femme ou les différentes femmes qu'il a cotoyé dans les cellules auquelles il appartenait. Elle l'a vraiment marqué. Et on sent qu'il se culpabilise terriblement de "l'avoir laissé tomber". Il a donc écrit un bouquin où elle apparaissait...
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| | | shanidar Abeille bibliophile
Messages : 10518 Inscription le : 31/03/2010
| Sujet: Re: LC Koestler / Hiéroglyphes Mar 15 Avr 2014 - 20:40 | |
| oui, pia, je pense que tu mets le doigt sur l'ambiguïté de Koestler, qui finalement en dit bien plus sur lui et ceux qu'il a côtoyé dans ses romans comme sur Maria par exemple qu'il représente vraiment comme une pythonisse, possédant des pouvoirs extralucides et une sérénité, une assurance qui rassurent le personnage de Peter. On sent cela en germe dans la présentation de la 'vraie' Maria mais l'hommage est lui bien réel dans le roman. Croisade sans croix a été publié en 1946 alors que Maria est morte sans doute avant 1937 et le livre est donc écrit après sa mort. Et c'est vrai également que de toutes ces rencontres incroyables Maria est celle qui marque particulièrement le lecteur. Mais cette rencontre est sans doute restée très présente dans la mémoire de Koestler parce que, comme le souligne Bédoulène, elle l'ouvrait à un monde (celui de la 'métaphysique', de l'irrationnel, du surnaturel) que Koestler apprivoisera bien plus tard. | |
| | | shanidar Abeille bibliophile
Messages : 10518 Inscription le : 31/03/2010
| Sujet: Re: LC Koestler / Hiéroglyphes Mer 16 Avr 2014 - 15:23 | |
| Koestler prisonnier dans les geôles franquistes de Séville redevient le Koestler qui me plait ! Il réfléchit, fait des maths, découvre la profondeur d'une troisième voie qui le conduit à revenir sur son engagement communiste et même sur sa vision globale du monde et de l'infini. Il pèse sa vie à l'aune de celles des autres prisonniers, il oscille entre foi et matérialisme tout en imaginant qu'une autre manière de penser le monde est possible. Il découvre et commence à comprendre ce que Maria avait voulu lui transmettre en déclarant : - Citation :
- "Vous avez la vanité de donner, mais il vous manque la générosité de recevoir."
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| | | pia Zen littéraire
Messages : 6473 Inscription le : 04/08/2013 Age : 56 Localisation : Entre Paris et Utrecht
| Sujet: Re: LC Koestler / Hiéroglyphes Mer 16 Avr 2014 - 23:22 | |
| Je n´en suis pas encore là. Je n'ai pas vu le jour aujourd'hui et ça risque d'être comme ça demain. je me rattrape vendredi! | |
| | | Bédoulène Abeille bibliophile
Messages : 17270 Inscription le : 06/07/2007 Age : 79 Localisation : Provence
| Sujet: Re: LC Koestler / Hiéroglyphes Jeu 17 Avr 2014 - 19:03 | |
| Nous retrouvons donc Koestler en Espagne pour plusieurs missions confiées par Willy Muenzenberg. Koestler est arrêté alors qu'il restait pour soutenir (il leur paraissait utile de pouvoir décrire la chute de la ville) Sir Peter un Anglais qui l'avait accueilli chez lui. Emprisonné d'abord à Malaga puis Séville. Si Koestler n'a pas subi de violence physique, il souffre d'entendre celles de ses co-détenus. Au sujet de la déclaration demandée à K. sur ses sentiments envers Franco, au vu de la première version, nous comprenons combien un homme loyal peut faillir dans ces circonstances. K. avait souvent des cauchemars mais paradoxalement en prison, s'il eu des heures de dépression intense il était des journées entières s'écoulant dans une paix et un bonheur nouveau. Il explique ce paradoxe par le fait qu'il a une faim de châtiment, parce qu'en fait ses missions s'étaient déroulées en Espagne en trompant l'ennemi, donc pour lui il est naturel de payer.
J'avoue ne pas comprendre ce sentiment de culpabilité (ni le partager), il ajoute qu'il n'a pas eu ce sentiment de culpabilité au camp du Vernet simplement parce qu'il y avait été sans avoir commis de faute.
Je pense, vu sa névrose d'anxiété que le fait d'être seul en cellule à Séville et de plus un certain temps incommunicados peut être une raison suffisante pour qu'il acquiert ce sentiment ; car au camp de Vernet par contre il n'était pas isolé.
Mais ce n'est que mon sentiment et de plus n'étant pas intéressée par ce qui est mystique je ne puis juger de son expérience et je ne le ferai d'ailleurs pour personne.
J'aime bien ce que dit Koestler après avoir été libéré (grâce aux interventions de Dorothy, Otto, Joliot-Curie ...) alors que presque tous ses amis étaient eux aussi arrêtés en Russie.
" Je devins de plus en plus conscient d'une dette écrasante à payer. Le Zéro et l'Infini que je commençais à écrire l'année suivante en fut un premier règlement."
et à propos de Dorothy
"Je découvris que j'avais, sans le savoir, contracté une autre dette, une dette personnelle, impossible à payer."
Koestler repart pour un reportage, il passe par la Suisse où il rencontre Thomas Mann, la rencontre fut décevante, Mann manquait de charité mais il restait pour K. le Maître.
Que ce soit en Grèce, en Alexandrie, ce sont des combats. En Palestine il rencontre des compatriotes réfugiés pour échapper aux nazis, mais leur sort est difficile.
A propos des Sionistes :
"Il ne s'agissait plus de se demander si le sionisme était une idée bienfaisante ou non. Ils savaient que les chambres à gaz étaient proches. Ils avaient dépassé le stade de la discussion. Quand on les provoquait, ils montraient les dents."
La terreur arabe s'exprimait par intermittence.
Entre 42 et 48 Koestler fit plusieurs séjours, écrivit 2 livres, fit des conférences, plaida la cause du partage comme seul moyen de mettre fin à l'horreur.
En 38 alors qu'il faisait une tournée de conférences en Angleterre une question lui fut posée quant au POUM (Andrès Nin et ses compagnons furent dénoncés par le Kominter comme agents de Franco, ce qui évidement était faux. Koestler reconnut que les traiter de traitres était une absurdité et un blasphème.
Démissionner du PC ?
"L'attitude logique pour moi eut été de démissionner simplement du Parti. Mais l'idée ne m'en vint pas tout de suite. Je savais que j'en serais tôt ou tard exclu, et cela me semblait être la seule façon convenable de le quitter ; en prendre moi-même l'initiative était inimaginable. On peut cesser d'être un catholique pratiquant, mais on n'envoie pas une lettre de démission à l'Eglise."
K. envoie sa lettre de démission mais la termine par une déclaration de fidélité à l'Union Soviétique !!!
En apprenant le pacte Hitler/Staline Koestler n'eut plus aucune illusion.
Je suis d'accord avec ce qu'il dit "chaque époque a sa religion et son espérance dominante, et le "socialisme" dans un sens vague et indéfini, fut l'espoir du début du XXe siècle."
Koestler démontre que le fait que des intellectuels, scientifiques, présidents d'états aient pu croire en le régime de Staline et en une entente, est une indication des forces profondes et productrices de mythes qui étaient et sont encore en activité."
Ce que dit Ignazio Silone (voir note 110) est comparable à l'aveu de Koestler
"J'avais vingt-six ans quand j'adhérai au parti communiste, et trente-trois quand je le quittai. Les années intermédiaires avaient été des années décisives, tant par la saison de la vie qu'elles remplirent que par la façon dont elles la remplirent d'un objet unique. Jamais auparavant, ni depuis, l'existence ne me sembla aussi débordante de sens que pendant ces sept ans. Elle avait la supériorité d'une belle erreur sur une vérité sordide."
à suivre
ps les notes sont très précieuses
Dernière édition par Bédoulène le Jeu 17 Avr 2014 - 22:14, édité 1 fois | |
| | | Bédoulène Abeille bibliophile
Messages : 17270 Inscription le : 06/07/2007 Age : 79 Localisation : Provence
| Sujet: Re: LC Koestler / Hiéroglyphes Jeu 17 Avr 2014 - 20:45 | |
| Koestler revient sur les procès en Russie, avec notamment celui d'Alex qui après avoir été livré à la gestapo par la GPU s'en est sauvé ; et surtout celui de Mratchkosky l'un des accusés qui refusait de signer et reconnaître de fausses accusations, mais qui pour épargner "un combat inutile du peuple mécontent" (jamais à cours d'arguments les interrogateurs) a finalement signé ces aveux, au déshonneur de l'interrogateur (Slousty un ami de Koestler)
Koestler ce rend compte que le procès du héros de son livre 'le Zéro et l'Infini" rappelle celui de Mratchkosky, il retrouve aussi dans l'aveu de Katz les paroles de son héros ; c'était un appel au secours de celui qui fut son ami.
Après sa démission du PC, Koestler a été en butte aux attaques du Parti, notamment pour son livre "Le zéro et l'Infini".
Il s'établit définitivement dans" la paisible Angleterre" , mais visita plusieurs pays, il était à présent un écrivain connu.
Reconnaissance enfin !
c'était une très bonne lecture, mais j'en sors bouleversée et épuisée. Dans le deuxième Tome je trouve que Koestler revient trop souvent sur le passé déjà évoqué et l'on perd donc la chronologie ce qui à mon avis nuit un peu à la cohérence des évènements.
Mais j'aime l'honnêteté de Koestler, son analyse, je suis sensible à sa "névrose d'anxiété", sa timidité, je veux le connaître mieux encore, je lirai donc d'autres livres.................................mais après une pause car j'ai besoin de digérer cette période très troublée.
merci à Shanidar et Pia de m'avoir accompagnée dans cette lecture.
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| | | pia Zen littéraire
Messages : 6473 Inscription le : 04/08/2013 Age : 56 Localisation : Entre Paris et Utrecht
| Sujet: Re: LC Koestler / Hiéroglyphes Jeu 17 Avr 2014 - 20:55 | |
| Bon j’ai lu quelques pages dont je vais parler. Bédou tu es plus loin que moi dans ta lecture. Je reviendrai plus tard sur ce que tu as écrit surement.
Il a donc eu une aventure mystique pendant son incarcération ? On le sentait venir puisque il en parle un peu dans le chapitre dans lequel il parle de Maria. Tu disais Shanidar que tu retrouves le Koestler que tu aimes quand il écrit sur son incarcération en Espagne. Tu as lu « Un testament Espagnol » ? Je ne sais pas si cela fait partie de ses autobiographies romancées par contre.
Il reste toujours fidèle à lui-même. Quand Willy veut faire la propagande des atrocités, Koestler n’est pas d’accord. Il écrit :
Mais les articles composés à Burgos semblaient écrits par des illettrés. Démontrer les contradictions de la propagande ennemie m’amusait beaucoup, et j’estimais cela plus efficace que d’énumérer des atrocités.
J’aime aussi quand il écrit sur leur naïveté quant au communisme :
Nous savons maintenant que notre vérité était une demi-vérité, notre combat une lutte dans le brouillard, et que ceux qui souffrirent et moururent en ce combat étaient les pions d’un jeu très compliqué entre les deux totalitarismes prétendant à la domination mondiale.
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| | | Bédoulène Abeille bibliophile
Messages : 17270 Inscription le : 06/07/2007 Age : 79 Localisation : Provence
| Sujet: Re: LC Koestler / Hiéroglyphes Jeu 17 Avr 2014 - 22:29 | |
| Pia "un testament Espagnol" fait parti des oeuvres autobiographiques
j'ai terminé ma lecture, mais je vous suis | |
| | | pia Zen littéraire
Messages : 6473 Inscription le : 04/08/2013 Age : 56 Localisation : Entre Paris et Utrecht
| Sujet: Re: LC Koestler / Hiéroglyphes Dim 20 Avr 2014 - 14:54 | |
| L’histoire typique d’un intellectuel d’Europe centrale à l’âge totalitaire.
Sa crise spirituelle qu’il appelle « les heures à la fenêtre »et qu’il a réussi à poursuivre après être sorti de la cellule 40 en Espagne, m’est restée étrangère. J’ai commencé à m’intéresser au « plan tragique » de son introspection, sa crise spirituelle quand il parle des rouages psychologiques qui l’ont incité à s’interroger sur la culpabilité, sur son départ du parti qui commençait à se faire jour inconsciemment.
Son évasion de la France en Angleterre, et son incarcération à la prison de Pentonville qu’il décrit comme une prison trois étoile par à rapport aux autres qu’il a eu l’occasion de connaitre, et l’obscurité dans laquelle on le plongeait lui et les autres détenus, dont certains étaient considérés être des espions, pour les empêcher de faire des signaux aux avions ennemis, était une punition redoutée, mais paradoxalement pas pour lui. Cette obscurité le rassurait.
Puis il s’installe en Angleterre. La paix enfin. Il a enfin trouvé un « chez soi », d’une façon que seul un étranger, un expatrié peut trouver.
Je passais les quatre ans et demi qui suivirent en France, aux Etats-Unis et dans divers autres pays. C’est pendant cette longue absence d’Angleterre que je pris conscience de vivre hors de « chez moi ». En Angleterre je me sentais étranger ; à l’étranger, je me sentais Anglais.
Son hypersensibilité dû à la cicatrice que les bureaucrates totalitaires lui ont laissé, fait qu’il se sent apaisé en Angleterre, pays qu’il décrit comme aimable, à effet sédatif.
J’adoptais pour patrie un pays où les flèches sont un jeu qu’on joue dans les pubs, un pays se méfiant de n’importe quelle cause, méprisant les systèmes, baillant devant les idéologies, incrédules aux utopies, ennemi de tous les plans, épris de sa nonchalante confusion, sans curiosité de l’avenir, amoureux de son passé.
Il parle dans son épilogue de sa personnalité pétris de paradoxes. Il écrit qu’il a voulu resté honnête et restituer cela avec exactitude.
Il n’est pas aisé de rendre intelligible un insolent agent du Komintern qui pénètre au quartier général ennemi en pleine guerre civile, mais bégaie comme un écolier devant Herr Doktor Mann et Herr Professor Freud. Il n’est pas aisé d’intégrer le contemplatif des heures à la fenêtre avec son double agité et grégaire ; ou de concilier la culpabilité, l’anxiété, l’obsession de la prison et de la torture, avec l’irritant mais juste verdict d’Orwell : « le défaut de l’armure de K., c’est son hédonisme ».
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| | | Bédoulène Abeille bibliophile
Messages : 17270 Inscription le : 06/07/2007 Age : 79 Localisation : Provence
| Sujet: Re: LC Koestler / Hiéroglyphes Lun 21 Avr 2014 - 10:36 | |
| nous avons passé un bon moment ensemble, merci à vous deux.
Merci à Koestler qui m'a et me procurera j'en suis sure, encore du plaisir à le lire.
à la prochaine LC | |
| | | pia Zen littéraire
Messages : 6473 Inscription le : 04/08/2013 Age : 56 Localisation : Entre Paris et Utrecht
| Sujet: Re: LC Koestler / Hiéroglyphes Lun 21 Avr 2014 - 13:03 | |
| - Bédoulène a écrit:
Merci à Koestler qui m'a et me procurera j'en suis sure, encore du plaisir à le lire.
à la prochaine LC Je pense que je lirai un de ses romans un de ces jours. A la prochaine LC! | |
| | | shanidar Abeille bibliophile
Messages : 10518 Inscription le : 31/03/2010
| Sujet: Re: LC Koestler / Hiéroglyphes Mar 22 Avr 2014 - 10:44 | |
| Je viens de finir ce livre. Dans l'ensemble je l'ai trouvé moins puissant que ce que j'avais déjà lu de Koestler, comme si l'utilisation du 'je' lui enlevait un certain recul, ou du moins l'écriture d'une réflexion plus étendue et qui permet de comprendre ce qu'il a vécu de l'intérieur. En somme, je trouve cette œuvre autobiographique plus impersonnelle que ces romans, c'est très paradoxal mais j'ai eu l'impression que dans Hiéroglyphes, Koestler évitait toute psychologie, tout élan de l'âme, cherchant essentiellement à dire les faits (déformation et résurgence de son appartenance au Parti ? c'est bien possible).
Mais le parcours de cet homme reste étonnant. Etonnant de bravoure, de bravade même quelques fois, d'inconscience et de constance, de réflexion et de fermeture volontaire des yeux. J'ai beaucoup aimé le voyage aux confins des terres kazakhe, ouzbèke et ukrainienne (ce qui me donne envie de découvrir son livre sur La Treizième tribu) ainsi que son passage dans les geôles franquistes (Le Testament Espagnol) et ce livre éclaire d'une manière violente l'aveuglement volontaires des intellectuels qui ont accepté de cautionner les grandes œuvres de Staline alors qu'ils savaient tous ce qu'il en était réellement (goulags, procès, assassinats...)...
A suivre donc... et merci à pia et Bédoulène pour leurs échanges si constructifs. | |
| | | Bédoulène Abeille bibliophile
Messages : 17270 Inscription le : 06/07/2007 Age : 79 Localisation : Provence
| Sujet: Re: LC Koestler / Hiéroglyphes Mar 22 Avr 2014 - 12:22 | |
| Shanidar, je serais avec toi pour le testament espagnol et la 13ème tribu, mais faudra attendre un peu
?? | |
| | | shanidar Abeille bibliophile
Messages : 10518 Inscription le : 31/03/2010
| Sujet: Re: LC Koestler / Hiéroglyphes Mar 22 Avr 2014 - 15:59 | |
| - Bédoulène a écrit:
- Shanidar, je serais avec toi pour le testament espagnol et la 13ème tribu, mais faudra attendre un peu
?? Voilà qui me réjouis ! mais tu avais peut-être envie de lire d'autres titres ?? | |
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| Sujet: Re: LC Koestler / Hiéroglyphes | |
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| | | | LC Koestler / Hiéroglyphes | |
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