Un petit pas pour l'homme, un grand bond pour ...

Agnès a écrit:

Est-ce qu'on pourrait laisser mes nichons (comme dirait Mordicus) tranquilles ?

(Je crois pas qu'on les ai beaucoup dérangé puisqu'apparemment tu les gardes planqués... Si tu les avais au moins montrer, la Troll serait peut-être restée !
Si tu les montres elle va peut-être revenir !

Mordiiiiicus ! Agnès va montrer ses seins ! Et garder toutes ses dents dedans.)

Sainte Nitouche.

C'est ça. Pleure. T'éteindra les incendies de ces sales phallocrates !

Purée, elle pète les flammes Queenie cet après-midi (<--- vanne pourrie, chuis fatiguée). Merwyn tu es toujours là ? Pardon pour ces digressions, le feu m'en monte aux joues

C'est le curry, elle a déjà entamé la moitié, elle est rouge sang et prête à incendier les invités quand ils vont débarquer.

Un dragon, elle a prévenu...

(Vous me faites bien rire. On peut rester un petit moment? Desfois qu'il se passe quelque chose d'autre..)

Et Bienvenue Merwyn!

J'ai appris des trucs, merci!

Bienvenue Merwyn.
Oh, tu aimes les singes. Lis-tu alors Frans de Waal par exemple ?

C'est intéressant ce que tu dis sur le pyromane. Je ne savais pas que le pourcentage de homme/femme est si différent à la pyromanie. Alors que les japonais sont souvent complètement opposés aux français sur beaucoup d'aspects, même chez les japonais (je suis japonaise), les hommes sont plus nombreux que les femmes. Mais il y a tout de même 12,7% de femmes !
Mais le pyromane le plus célèbre du Japon reste toujours à une femme : Oshichi la marchande de légumes (Yaoya Oshichi,1667?-1683). Elle a mis la moitié d'Edo (Tokyo) en cendre juste pour revoir son amant pompier.

Bonjour Ariane.


Je ne connaissais pas l'histoire d'Oschichi, merci de me l'avoir contée. J'apprécie également la culture et la littérature japonaise tel Junichiro Tanizaki ou, plus proche de nous, Kyoichi Katayama.

J'aime les animaux en général mais ne prends pas assez de temps pour apprendre sur eux, ou apprendre d'eux. Je note ta mention à Franz de Waal, cela m'intéresse, je t'en remercie.

Ariane SHOYUSKI a écrit:

Elle a mis la moitié d'Edo (Tokyo) en cendre juste pour revoir son amant pompier.

Maintenant les femmes se contentent des "feux de l'amour" à la télé (autre blague pourrie.. )

Chamaco a écrit:

Ariane SHOYUSKI a écrit:

Elle a mis la moitié d'Edo (Tokyo) en cendre juste pour revoir son amant pompier.

Maintenant les femmes se contentent des "feux de l'amour" à la télé (autre blague pourrie.. )

Je n'avais pas osé la faire...

N'empêche, il me semble que l'amour était bien plus entier... hier (car plus difficile et en cela plus précieux)... nonobstant les mariages arrangés. D'ailleurs les sociologues et historiens ont étudié cette question avec une conclusion, somme toute intéressante (pour la France en tous cas), l'urbanisation a accéléré le choix des partenaires.
En effet, dans une France rurale (avant Seconde guerre mondiale), pour ne pas perdre de superficie d'exploitation, il n'était pas rare que les familles s'entendent pour un partage équitable.

Certes, on n'en était plus à La Terre de Zola mais les unions d'amour n'étaient de loin pas la règle.... On allait également "chercher" sa moitié au plus proche, ce qui limitait également le choix des sentiments...

Toutefois, il y a encore des survivances aujourd'hui, à plus de 70%, les unions se font par catégories socio-professionnelles, populaire, moyenne et aisée.

Les sociologues sont même allés jusqu'à en expliquer une des causes au niveau des espaces de rencontre:
- Populaire, espace à faible droit d'entrée, soit la rue ou le café/bar.
- Moyenne, lieu de travail et associations, sportives le plus souvent.
- Aisées, familles et dîners, brunch entre amis.

Cela peut sembler schématique mais c'est lors d'une conférence à la Maison des Sciences de l'Homme que le conférencier avait, sources à l'appui, étayé ses propos.

Ariane SHOYUSKI a écrit:

Elle a mis la moitié d'Edo (Tokyo) en cendre juste pour revoir son amant pompier.

Heureusement pour les centres-villes depuis on a inventé les textos et les Première classe/Campanile/Mercure

Merwyn a écrit:

Je n'avais pas osé la faire...

bah, j'ai un parapluie en bronze depuis le temps

Merwyn a écrit:

Les sociologues sont même allés jusqu'à en expliquer une des causes au niveau des espaces de rencontre:

classé "populaire" à Cuba...

Merwyn a écrit:

- Populaire, espace à faible droit d'entrée, soit la rue ou le café/bar.

Merwyn a écrit:

- Moyenne, lieu de travail et associations, sportives le plus souvent.

et "classe moyenne" pour la France...Perso je n'ai fait que déchoir...

Agnès a écrit:

Ariane SHOYUSKI a écrit:

Elle a mis la moitié d'Edo (Tokyo) en cendre juste pour revoir son amant pompier.

Heureusement pour les centres-villes depuis on a inventé les textos et les Première classe/Campanile/Mercure

N'empêche c'était un phénomène cette femme, quelle flamme..!!!