Eleanor H. Porter

Eleanor H. Porter, née Eleanor Emily Hodgman, est une femme de lettres américaine, née le 19 décembre 1868 àLittleton (New Hampshire) et morte le 21 mai 1920 à Cambridge (Massachusetts).

Elle est surtout connue pour son célèbre roman Pollyanna écrit en 1913. Grand succès de librairie (il sera traduit en douze langues), l'auteur écrira une suite en 1915 : Pollyanna grandit (Pollyanna Grows Up).

Source : Wikipedia

Pollyanna

Citation :

Présentation de l’éditeur
Quand le père de la jeune Pollyanna Whittier décède, la petite fille est envoyée vivre chez sa tante Polly à Beldingsville, dans le Vermont. Mais autant Pollyanna est lumineuse et passionnée, autant sa tante hurle dès qu'une porte claque ou qu'une fenêtre reste ouverte.
Cependant Pollyanna a été élevée en apprenant à voir toujours le bon côté des choses, grâce au jeu du contentement. Peu importe que la situation soit dramatique, il est toujours possible de trouver matière à être heureux. Un dîner composé de pain et de lait dans la cuisine est accueilli avec ravissement. Une chambre spartiate sous les combles ? La vue depuis la fenêtre est splendide, bien mieux que n'importe quelle décoration. Et alors que Pollyanna commence à connaître les habitants du village, sa gaieté et sa joie de vivre se répandent : un par un, les voisins, revêches, tombent sous son charme, comme Mrs Snow, une éternelle insatisfaite, et Mr Pendleton, qui vit comme un ermite.

Tout comme pour Lucy Maud Montgomery, je ne vais pas ouvrir le fil d’Eleanor Porter dans la section jeunesse, bien qu’on puisse considérer que Pollyanna appartient dans cette catàgorie.

C’est aux alentours de la LC pour Lucy Maud Montgomery qu’Arabella a mentionné ce livre et bien que je connais depuis des années plusieurs versions cinématographiques, jamais franchi le pas pour lire la source dont on s’est inspiré pour créer cette jeune fille pétillante.

En comparaison avec Anne, héroïne du livre de sa consœur canadienne, faut dire que Pollyanna perd un peu d’éclat. Mais après quelques chapitres on n’y pense plus, parce qu’il ne s’agit pas de comparer mais de profiter de la fraicheur de ce personnage de littérature tout à fait à part.

C’est naturellement du positif tout plein, mais il n’y a pas d’interdiction de se faire du plaisir en lisant !

Eleanor Porter dessine bien les différents caractères de ses personnages et l’évolution de l’un et l’autre est tout à fait plausible.

Pollyanna va changer la vie de plus d’un dans ce village et c’est une très belle aventure livresque de la suivre dans ce exploit.

Le genre de livre qui me fait fuir !! (et quand je pense que j'ai été coiffée comme ça... )

et oui, on ne peut pas aimer toujours les mêmes livres
moi, je vais continuer de jouer au jeu, 'the glad game' est tellement mieux que la traduction française

c'est vrai que si on creuse un peu tu pourrais être notre Pollyanna sur le forum !

rhooo