Nos lectures d'août 2016

Olivier Truc : le dernier lapon

Exini a écrit:

- "Corpus delicti" de Juli ZEH

ah ah !

topocl a écrit:

Olivier Truc : le dernier lapon

oh oh (offert à mon beaup' pour l'été et il semble avoir bien accroché !)

J'ai commencé Maurice à la poule de Matthias Zschokke...

shanidar a écrit:

J'ai commencé Maurice à la poule de Matthias Zschokke...

Et moi j'ai commencé Les chevaux de Tarquinia de Marguerite Duras et j'aime trop le talent de cette femme décidément !

"Dans les forêts de Sibérie" de Sylvain Tesson.

Le Bibliomane a écrit:

"Dans les forêts de Sibérie" de Sylvain Tesson.

Curieuse de ton avis .

shanidar a écrit:

topocl a écrit:

Olivier Truc : le dernier lapon

oh oh (offert à mon beaup' pour l'été et il semble avoir bien accroché !)

.

Une histoire de famille, alors : offert à mon fils, et lu aussi par M topocl!
Ca part bien. de ces polars avec un policier sympa pas policier du tout (je vais le présenter à Longmire) et plein de choses à apprendre sur la Laponie et les Lapons.
Et en plus il parait qu'il y a une suite!

shanidar a écrit:

J'ai commencé Maurice à la poule de Matthias Zschokke...

Je l'ai mis dans mon panier cet après_midi, je vais donc attendre ton avis pour inscrire le numéro de ma carte bancaire!

Maurice vous remercie !

Eudora Welty : La fille de l'optimiste.

topocl a écrit:

Quasimodo a écrit:

eXPie a écrit:

Hans Fallada : Seul dans Berlin.

C'est drôle, je l'avais emporté à Berlin cette semaine. Mais le temps m'a manqué !

C'est dommage. Le lire à Berlin, ça doit être bien!

Oui ... Mais bon, ça me rappellera d'excellents souvenirs

topocl a écrit a écrit:

Olivier Truc : le dernier lapon

j'espère que tu l’apprécieras comme moi.

oui Topcol , il y a une suite c'est le détroit du loup

Après dix huit ans de vie commune, Astrid, l' épouse d' un historien de l' art, le quitte pour voyager.
J' aime quand un écrivain par l' intermédiaire d' un personnage nous fait partager ses questionnement, ses angoisses, ses souvenirs.
Non pour qu' on s'indentifie à lui, mais comme si on était un compagnon, un confident, dont la nécessité est d' etre là à écouter.
A l 'écouter.
Il faut que l' auteur ait bien du talent. L' intuition de toucher à quelque chose de notre propre histoire. Ou surtout nous interesser à ses propres tourments,
à ses propres souvenirs.
Mais s' il ne sait pas pour quoi sa femme est partie. Il est certain qu' il nous en fait un portrait particulièrement attachant.
Parce qu' elle est belle, intelligente. Qu' elle parvient à s' imposer naturllement où qu' elle soit, et avec tout un chacun.
Parce qu' elle est une énigme aussi pour le personnage et pour nous.
Je n' en sais pas plus pour l' instant, mais  je suis tout ouie !
L' auteur, le titre ? Silence en octobre : Jens Christian Grondahl.

"Je dois tout réinventer, tout en sachant bien que je risque ainsi de recouvrir le peu que j' aurais peut etre pu mis au jour pendant ce temps.
Tout en brodant mon histoire, je me rends compte à quel point une vie reste pleine d' ombres et de silences.
Comment prend-elle forme ? Pourquoi a-t-elle pris cette direction-là, cette direction décisive ?"

Véra (des Contes cruels), Villiers de L'Isle-Adam. Super découverte. Je reviendrai peut-être en dire plus ...

"L'Entreprise des Indes" d'Erik Orsenna.

Quasimodo a écrit:

eXPie a écrit:

Hans Fallada : Seul dans Berlin.

C'est drôle, je l'avais emporté à Berlin cette semaine. Mais le temps m'a manqué !

C'est un peu pareil pour moi, je n'ai eu le temps d'en lire qu'une petite centaine de pages...