Nos lectures de novembre 2015

Encore une très belle image, kena. (Entre nous, c'est tout à fait ainsi que je t'imagines le soir chez toi ! )

Soucis avec mes yeux… Je me suis donc rabattue sur un livre de nouvelles, écrit gros : Nouvelles voix d'Afrique, un autre recueil présenté par Michel le Bris.

Armor-Argoat a écrit:

(Entre nous, c'est tout à fait ainsi que je t'imagines le soir chez toi ! )

oui, c'est à peu près ça

pour tes yeux

J'ai commencé en octobre,et ne m'appesantirai pas en novembre sur Maudit soit le fleuve du temps de Per Petterson, tant ce livre est vain .

Je continue avec Françaois Saintonge "Le métier de vivant"... - cela me plaît!

topocl a écrit:

J'ai commencé en octobre,et ne m'appesantirai pas en novembre sur Maudit soit le fleuve du temps de Per Petterson, tant ce livre est vain .

Ah ! quelqu'un d'autre qui ne trouve pas son compte avec Per Petterson.

J'ai relu le fil, c’est de loin celui qui a le moins emballé!

Histoire d'enfoncer le clou pour animal : Une longue journée de novembre d'Ernest Gaines
(et puis c'est tellement adapté )

"Je vois une voiture à quatre chevaux qui arrive à grand trot, elle s'arrête à la porte, le sommelier va ouvrir la portière, car derrière la voiture il n'y avait aucun domestique ; et je vois quatre femmes bien mises qui en sortent. Je ne trouve rien de rare dans les trois premières, mais la quatrième, vêtue en ce qu'on appelait amazone, me frappe. Cette jeune femme avec des yeux noirs très fendus à fleur de tête sous deux surcils intrépides à teint de lis, et joues de rose coiffée par un bonnet de satin bleu d'où pendait une houppe d'argent qui lui tombait sur l'oreille est un talisman qui me rend stupide. Je mets ma poitrine sur la hauteur d'appui de la fenêtre pour gagner dix pouces, et elle élève sa charmante tête, comme si je l'avais appelée. Ma position extraordinaire la force à me regarder avec attention une demi-minute ; c'est trop pour une femme modeste"
Vous avez deviné Cette lecture m'occupera encore un certain temps....

Un incontournable du XIXème siècle, ArenSor ?? (que j'aurais contourné ???) !!

Je viens de me lancer dans Blanche-Neige et les lance-missiles de Catherine Dufour et c'est absolument désopilant !

Ce n'est pas le XIXe, mais le XVIIIe, shanidar, et il y a de quoi être occupé un moment, en effet.

Fidèle à Giacomo et ses conquêtes...

Et oui, même si mot fidèle, dans ce contexte...

Le pense-bête de Fritz Leiber.

Fritz Leiber décrit, en 1962, une humanité obsédée par le progrès, la technique et le profit, quitte à en devenir l’esclave absolu.

lepassagerclandestin.fr