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| Vladimir Odoïevski | |
| | Auteur | Message |
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Max Main aguerrie
Messages : 381 Inscription le : 21/03/2014 Localisation : Toulouse
| Sujet: Vladimir Odoïevski Sam 3 Mai 2014 - 20:51 | |
| Vladimir Odoievski (1804-1869) Odoïevski n’était pas seulement un écrivain. C’était aussi un touche-à-tout de génie, un érudit dingo qui maîtrisait tous les sujets. Pour résumer brièvement sa vie incroyable : Au départ, il préside un cercle d’intellectuels, les Lioubomoudri (ce détail a son importance, nous verrons tout à l’heure pourquoi) puis il se tourne vers la politique et occupe des postes vraiment très très divers... Il devient ensuite directeur de la bibliothèque impériale, et à la fin de sa vie participe carrément à la fondation d’un musée public... ainsi que des conservatoires de Saint-Pétersbourg et de Moscou. Très épris de mysticisme allemand dans sa jeunesse, il se tourne ensuite vers les sciences. Il va faire alors toutes sortes d’expériences scientifiques... et publier des traités... Il s’intéresse aussi à l’enseignement des progrès techniques auprès des couches populaires, et publie un ouvrage de vulgarisation, publié en "série", très diversifié, La lecture en milieu rural, adressé à tout le monde, "dans un langage compréhensible de tous", et qui sera un best-seller de l’époque ! Odoievski est aussi un passionné de musique, un musicologue éminent. On lui doit, mesdames et messieurs, la codification de la musique sacrée russe... Il a même inventé des instruments... (le clavecin enharmonique, me demandez pas ce que c’est...). Ah et il a aussi popularisé Glinka (le premier très grand compositeur russe, dont il était très proche. Pour écouter Glinka, voici la fameuse ouverture de Rouslan et Ludmila : https://www.youtube.com/watch?v=lkBhbH0LezM Serait-ce pas l’âme slave qu’on entend entre 1:03 et 1:34 ?) Mais l’écrivain alors ? Ben vi ! Odoievski est avant tout un auteur de nouvelles. Il n’a écrit qu’un seul (mais incroyable) roman, Les nuits russes (1844). Tout le reste c’est que des nouvelles, courts récits, contes... Pour aller vite, c’est avant tout un auteur branché fantastique, mais qui mêle science-fiction, philosophie et mysticisme. En fait il est considéré comme le père de la science-fiction russe. Il s’intéressera beaucoup aussi aux sciences occultes... à l'alchimie notamment. Et, sans doute, son livre majeur, Les nuits russes, est-il, si j’ose me permettre, une façon de "grand œuvre"... Mais remettons nos lunettes et voyons ça de plus près... | |
| | | Max Main aguerrie
Messages : 381 Inscription le : 21/03/2014 Localisation : Toulouse
| Sujet: Re: Vladimir Odoïevski Sam 3 Mai 2014 - 20:59 | |
| Les nuits russes (1844) Impossible de résumer un OVNI pareil. Surtout que j’ai quelques trous... J’essaye. Nous suivons donc une bande d’étudiants russes, romantiques, fougueux, chauds bouillants (sans doute qu’Odoievski s’est inspiré du cercle de philosophes qu’il présidait dans sa jeunesse ?), qui vont un beau jour (au retour d’un bal, je crois) faire la rencontre de Faust... avec qui ils vont avoir toutes sortes de débats. Des joutes verbales incroyables. Une quête philosophique s’installe peu à peu... Les discussions dureront neuf nuits. A chaque nuit son haut sujet : - philosophie - spiritualité - musique - poésie - sciences - économie - langage (j’ai oublié les autres !) Les idées fusent de toutes parts, c’est vraiment extraordinaire à lire, et bien sûr c’est toujours Faust qui clôt les débats en trombe... de façon ébouriffante... Sérieux, ça va très loin. Jamais je n’ai lu un récit d’une si haute portée. Et Faust est d’une pédagogie redoutable... C’est vachement enrichissant, mais, parfois, pour les matières plus difficiles d’accès, j’étais perdu ! Je m’accrochais disons. Pour revenir à Faust, chaque "nuit" il refait l’histoire d’un art, d’une discipline, en rappelle les composantes majeures, expose brillamment les faits, s’appuie sur la destinée et l’œuvre de grands hommes, répond aux questions de nos jeunes fougueux parfois sceptiques, parfois trop enthousiastes... tempère tous ces loups, émet des idées sur l’avenir de l’art en question, puis appuie sur le turbo et soumet des propositions pour aboutir à une perfection artistique absolue pluridisciplinaire... ou simplement de telle ou telle branche ou matière... afin de lui donner une portée collective inédite... et de mettre en œuvre toutes sortes d’adéquations universelles dans les disciplines, visant le bonheur commun en société et touchant à tous les éléments, jusqu’à notre propre intériorité... Mais bien souvent, et c’est là que c’est vraiment jouissif, Faust parvient à démontrer, avec malice, implacablement l’inverse de qu’il exposait trois pages plus tôt ! Il fait mumuse quoi, se contredit, mystifie à tour de bras, quand bon lui semble, et l’on reste aussi médusé que ses contradicteurs dans le livre ! On perd un peu la boule quoi. Visions, prophéties en tous genres, haute érudition, ça part dans tous les sens... tous les sujets sont abordés... on passe des mathématiques à la spiritualité, en faisant un crochet par Beethoven... en digressant un peu sur Christophe Colomb, l’architecture, on s’étend un peu sur des manifestes poétiques sublimes, puis sur la richesse intérieure à exploiter, sur le Mal, sur l’interconnexion des époques, le Progrès, le bonheur en société, les "marches en avant" inéluctables qui nous dépassent, on étudie la fin des civilisations, on s’inquiète pour la nôtre... avant de se plonger dans les hiéroglyphes, dans Bach, avant de s’éprendre d’une quête d’un langage intérieur universel... Ce qui aussi est super intéressant et fort passionnant c’est qu’Odoievski ramène souvent ces discussions à la destinée de la Russie, à l’âme russe, aux guéguerres entre occidentalistes et slavophiles. Donc, malgré la portée universelle des débats, ça reste quand même dans le fond un livre très russe... D’ailleurs ça s’appelle Les nuits RUSSES. Mais le top du top (car c’est pas fini, héhé), c’est qu’Odoievski intercale entre chaque débat des récits, des intermèdes féeriques, futuristes parfois, qui servent justement à illustrer le débat qui vient d’avoir lieu, ou celui à venir... et parfois même les deux... Ces nouvelles sont vraiment toutes très différentes. On dirait qu’elles sont pas toutes de l’auteur. Et les narrateurs ne sont jamais les mêmes... Il y a donc de tout : - contes baroques - récits retraçant le destin de grands hommes (Beethoven par exemple est mis en scène en train de composer son dernier quatuor à cordes... c’est trop jouissif à lire) - biographie de Bach déchiffrée à partir de sa musique... (non mais le truc de malade quoi ) - récits d’anticipation, dystopies (notamment la cauchemardesque Cité sans nom qui est visionnairement géniale) - je me souviens aussi d’une nouvelle incroyable sur l’art de l’improvisation... Le côté sympa aussi aussi de ces "intermèdes", c’est qu’ils permettent de souffler un peu entre chaque débat. C’est bien. Avant de rattaquer de plus belle ! Par contre, vers la fin, Odoievski s’écarte un peu de la structure très fixe de départ. Au début c’est un débat/un récit. Mais vers la fin (si je me souviens bien) ça devient un peu nimp, avec parfois trois récits de suite, un débat avorté, un récit en suspens, une reprise de débat... Cela dit, ces désordres passagers ne renforcent que davantage le côté "connaissances éparpillées impossibles à raccorder en un Tout". J’en sais rien hein. Mais si c’est vrai exprès, alors c’est bien joué ! A noter que certains récits (j’ai dit certains) avaient déjà été écrits dans les années 1830 en fait. Odoievski n’a fait en fait que les intégrer plus tard à ce qui semble être l’œuvre de sa vie. Du coup, y a tout dedans. D’ailleurs, après 1844, il n’écrira quasiment plus rien... à part un conte sur le haschich... Je ne me souviens plus trop de la fin par contre. Il me semble quand même qu’elle était superbe. Je crois que ça se conclut sur une note finale hyper pessimiste, disons le mot : crépusculaire, avec comme un lyrisme de l’abîme dans les dernières paroles prophétiques de Faust... Pour finir, je trouve qu’à la lecture de ces débats de malade ininterrompus, de toutes ces idées et visions, entremêlées du merveilleux des récits intercalés, il y a comme un "souffle" secret qui vous tire vers le haut... vous dévoile des sentiments inconnus (nan mais j’déconne pas), une "unité cosmique" et tout... au-delà du savoir... J’aurais du mal à l’expliquer car chuis trop bidon en réalité. M’enfin c’est vertigineux. Je vous jure qu’il y a dans ce livre comme une voix intérieure. On en ressort tout chose. Odoïevski était peut-être, qui sait, aussi un peu sorcier... Bref, sans blaguer ce livre est à mon avis un chef-d’œuvre... Mais c’est vrai qu’il faut parfois s’accrocher ! Je reconnais cependant (je vais finir sur une note négative, non mais chuis con ou quoi) que malgré le magnétisme évident du livre, la portée de ses propos enrichissants, sa structure originale, l’éclectisme de génie d’Odoievski, malgré tout ça, il faut reconnaître que le contenu pèse son poids tout de même... ça foisonne de toutes parts, ça tchatche parfois à n’en plus finir, on manque à certains moments un peu d’air, d’autres fois c’est beaucoup trop "brillant", certaines nouvelles sont plus réussies que d’autres, et le style n’est pas l’intérêt majeur du livre. Bref, c’est un peu inégal quoi. M’enfin c’est souvent le cas avec ce genre d’OVNI. Mais je reprendrai cette formule que j’aime beaucoup de Jean-Pierre Maxence, qui s’applique très bien aux Nuits russes : "peut-être fallait-il des plages un peu mornes pour que pussent s’y élever, en plein espace, ces étincelles fulgurantes...". Toujours est-il que c’est un livre qu’à mon avis il faut avoir lu. Je le recommande donc fortement. Ah et j’avoue que j’ai peut-être enjolivé et idéalisé le tout. Je ne suis pas très objectif et sans doute trop enthousiaste avec les livres qui m'ont plu par le passé. Peut-être que celui-ci n’est pas aussi bien ni abouti que je le dis. Je ne sais plus. Au final, je trouve que c’est incroyable qu’Odoievski soit pas plus connu. Mais c’est dû avant tout je pense (simple supposition) au fait qu’il ne soit pas, sur un plan purement littéraire, aussi intéressant que ses contemporains directs. J’avoue que c’est un fait.
Dernière édition par Max le Sam 3 Mai 2014 - 21:10, édité 2 fois | |
| | | Max Main aguerrie
Messages : 381 Inscription le : 21/03/2014 Localisation : Toulouse
| Sujet: Re: Vladimir Odoïevski Sam 3 Mai 2014 - 21:01 | |
| Cosmorama (1840) Longue nouvelle ou court roman. Ce texte est intégré dans le recueil collectif suivant : C’est l’histoire d’un petit garçon qui reçoit en cadeau un cosmorama, une petite boîte dans lequel il voit sous forme panoramique à travers un verre optique des tableaux. Notre enfant ne tarde pas à voir dans ces "tableaux" une société miniature, et c'est là que le surnaturel entre en jeu, puisque les événements, actions de cet autre monde finissent toujours par se répercuter dans la vraie vie de l’enfant. Pour changer, j’utiliserais des comparaisons cinématographiques. Nous sommes à mi-chemin entre Dead zone et Sixième sens... Il est beaucoup question de doubles, et il y a des scènes de vision et de délire super bien rendues. Plus on avance, et moins on sait qui sont les vrais doubles... où est la vraie vie... et les visions et les rêves du petit héros finissent par ne faire plus qu'un... Mais des fois, c’est quand même un peu brouillon. Malheureusement je me souviens plus trop de l’histoire en général, ni comment ça finit... J’en profite pour évoquer rapidement les deux autres textes de ce recueil collectif : - Le texte de Lermontov, Chtoss (1841) est assez décevant. Du fantastique convenu, du sous-Mérimée. En plus le texte est inachevé... - Et finalement c'est l’inconnu au bataillon Vladimir Titov qui vole la vedette à Lermontov... avec une magnifique petite pépite : La petite maison solitaire de l’île Vassilievski (1828). Je dirais que c’est du fantastique émouvant, dans la lignée des premiers Dostoïevski (qu’il précède de deux décennies). Ca parle en gros de l’attractivité des forces du mal... avec bien sûr en sus une détresse super russe, une rumination intérieure, une "hantise du bouton de porte" (pour reprendre une formule de Céline) à mon avis superbement rendues, et qui a pour cadre une histoire d'amour tragique. C’est très très beau dans mes souvenirs. | |
| | | Max Main aguerrie
Messages : 381 Inscription le : 21/03/2014 Localisation : Toulouse
| Sujet: Re: Vladimir Odoïevski Sam 3 Mai 2014 - 21:03 | |
| La cité sans nom et autres nouvelles (1828-1849) Et là, c’est le drame. Gros patatrac ! Je viens de le terminer tout à l'heure, et... déception énorme !... En fait on trouve dans ce recueil l’intégralité des contes et récits traduits à ce jour en français d’Odoievski (sauf Cosmorama !). Le recueil se découpe comme suit : - contes fantastiques - utopies et anti-utopies - contes moraux - contes exotiques - contes pour enfants Dans l’avant-propos, il est précisé que le choix était délibéré de présenter absolument toutes les nouvelles d’Odoievski, quitte à sélectionner aussi des textes franchement mineurs. Et en effet, ces récits sont très inégaux. La plupart des contes sont assez insignifiants... certains sont carrément nuls. Mais j’ai quand même beaucoup aimé Le témoin ! (1839) Ainsi que quelques contes pour enfants charmants à lire... Même L’an 4338, dont j’attendais beaucoup, n’est en fait pas très bon... C’est surtout un prétexte pour Odoievski pour mettre en avant son talent de visionnaire dingue. En effet, il prévoit, excusez du peu : le télégraphe électrique (trois ans avant sa fabrication), les aérostats privés, les expériences psychédéliques, les livres électroniques et préfigure plus ou moins ce que sera Internet... Vous allez dire "c’est pas vrai ! il invente !" Promis c’est non. Je vous dis, c'était un gros malade ce mec Bon mais cela dit, ce texte prophétique est d’un point de vue littéraire sans intérêt. Dommage... Ah par contre on retrouve aussi les nouvelles (quatre) intégrées aux Nuits russes | |
| | | animal Tête de Peluche
Messages : 31548 Inscription le : 12/05/2007 Age : 43 Localisation : Tours
| Sujet: Re: Vladimir Odoïevski Sam 3 Mai 2014 - 21:30 | |
| he ben dis donc ! au moins le jour où on croise les Nuits russes ça risque de faire tilt... à te lire on dirait que ça fait dans les 512 000 pages ? cette phrase ferait envie : - Citation :
- Mais bien souvent, et c’est là que c’est vraiment jouissif, Faust parvient à démontrer, avec malice, implacablement l’inverse de qu’il exposait trois pages plus tôt !
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| | | églantine Zen littéraire
Messages : 6498 Inscription le : 15/01/2013 Age : 59 Localisation : Peu importe
| Sujet: Re: Vladimir Odoïevski Sam 3 Mai 2014 - 22:17 | |
| - Max a écrit:
Ah et j’avoue que j’ai peut-être enjolivé et idéalisé le tout. Je ne suis pas très objectif et sans doute trop enthousiaste avec les livres qui m'ont plu par le passé . . Un parfumé c'est ça ....souvent . Merci , ton enthousiasme donne envie d'en savoir plus ! | |
| | | Max Main aguerrie
Messages : 381 Inscription le : 21/03/2014 Localisation : Toulouse
| Sujet: Re: Vladimir Odoïevski Sam 3 Mai 2014 - 23:31 | |
| Ravi que ça vous donne envie - animal a écrit:
- à te lire on dirait que ça fait dans les 512 000 pages ?
Non en fait il fait que 240-250 pages... (mais format très grand et pages remplies à bloc). | |
| | | Maline Zen littéraire
Messages : 5239 Inscription le : 01/10/2009 Localisation : Entre la Spree et la Romandie
| Sujet: Re: Vladimir Odoïevski Dim 4 Mai 2014 - 14:05 | |
| L’occasion est trop belle, je viens de lire sept nouvelles de Vladimir Odoïevski (comme je butine dans plusieurs langues et que ma gouverne du russe est bien mal en point, je les ai lues en allemand). Je ne vais pas vous faire saliver mais si vous trouvez un recueil dans une langue que vous lisez, n’hésitez pas pour vous faire votre propre opinion.
Il y a la possibilité de lire sur le web une des Nuits Russes (la cinquième ou La Ville sans nom) dont Max parle plus haut, c'est ici (à la bibliothèque russe et slave).
Voici les titres des belles nouvelles que j’ai lues récemment : - Le gant noire ; - Le fantôme ; - Suites d’un article satirique ; - Conte du corps mort, inconnu, appartenant à qui ; - La Sylphide ; - Princesse Mimi ; - Princesse Zizi.
Si intérêt, je vous parlerai de l’une ou l’autre de ces nouvelles où Odoïevski dépeint d’une plume pointue l’hypocrisie de la société russe du début du XIXe siècle avec ses intrigues aux suites parfois mortelles.
Dernière édition par Maline le Dim 4 Mai 2014 - 21:44, édité 1 fois (Raison : Insister sur le lien) | |
| | | Max Main aguerrie
Messages : 381 Inscription le : 21/03/2014 Localisation : Toulouse
| Sujet: Re: Vladimir Odoïevski Dim 4 Mai 2014 - 16:12 | |
| Waw, super ! Tu me fais envie car certaines que tu cites ne sont toujours pas traduites en français. Bien joué | |
| | | colimasson Abeille bibliophile
Messages : 16258 Inscription le : 28/06/2010 Age : 33 Localisation : Thonon
| Sujet: Re: Vladimir Odoïevski Dim 4 Mai 2014 - 21:08 | |
| Oh, mais ça m'a tout l'air génial. Noté. Des extraits ? | |
| | | tom léo Sage de la littérature
Messages : 2698 Inscription le : 06/08/2008 Age : 61 Localisation : Bourgogne
| Sujet: Re: Vladimir Odoïevski Dim 4 Mai 2014 - 22:33 | |
| Lors de mon attaque frontale sur plusieurs magasins du village du livre, j'ai demandé partout pour cet auteur, ou bien j'ai cherché moi-même dans les classemnts alphabétqiues: rien! Peut-être alors à commander?!
Oui, cela sonne très bien, merci Max! | |
| | | Max Main aguerrie
Messages : 381 Inscription le : 21/03/2014 Localisation : Toulouse
| Sujet: Re: Vladimir Odoïevski Lun 5 Mai 2014 - 20:55 | |
| Avec plaisir.
Colimasson, je vais essayer de chercher ça... Je ne te promets rien car le contenu est très "compact"... alors pas évident je pense de faire ressortir un passage en question. A voir. | |
| | | colimasson Abeille bibliophile
Messages : 16258 Inscription le : 28/06/2010 Age : 33 Localisation : Thonon
| Sujet: Re: Vladimir Odoïevski Mer 7 Mai 2014 - 17:39 | |
| Je vois le genre... si vraiment tu n'arrives rien à trouver qui peut être tiré de son contexte, c'est un argument qui me convainc aussi (mais que cela ne te donne pas de mauvaises excuses !) | |
| | | Contenu sponsorisé
| Sujet: Re: Vladimir Odoïevski | |
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| | | | Vladimir Odoïevski | |
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