Les Parfumés ont aimé en juillet 2015

églantine a écrit:

Alors alors , ce fut la littérature en rose ?

Oh oui,

D'ailleurs, ce mois-ci, j'ai infiniment aimé :

Beau comme Apollon ***** De l'émotion, un baron veuf et inconsolable et une délicate roturière
Au secours mon amour ***** Du suspense, un comte frivole et une superbe ingénue
A jamais conquise ***** Du frisson, un duc endurci et une belle oie blanche
L'amour tombé du ciel **** Du pathos sans mièvrerie, un prince beau comme un dieu et une innocente jeune première.

Et enfin, le meilleur de tous, l'incomparable L'homme de mes rêves ********** Des frémissements d'âme à vous retourner le coeur, un roi veuf et inconsolable, et une merveilleuse inconnue.
Tellement fort et prenant qu'il mérite sans aucun doute le statut de chef-d'oeuvre. Y'a pas à dire, Marcel Proust et Marc Lévy peuvent aller se rhabiller.

Est-il encore besoin que je vous présente l'auteur ?

Spoiler:

on pourrait presque croire que tu as vraiment lu ces livres

A chaque fin de mois, je suis dans l'incapacité de lister de mémoire mes lectures, c'est inquiétant!

Je retiens pour juillet particulièrement La fonction du balai de David Foster Wallace, et L'oeuvre de Dieu, la part du Diable de John Irving. Deux excellents moments, puis Carson Mc Cullers, Le coeur est un chasseur solitaire, mais je ne sais plus si c'était en juillet ou avant.

Sans doute que j'ai aussi lu d'autres trucs intéressants ce mois dernier.

Armor-Argoat a écrit:

Oh oui,

D'ailleurs, ce mois-ci, j'ai infiniment aimé :

Beau comme Apollon ***** De l'émotion, un baron veuf et inconsolable et une délicate roturière
Au secours mon amour ***** Du suspense, un comte frivole et une superbe ingénue
A jamais conquise ***** Du frisson, un duc endurci et une belle oie blanche
L'amour tombé du ciel **** Du pathos sans mièvrerie, un prince beau comme un dieu et une innocente jeune première.

Et enfin, le meilleur de tous, l'incomparable L'homme de mes rêves ********** Des frémissements d'âme à vous retourner le coeur, un roi veuf et inconsolable, et une merveilleuse inconnue.
Tellement fort et prenant qu'il mérite sans aucun doute le statut de chef-d'oeuvre. Y'a pas à dire, Marcel Proust et Marc Lévy peuvent aller se rhabiller.

Est-il encore besoin que je vous présente l'auteur ?

Spoiler:

Ah j'y ai cru l'espace de quelques longues secondes , à moitié endomie encore !
Tu me mets de bonne humeur Amor ce matin !

A par ça , pour ma part peu de lectures en ce moment et dans le peu hélas rien qui vaille la peine d'être souligné !

ArturoBandini a écrit:

A chaque fin de mois, je suis dans l'incapacité de lister de mémoire mes lectures, c'est inquiétant!  

tu pourrais noter tes lectures dans un petit carnet? des exemples

Bravo pour le sourire du matin Eglantine (foutu rose !) et Armor.

En août, ça promet !

Armor... Ne serait-ce pas Amore?
Je le savais!! Tu te donnes du mal à nous faire croire que tu ne lis que de la littérature indienne, du flan tout ça!

kenavo a écrit:

ArturoBandini a écrit:

A chaque fin de mois, je suis dans l'incapacité de lister de mémoire mes lectures, c'est inquiétant!  

tu pourrais noter tes lectures dans un petit carnet? des exemples

Oui c'est une idée.

En plus moderne, le fichier Word ou Excel.

Oui, je crois que quand on lit beaucoup le petit carnet (revu éventuellement sur le mode liste Excell) c'est la seule solution. (et puis c'est tellemnt bien d'avoir une raison d'ouvrir un nouveau carnet!). Mais si tu veux tu as aussi droit au Gros Cahier!

Et oui, même à ton âge Arturo, la mémoire a ses limites! Alors, imagine ce que l'avenir te réserve !

Cela fait partie des épreuves de honte régulièrement rencontrées, la personne qui s'intéresse gentiment à moi et me demande ce que j'ai lu récemment, et là... le blanc!... incapable de sortir le moindre titre !

ArturoBandini a écrit:

Armor... Ne serait-ce pas Amore?
Je le savais!! Tu te donnes du mal à nous faire croire que tu ne lis que de la littérature indienne, du flan tout ça!  

Cela dit quand on voit les films indiens, on se dit qu'il doit y avoir un équivalent livresque de bollywood.

Revenons à nos moutons !

****
22/11/63 de Stephen King
L'oubli où nous serons d'Hector Abad (relecture)
Méroé De olivier Rolin (relecture)
***
Aventures dans le commerce des peaux en Alaska de John Hawkes
**
La beauté des loutres de Hubert Mingarelli
Bohemian flats de Mary Relindes Ellis
La grande santé de Frédéric Badré
Wild idea de Dan O'Brien

Arabella a écrit:

ArturoBandini a écrit:

Armor... Ne serait-ce pas Amore?
Je le savais!! Tu te donnes du mal à nous faire croire que tu ne lis que de la littérature indienne, du flan tout ça!  

Cela dit quand on voit les films indiens, on se dit qu'il doit y avoir un équivalent livresque de bollywood.

Ce qu'ils sont moqueurs, quand même !

Moi aussi je suis incapable de me souvenir ce que j'ai lu dans le mois, à chaque fois je ne suis capable de citer que 2 ou 3 titres. Ca fait un peu peur…
Du coup j'ai un joli carnet où je note toutes mes lectures. Il me suffit de lire les titres et mes impressions me reviennent immédiatement. Bizarre, quand même, la mémoire.
J'ai renoncé à laisser des impressions, juste un petit code à côté pour selon que j'aie adoré, beaucoup aimé ou bien aimé...

Un film pour cet été:  Les nuits blanches du facteur de Andreï Kontchalovski

Quelques livres:

1- Dites aux loups que je suis chez moi de Carol Rifka Brunt
2- Something like happy de John Burnside (nouvelles)
3- Un homme effacé d'Alexandre Postel (revu à la baisse à cause de son désastreux second roman "L'ascendant" lu hier soir)

4- Ruby de Cynthia Bond
5- Le puits de Ivan Repila:

6- L'ascendant d'Alexandre Postel: à oublier!

Je n'ai pas encore terminé The Children act de Ian McEwan.

Catégorie scientifique/psycho: l'excellent La boulimie, une indication pour se perdre sous la direction de Thierry Vincent. Passionnant et riche de multiples expériences par des intervenants en addiction.

*****

David Foster Wallace : La fonction du balai

****

André Ourednik : Les cartes du boyard Kraienski

Witold Gombrowicz : La pornographie

***

Joël Egloff : L'homme que l'on prenait pour un autre