Nos lectures de novembre 2014

Après Rolin, je change carrément de registre avec Peine perdue d'Olivire Adam, qui m e plaît bien pour le moment, mais je sais qu'il peut décevoir !

Je suis en train de lire Les chutes de Joyce Carol Oates

Ruy Blas de Victor Hugo.

Depuis un moment je suis en train de lire de la non-fiction en anglais (e.g. Justice de Michael J. Sandel) et en allemand (e.g. Patentöchter de Julia Albrecht et Corinna Ponto) et je continue, mais je ne manquerai pas de revenir au roman et en français.

Le dernier Neil Gaiman, et c'est trèèès bon ! (on retrouve un univers à la Coraline).
Au diable Vauvert aurait pu choisir une autre couverture... je trouve que ça ne correspond pas tellement à l'ambiance du livre...

Un recueil de nouvelles de Peter Stamm : Comme un cuivre qui résonne .

Ces années Castellucci de Jean-Louis Perrier

L'annonce de Marie-Hélène Lafon. (comment je suis au taquet avec le portail !)

Les mères de Samantha Hayes

Toujours en Turquie avec L'atlas des continents brumeux d'Ihsan oktay Anar recommandé par Silou.

Entamés et terminés la nuit dernière :

Le Bleu du ciel de Georges Bataille : Pas irréprochable dans la forme et un peu vite brossé, mais un contenu intéressant et un ton juste. L'atmosphère y est résolument sombre. On flirte un peu, sans plus, avec Dostoïevski, avec certes moins de génie, mais plus de perversion.

Lunar Caustic de Malcolm Lowry : Mince, pourquoi j'ai attendus si longtemps pour relire l'auteur d'Au dessous du volcan ? Jouissif, exaltant, comme des volutes de fumées ou de saouleries. J'ai plongé dedans, je suis remonté à la surface, au bien-être, à la volupté.

Je continue avec les Tchèques: Jachym Topol "Ange exit". Avec un début chaotique...

Le Flûtiste invisible de Philippe LABRO.

"Tout est déterminé par des forces sur lesquelles nous n'exerçons aucun contrôle. Ceci vaut pour l'insecte autant que pour l'étoile. Les êtres humains, les légumes, la poussière cosmique - nous dansons tous au son d'une musique mystérieuse, jouée à distance par un flûtiste invisible."
Albert EINSTEIN.

Je viens de terminer l'extraordinaire L'Eté des noyés de John Burnside...