Nos lectures d’octobre 2014

GrandGousierGuerin a écrit:

Tu fais bien de préciser ... J'ai rien compris !

En plus ça parle fromages.

animal a écrit:

GrandGousierGuerin a écrit:

Tu fais bien de préciser ... J'ai rien compris !

En plus ça parle fromages.

Là ! Ca me parle ...

Léon Bloy - La femme pauvre


L U M I N E U X

Mais j'ai pas vu de fil ?

Puis toujours la Révolution française avec Bertaud. Un peu déçue par son découpage chronologique, même s'il y a aussi de l'analyse. Je croyais que c'était plus thématique. En même temps, c'est un tel imbroglio d'idées, de retournements de vestes, d'opportunismes, d'intérêts totalement divergents, de contradictions, de doutes... Une période particulièrement complexe de notre histoire et qui ne doit (ne peut) pas être schématisée.

Voilà pourquoi Lamartine, qui capte les mouvements psychologiques des héros et anonymes du moment me semble plus près d'une certaine vérité. Il attrape le côté mobile et changeant des êtres et des situations.

Je vais vite retourner à lui, car il me fait vivre tout ça de l'intérieur avec son talent peu commun. J'ai le tome 2 de ses Girondins à lire.

"À la grâce de Marseille" de James Welch.

Dans le grand cercle du monde de Joseph Boyden, le quotidien d'une tribu d'Indiens du Canada, entre sagesse et cruauté.

J'entame le premier des trois tomes de la série Siegfried de Alex Alice (inspiré par L'Anneau du Nibelung de Wagner). Le dessin est très ambitieux (nombreuses double-pages...) et c'est assez réussi pour l'instant.

églantine a écrit:

Je vais commencer :  Mensonges de femmes : Ludmila Oulitskaïa

Quel étrange roman .....
Agréable à lire mais avec une frustration finale  : On dirait qu'il manque un morceau pour découvrir véritalement son sens ....

Vite lu le Philip Roth. Je continue avec L'Africain de Le Clezio.

églantine a écrit:

églantine a écrit:

Je vais commencer :  Mensonges de femmes : Ludmila Oulitskaïa

Quel étrange roman .....
Agréable à lire mais avec une frustration finale  : On dirait qu'il manque un morceau pour découvrir véritalement son sens ....

Si tu veux connaitre un plaisir plus grand, tu pourrais peut etre lire les premières nouvelles de L.O. et
notamment Sonietchka...

bix229 a écrit:

églantine a écrit:

églantine a écrit:

Je vais commencer :  Mensonges de femmes : Ludmila Oulitskaïa

Quel étrange roman .....
Agréable à lire mais avec une frustration finale  : On dirait qu'il manque un morceau pour découvrir véritalement son sens ....

Si tu veux connaitre un plaisir plus grand, tu pourrais peut etre lire les premières nouvelles de L.O. et
notamment Sonietchka...

Il me semble que Sonietchka traîne dans ma PAL depuis des années : je vais essayer donc de le retrouver !
J'ai passé un bon moment mais cette auteure est un mystère pour moi depuis cette première lecture ....

eXPie a écrit:

je vais commencer Mon Nom est Rouge (Orhan Pamuk). Ça devrait m'occuper quelque temps...

Tiens je viens de le finir! Je suis sûre que tu pourras apporter d'autres éléments intéressants et qui différeront des miens!

J'ai commencé  Mélodie d'Akira Mizubayashi. Mais Mélodie...ressemble à mon Sam!

Les Milles automnes de Jakob de Zoet de David Mitchell.

Je l'ai dans ma PAL. Quand je le trouve....

C'est parti ! Je relis "Une tragédie sans héros." Mais il faut prendre des notes...

Exini a écrit:

C'est parti ! Je relis "Une tragédie sans héros." Mais il faut prendre des notes...

J'ai fait un petit tour chez l'éditeur, j'ai trouvé ça :

Citation :

« Tout le monde a le droit d’être stupide, mais le camarade Macdonald abuse de ce privilège. » Ce jugement, prêté à Trotski, réjouissait Dwight Macdonald (1906-1982), qui le citait souvent. Voilà qui rend assez bien compte du caractère entier, et fréquemment emporté, comme de la vivacité et de la liberté d’esprit de ce polémiste new-yorkais qui n’est pas oublié aux États-Unis mais méritait d’être mieux connu en France. Rédacteur en chef de Partisan Review entre 1937 et 1943, avant de fonder sa propre revue politics (1944-1949), devenu trotskiste sans avoir été stalinien, puis pacifiste et anarchiste, ami d’Orwell qu’il accueillera dans politics, il fut, comme lui, inséparablement hostile au capitalisme et à la bureaucratie stalinienne. Singulier aussi par sa capacité à remettre en cause ses propres certitudes, réfractaire à l’esprit de parti et à tout dogmatisme, il fut l’un des premiers à discerner qu’Auschwitz et Hiroshima marquaient le début d’une époque nouvelle. Souvent teintés d’humour, les textes réunis par nos soins couvrent une vingtaine d’années (1938 à 1957). Si Dwight Macdonald n’est certes pas un théoricien, la proximité de ses analyses avec celles d’Hannah Arendt ou de Günther Anders saute aux yeux. Mais il demeurera jusqu’au bout un essayist – ce qu’au XIXe siècle on appelait un publiciste. Il excellait autant à ferrailler contre les gros mensonges et les petites lâchetés (comme dans les textes consacrés à Hemingway et à Eisenstein) qu’il savait se montrer acéré dans la dénonciation du mythe du progrès, de la science, de l’aliénation moderne ou de la banalisation de l’horreur dans les sociétés de masse ; sans jamais vouloir perdre de vue les possibilités de renversement, en quoi il se distinguera définitivement de ce qu’allaient devenir la plupart des « intellectuels new-yorkais » de son temps.

Evidemment cela attise terriblement mon intérêt (donc dans ton bus avec ou sans carnet, portable, tablette, post-it et autres subterfuges) il va falloir que tu prennes des notes et fasses un commentaire ! C'est dit !

(mais toi, Exini, comment as-tu découvert ce livre ??)