Parfum de livres… parfum d’ailleurs
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 Seijun Suzuki

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MessageSujet: Seijun Suzuki   Seijun Suzuki EmptyMar 7 Oct 2014 - 22:29

Seijun Suzuki Seijun10

En guise de biographie la présentation d'une rétrospective en 2007 :
Maison de la culture du Japon à Paris a écrit:
Une trentaine de films dont une dizaine d’inédits pour rendre hommage à une signature exceptionnelle adulée par Quentin Tarantino, Wong-Kar Wai et Jim Jarmusch qui lui a dédié Ghost Dog. Cette rétrospective sera l’occasion de montrer, une nouvelle fois que c’est, de manière paradoxale, au sein même des contraintes économiques des studios des années 50 et 60 que le cinéma japonais a donné ses meilleurs auteurs, dans l’ombre bienveillante des grands maîtres (Ozu, Mizoguchi, Kurosawa, Naruse et Uchida) : Seijun Suzuki fait ainsi partie de la grande famille de ces artisans pourvus d’un sens du cinéma et d’un plaisir de faire hors du commun. Une esthétique remarquable et une vision de l’homme toute en émotion.
Né en 1923 à Tôkyô, Seijun Suzuki débute en 1948 comme assis­tant à la Shôchiku. En 1954, il entre à la Nikkatsu où il réa­lise en 1956 son pre­mier long-métrage La vic­toire est à nous. Dès les années 60, grâce à sa pro­duc­ti­vité, sa créa­ti­vité, son esthé­ti­que baro­que, son anti­confor­misme, il devient culte. Mais il effraie la Nikkatsu qui pro­fite du rela­tif échec de l’excel­lent film La marque du tueur pour le bannir des stu­dios et même lui inten­ter un procès. Eprouvante tra­ver­sée du désert malgré le sou­tien des ciné­phi­les et de la nou­velle vague japo­naise. Après sa peine, il réa­lise d’autres films dont des chefs-d’œuvre (Histoire de mélan­co­lie et de tris­tesse, 77 ; Mélodie tzi­gane, 80), mais qui pei­ne­ront à trou­ver leur public. Dans les années 90, une rétros­pec­tive à Rotterdam lui assure une renais­sance. Dès lors, Suzuki trouve des fonds pour de nou­veaux pro­jets tels que Pistol Opera (01), Princess Raccoon (05) avec la star chi­noise Zhang Ziyi. Depuis, plu­sieurs pays lui ont consa­cré de mul­ti­ples hom­ma­ges.
source : mcjp.fr

plus de lecture : wikipedia.org
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MessageSujet: Re: Seijun Suzuki   Seijun Suzuki EmptyMar 7 Oct 2014 - 22:49

Seijun Suzuki Takeai10

Visez cette voiture de police (1960)

J'en avais vu trois ou quatre, dont La marque du tueur je crois bien, avec Jo Shishido, et une petite occasion d'y revenir, ça faisait longtemps c'était à la fois daté et étrange.

Ce petit film de première partie de programmation, petite série B, va nous faire emboîter le pas à un gardien de prison. Ce n'est pas commun mais une attaque de détenus ne l'est pas non plus. Temporairement suspendu notre intègre bonhomme mène l'enquête... et se retrouve vite aux prises avec le monde de la prostitution et à des rivalités dans le crime organisé. Quelques hommes de main charismatiques, une femme fatale contrariée, une jeunesse branchée et notre bonhomme presque moyen pour traverser la danse.

Le film est court (1h20) et ça enchaîne pas mal, notre héros s'en prend pas mal dans la tronche mais il avance. Peu d'effets hors du commun dans l'image mais le montage "avance" et certaines scènes sont très très bien calées (certaines avouent une certaine esbroufe maîtrisée, dont l'intro). Et le principal dans cette histoire qui suit son cours derrière sa façade quasi nouvelle vague, c'est noir. Les méchants sont méchants (et vaguement psychotiques à l'image du sniper du gang) et les gentils à peu près gentils ou gentils mais dans le fond ça ne va pas avec toutes ces jeunes femmes qui se prostituent et toute la mécanique pour en profiter, ça ne doit pas cadrer tout à fait avec l'impression du pays en phase ascendante (on a des différences de richesse dans les lieux visités et les atmosphères).

Cocktail qui a l'air sage (bien qu'un peu embrouillé dans son intrigue) mais qui déroute un rien. Assez incisif pour largement motiver l'envie de revoir ce qu'on a déjà vu de plus près et d'y mettre un deuxième œil.
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Marko
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MessageSujet: Re: Seijun Suzuki   Seijun Suzuki EmptyMar 7 Oct 2014 - 23:45

Chouette de découvrir un cinéaste qui m'était complètement inconnu.
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Ariane SHOYUSKI
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MessageSujet: Re: Seijun Suzuki   Seijun Suzuki EmptyMer 8 Oct 2014 - 22:46

Je n'ai jamais vu "La Marque du tueur" (Koroshi no Rakuin, 1967).
Je pense qu'il était longtemps considéré comme réalisateur de films d'action (surtout de "films de yakuza" au Japon).
Mais j'ai l'impression qu'il est devenu célèbre avec "Zigeunerweisen" (1980, Mélodie Tzigane) basé sur une nouvelle de Hyakken Uchida "Le disque de Sarasate", esthétiquement très travaillé. C'était très beau et mystérieux. Il a obtenu plein de prix cinématographiques cette année au Japon et même battu "Kagémusha" de Grand Kurosawa. Même à l'extérieur du Japon, il a eu une Honorable Mention au Festival de Berlin.
Je n'ai vu que celui-ci et Kagerō-za (1981, Brumes de chaleur), toujours très esthétique.
Cette "trilogie de Taïshô" est ses films "artistiques" avec le dernier "Yuméji" (1991) dont son thème musical, composé par Shigeru Umebayashi, a été repris comme thème principal dans la bande son à succès d'"In the Mood for Love" de Wong Kar-wai.

Son problème est pour moi un peu trop esthétique, manque de profondeur ???
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MessageSujet: Re: Seijun Suzuki   Seijun Suzuki EmptyMer 8 Oct 2014 - 22:56

argl. je ne sais pas ou pas encore. avec mes souvenirs je dirai possible. pour sa célébrité je ne sais pas trop non plus. Il y a ces histoires de rétrospectives assez récentes qui mettaient peut-être plus l'accent sur ces films d'après son break et les ressorties dvd qui elles étaient plus orientées sur ses films de yakuza (et la rubrique fourre-tout "films asiatiques" mais un assez bon éditeur avec HK Video).

Je suis curieux de ses films des années 80.

C'est plus directement esthétique que les films de Kinji Fukasaku sans doute. Plus féroce mais pas sans profondeur ? on a un fil aussi : clic
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MessageSujet: Re: Seijun Suzuki   Seijun Suzuki EmptyMer 8 Oct 2014 - 23:22

Merci de m'avoir rappelé que j'ai un petit stock de Suzuki à voir...
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MessageSujet: Re: Seijun Suzuki   Seijun Suzuki EmptyDim 12 Oct 2014 - 22:19

tu dois avoir celui-là dans la liste :

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La jeunesse de la bête (1963)

(Qui est je crois la suite de Détective Bureau 2-3 que je n'ai pas vu).

Jo, démonte tout le monde et ne fait pas dans la dentelle. Il veut se faire remarquer. Il veut se faire recruter par un gang de yakuzas. C'est un dur à cuir et en fait il est policier, il veut venger la mort d'un collègue.

En attisant les rivalités entre deux clans il mène son enquête en marge de la loi. Au passage on retrouve les extorsions, la prostitution et la drogue derrière des devantures pop, plastiques et clinquantes.

Le film déménage beaucoup plus que les très mimis petites voitures japonaises d'époque et Jo Shishido (acteur qui s'est fait retaillé les pommettes pour avoir une tête bizarre qui fait un peu peur ?) avance comme un bulldozer. Les acolytes oscillent entre paumés et dépravés, leur point commun étant généralement la violence. Ce qui n'empêche pas un monde plus civilisé d'habiter les marges du film.

Sinon, sans doute tout ce qui fait la patte du réalisateur avec une image saturée avec des mouvements dans tous les sens, des répliques acérées. Tout d'une balade du côté obscur et remuant de l'image pop. Peut-être plus proche de l'action que du film noir avec des dehors de cauchemar bigarré.

(en prime le réalisateur dans le rôle très secondaire du policier qui suit l'enquête ?)

C'est très efficace.

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MessageSujet: Re: Seijun Suzuki   Seijun Suzuki EmptyLun 13 Oct 2014 - 17:25

Jo Shishido (acteur qui s'est fait retaillé les pommettes pour avoir une tête bizarre qui fait un peu peur ?) Seijun Suzuki 162492

Et bien son mêtier d'acteur lui tenait au corps!
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MessageSujet: Re: Seijun Suzuki   Seijun Suzuki EmptyLun 13 Oct 2014 - 21:27

pas forcément très parlant comme ça :

Seijun Suzuki Face210

il voulait apparemment diversifier ses rôles et passer du beau gosse gentillet au dur à cuire (pari gagné).
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MessageSujet: Re: Seijun Suzuki   Seijun Suzuki EmptyLun 13 Oct 2014 - 22:55

Oui, Jo Shishido était un acteur assez original qui a joué surtout dans des films policier, yakuza, samouraï, je crois. Souvent des secondes rôles un peu particuliers et parfois très personnels. Il pouvait jouer aussi des rôles très comique.
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MessageSujet: Re: Seijun Suzuki   Seijun Suzuki EmptyDim 19 Oct 2014 - 22:40

Seijun Suzuki Gate_o10

La barrière de chair (1964)

Au lendemain de la guerre, un gang de prostitué et un ancien soldat. En fait le film suit Maya, jeune fille qui devient prostituée "par défaut" : pas une thune, rien à bouffer... elle se rallie à un petit groupe de prostituées qui vit dans les ruines. Elles assurent leur propre protection avec l'éventuel coup de main d'un petit gang local. Dans ce ghetto de Tokyo, c'est la dèche, entre les truands, les prostituées et les patrouilles de MP américains des anciens soldats végètes, et beaucoup de familles, de femmes marquées par la guerre, maintenant marquées par l'occupation.

Arrangements et marché noir. Débarque chez nos féroces et peu engageantes héroïnes, Ibuki, vétéran, blessé et recherché après avoir poignardé un américain. Il devient inévitablement le centre des attentions de ces dames...

Film très noir malgré les couleurs volontiers criardes et les décors de carton-pâte. Toute la magie et la puissance d'un cinéma bâtard pour aborder son monde avec férocité. A mi-chemin entre le réalisme social et un onirisme cauchemardeux.

Le film planifié pour capitaliser sur cette profession et des violences/châtiments joue la carte jusqu'au bout et ça devient saisissant.

Le portrait du pays vaincu, entre le traumatisme et les pertes et l'argent de l'autre. Le portrait est d'ailleurs peu aimable envers les américains, surtout une frange de la population occupante et l'ombre d'une politique (il faut quand même rappeler le personnage du prêtre noir), en fait il est peu aimable aussi envers les japonais, c'est horriblement noir. Il est même peu aimable avec ses personnages violents, ces femmes aussi volontiers cruelles et destructrices.... et d'autant plus quand risque d'apparaître ce à quoi elles ont du renoncé (comme pas mal de monde autour d'elles).

La question du film, peut-être de cette barrière de chair du titre, peut s'approcher de l'amour, l'image violente de la "vraie femme", amoureuse, quand l'argent est exclu de la relation à l'autre. Et c'est très cruel parce que le réalisateur n'amoindri pas à quel point ses personnages sont usés, détruits et pris dans cette espèce de folie destructrice "moderne". Et ça ne veut même pas dire qu'ils sont forcément gentils.

C'est toujours Jo Shishido qui s'y colle à faire le beau gosse teigneux dans cette atmosphère poisseuse de fin du monde d'après la fin du monde.

Un beau et percutant retournement de mécaniques et un solide jeu de contradictions dans ce film choc. Ne pas non plus oublier un certain humour ni la musique au taquet.

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MessageSujet: Re: Seijun Suzuki   Seijun Suzuki EmptyDim 19 Oct 2014 - 22:42

et à noter qu'il s'agit de l'adaptation d'un roman de Tamura Taijiro qui a été adapté plusieurs fois.

Citation :
Gate of Flesh (Nikutai no mon) was first adapted by directors Masahiro Makino and Masafusa Ozaki in 1948, just one year after the publication of the novel. Later adaptions were by directors Seijun Suzuki (1964), Shōgorō Nishimura (1977), and Hideo Gosha (1988, as Carmen 1945).

Director Senkichi Taniguchi adapted another novel of Tamura in his film Escape at Dawn in 1950, which was remade by Seijun Suzuki as Story of a Prostitute in 1965.
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MessageSujet: Re: Seijun Suzuki   Seijun Suzuki EmptyDim 23 Nov 2014 - 9:36

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La marque du tueur (1967)

Dernier film avant de se faire mettre à la porte de la Nikkatsu et feu d'artifice ! Le tueur n°3 (Joe Shishido bien sûr) est de retour et il a besoin de sous, même si dans la vie il n'y a que deux choses qui comptent pour lui : l'odeur du riz qui cuit et sa femme, il a besoin de sous. D'abord associé à un ancien équipier devenu alcoolique, il accepte un contrat proposé par une rencontre de hasard (l'énigmatique et troublante Misako). Mais celui qui rate son coup doit mourir. Il faudra donc aller jusqu'à un duel avec le mystérieux n°1.

Dit comme ça ça fait léger, et il faut reconnaître que le film n'est pas spécialisé dans les temps morts. Il est plus spécialisé dans les trucs bizarres, incongrus, mais surtout surtout, avec sa petite bande son tranquillement jazzy entrecoupée de détonations, c'est une monstruosité graphique perpétuelle. Ça n'arrête pas. Une débauche de plan et de scènes très graphiques qui se régalent de modernités anguleuses et qui entretient aussi une sensualité radicale.

Avec ce scénario très improbables qui s'autorise des raccords visuels très efficaces dans leur tendance logique surréaliste, cette frénésie s'accorde à merveille avec la désorientation et les situations de frustration et d'échec rencontrées par le héros. Avec ou sans parallèles à faire avec la situation du cinéaste au bord de l'éclipse, c'est un condensé de vivacité cinématographique. Assez tape à l’œil mais horriblement réussi, et précis. Le côté obscur d'une imagerie pop glacée. (ça en devient brûlant... ).

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MessageSujet: Re: Seijun Suzuki   Seijun Suzuki EmptyDim 23 Nov 2014 - 23:36

Ah ! C'est toujours avec Jo Shishido !
C'est drôle et émouvant pour moi qu'il y a des gens comme Animal qui cherchent des films japonais de la catégorie B ! Les filles japonaises ne regardent pas vraiment ce genre de films. Mais mon frère les regardait parfois à la télé. Et la tête de Jo Shishido me rappelle forcément mon enfance.
Merci Animal, vraiment !
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MessageSujet: Re: Seijun Suzuki   Seijun Suzuki EmptyLun 24 Nov 2014 - 7:11

ben il n'y a pas de quoi. mais ce n'est pas si étrange que ça, c'est un réalisateur cité comme influence par beaucoup de ses confères qui ont ou ont eu la cote et assez logiquement même si de façon un peu plus marginale l'engouement pour le cinéma asiatique il y a quelques années l'a rendu accessible à ma génération.

et le mélange de série B et d'autres choses (ici l'esthétique et un regard acéré) c'est vite fascinant, non ?
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