Henry Green

Henry Green est le nom de plume de Henry Vincent Yorke, un écrivain anglais (29 octobre 1905 – 13 décembre 1973).

Green est principalement connu pour son roman Loving (1945), figurant dans la liste des cent meilleurs livres de langue anglaise écrits entre 1923 et 2005, établie par Time.

Dans sa jeunesse, il fréquentait les Bright Young People, un groupe de jeunes aristocrates hédonistes qui défrayaient la chronique.

Source : Wikipédia


Bibliopgraphie

1954 Amour
1955 Rien
1964 Conclusion
1979 En gare
1990 Back

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Party Going / En gare

Citation :

Présentation de l’éditeur
Un groupe d'amis se prépare à quitter l'Angleterre pour aller passer ses vacances en France. Ils se donnent rendez-vous à la gare Victoria. Un brouillard d'une densité exceptionnelle impose aux trains un retard de plusieurs heures. Le groupe décide de s'installer à l'hôtel Terminus, près de la gare, et d'y attendre que le brouillard se lève.
À part Claire et Robert qui sont mariés, les autres vacanciers, garçons et filles, sont célibataires.

Spoiler:

Voilà le kif du jour !
Depuis que je fais partie de ce forum, je voulais parler de cet auteur, mais je ne sais pas comment j’ai lancé les recherches, jamais trouvé des traductions françaises de lui… et voilà que j’en retrouve au moins quatre livres publiés et surtout mon préféré !

J’ai mis une partie de la présentation de l’éditeur en spoiler, parce qu’ils révèlent un peu trop.

Ma lecture (et même relecture, ah, le bon vieux temps quand ma PAL n’avait pas encore la dimension actuelle et je pouvais relire des livres que j’adorais) date de… je dirais probablement vingt ans, mais voilà une histoire qui m’est encore très bien en mémoire.

Cette atmosphère à la gare, surtout cet état d’excitation avant un voyage, qui va être coupé court à cause du temps.

Le groupe se retrouve dans l’hôtel près de la gare et tout le reste du livre va se dérouler là (tiens, un bon livre pour la LC Hôtels).

Je me rappelle de cette bande de jeunes qui essaie de ne pas se laisser perturber par le retard de leur train et commencent en quelque sorte la fête dans cet hôtel.

Parfois on n’a pas d’influence sur les livres qui nous restent en mémoire… en tout cas ce livre reste un de ceux que je mets dans le domaine « à part ».

J’en ai lu encore d’autres de lui, mais pour ceux-là je n’ai plus de si bons souvenirs. C’est vraiment ce Party Going qui est pour moi synonyme avec le nom de cet auteur.

rien en médiathèque ce sera pour plus tard

oui, je peux m'imaginer qu'il n'est pas facile de le retrouver... tombé un peu dans l'oubli (aussi en monde germanophone)...

Moi aussi, je voulais parler de Green. Mais je savais la difficulté qu' il y avait pour le trouver en français.
Green fut une révélation pour moi il y a des années... Et quelques autres. Il n' a pas eu le succès qu' il méritait. Et Gallimard, après
avoir publié quatre romans s' en est tenu là.
C' est un romancier original et intrigant. Un peu comme Josipovici.
Socialement féroce, il me fait penser parfois à Ivy Compton Burnett
Si vous voulez le lire en français, l vous faudra chercher, mais on doit encore pouvoir le trouver dans les librairies d' occasion et dans
les bibliothèques.
Quant à ceux qui ont la chance de lire l' anglais, qu' ils ne se privent pas...

Le dernier livre de Green traduit en français. Année 1990.

C'est vrai qu'on a souvent pas d'influence sur les livres qui nous restent en mémoire. Parfois même, on renâcle à lire un livre et on se demande pourquoi on ne l'a pas lu avant. Et il devient un livre que l'on n'oublie jamais. Mais je n'ai jamais lu Henry Green. Je retiens.

pia a écrit:

Parfois même, on renâcle à lire un livre et on se demande pourquoi on ne l'a pas lu avant. Et il devient un livre que l'on n'oublie jamais.

oh oui... pas mal de livres parmi mes coups de coeurs qui se retrouvent dans cette description