Parfum de livres… parfum d’ailleurs
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 Woody Allen

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Arabella
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MessageSujet: Re: Woody Allen   woody - Woody Allen - Page 3 EmptyDim 23 Déc 2007 - 19:57

Quelle chance incroyable Kenavo, normale que la salle était pleine, j'imagine que tu as tu acheter ton billet longtemps à l'avance, et c'est vrai que de voir les artistes en vrai est tellement agréable, infiniment plus marquant que tout les DVD.
Même si c'est éphemère, les souvenirs restent pour toujours.
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kenavo
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MessageSujet: Re: Woody Allen   woody - Woody Allen - Page 3 EmptyMar 25 Déc 2007 - 13:29

arabella a écrit:
j'imagine que tu as tu acheter ton billet longtemps à l'avance
Lundi matin (il y a quelque mois) l'annonce était dans le journal - 2 heures plus tard il n'y avait plus de tickets!!!! Very Happy
Dimanche il y avait un reportage dans notre journal télévisé - et le directeur de la Philharmonie a dit, que Woody Allen lui avait confirmé d'avoir envie de revenir aime
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coline
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MessageSujet: Re: Woody Allen   woody - Woody Allen - Page 3 EmptyLun 7 Jan 2008 - 23:03

Pour Kenavo...et un peu pour nous tous aussi...non mais...y'a pas de raison qu'on n'en profite pas un peu...Very Happy

le concert à Bruxelles
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kenavo
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MessageSujet: Re: Woody Allen   woody - Woody Allen - Page 3 EmptySam 7 Juin 2008 - 11:01

Pour l'instant j'aime bien une chanson du groupe The Wombats où il y a la ligne
Christmas came early this year

et bien.. cela est aussi vrai pour moi depuis ce matin, regardez ce que le père Noël m'a apporté sourire

woody - Woody Allen - Page 3 Couver10

joie
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kenavo
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MessageSujet: Re: Woody Allen   woody - Woody Allen - Page 3 EmptyLun 16 Juin 2008 - 19:36

woody - Woody Allen - Page 3 Match-10

Citation :
Synopsis
Jeune prof de tennis issu d'un milieu modeste, Chris Wilton se fait embaucher dans un club huppé des beaux quartiers de Londres. Il ne tarde pas à sympathiser avec Tom Hewett, un jeune homme de la haute société avec qui il partage sa passion pour l'opéra. Très vite, Chris fréquente régulièrement les Hewett et séduit Chloe, la sœur de Tom. Alors qu'il s'apprête à l'épouser et qu'il voit sa situation sociale se métamorphoser, il fait la connaissance de la ravissante fiancée de Tom, Nola Rice, une jeune Américaine venue tenter sa chance comme comédienne en Angleterre...

Un sujet semblable à celui de Crimes and Misdemeanors (Crime et délire/Crime et châtiment) de 1989.


J’aime bien le sujet de la ‘tragédie’.
Mais j’adore surtout la réflexion des propres sentiments – parce que je dois dire – on ne peut certainement pas approuver les actions de Chris – mais est-ce qu’on ne lui souhait pas de s’en sortir ? ….

Un film qui devrait aussi plaire aux lecteurs de Pascal Garnier.. c’est du noir trop classe.. aime
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Aeriale
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MessageSujet: Re: Woody Allen   woody - Woody Allen - Page 3 EmptyLun 16 Juin 2008 - 19:56

kenavo a écrit:
Un film qui devrait aussi plaire aux lecteurs de Pascal Garnier.. c’est du noir trop classe.. aime
Complètement Kenavo Very Happy
J'avais pris un plaisir fou à voir ce film à sa sortie . Trop contente de retrouver un Woody farceur et malicieux sorti un peu de ses interrogations métaphysiques dans lesquelles il a parfois tendance à s'engluer.
...et totalement irrespectueux dans sa morale Wink

Judicieux ton rapport avec Garnier, Kenavo!
C'est vrai qu'il fait penser à l'esprit de ses romans, cet esprit que j'aime tant, entre le drame et la comédie, cynique, malin et dont la fin nous parait complètement déroutante.

A l'image de cette balle de tennis...La classe Woody quoi! bravo
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Marie
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MessageSujet: Re: Woody Allen   woody - Woody Allen - Page 3 EmptyLun 21 Juil 2008 - 3:35

J'ai donc vu hier Le rêve de Cassandre, et l'ai de beaucoup préféré aux deux derniers. Le thème est annoncé dès le départ, et le développement est brillant, pas une fausse note ai-je trouvé, tout est léché , chaque détail ( ah, les papiers peints..) est comme d'habitude parfait. En plus, j'ai retrouvé un acteur que j'aime beaucoup, toujours excellent, Tom Wilkinson.
Un très bon moment de cinéma. Ah et puis la musique de Philip Glass est, comme d'habitude aussi, très bonne.
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kenavo
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MessageSujet: Re: Woody Allen   woody - Woody Allen - Page 3 EmptyLun 21 Juil 2008 - 15:10

AH!!! MERCI Marie!! J'en connaît tellement de personnes qui attendait du "Match Point Version 3" et étaient déçus avec Le rêve de Cassandre.

C'est marrant - mais autant que j'étais content pour Woody Allen d'avoir fait ce coup avec Match Point et de retrouver tellement de nouveaux admirateurs - par après ils attendent maintenant toujours la même chose.. ils oublient que c'est toujours Woody Allen.
Et moi j'ai adoré Le rêve de Cassandre - surtout que j'avais peur que Colin Farrell pourrait être le maillon faible de ce film.. mais il était sublime..

J'attends avec impatience la sortie du nouveau miammiam
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kenavo
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MessageSujet: Re: Woody Allen   woody - Woody Allen - Page 3 EmptyJeu 7 Aoû 2008 - 16:32

Le nouveau Woody est prévu pour Octobre chez nous enthousiaste

et voici déjà une interview en attendant miammiam

Leçons de séduction par Woody Allen

Il a beau porter des pulls difformes, des pantalons en toile beige démodés, être binoclard, avoir une voix inaudible, être dur de la feuille et disposer d'un physique de nain de Central Park, Monsieur Allen est un séducteur malgré lui. Avec son nouveau film «Vicky Cristina Barcelona», ce génie du Septième art de 73 ans prouve surtout qu'il n'a rien de perdu de son humour décalé.

Propos recueillis par Frank Rousseau

Dans cette production (Vicky Cristina Barcelona) avec Penelope Cruz, Scarlett Johansson, Rebecca Hall et Javier Bardem qui sortira courant octobre chez nous, le réalisateur décortique avec humour les relations amoureuses et passionnelles de couples hauts en couleur. Des relations homme-femme, bien sûr, mais aussi homosexuelles puisque Penelope et Scarlett partagent une scène… lesbienne. Woody s'encanaillerait-il?

Quels sont les rapports de Woody Allen avec la séduction?
Woody Allen: «Des rapports pénibles! (Rires) Quand j'étais enfant, j'étais le seul mâle parmi les femmes. C'était facile. J'ai été élevé, en effet, au milieu de ma mère, ma sœur, les sept mères de ma sœur et de mes cousines. J'étais donc très chouchouté. Les choses se sont compliquées lorsque j'ai quitté le giron familial. Là, il a fallu que je fasse plus d'efforts pour séduire les dames. Avec le physique dont je dispose, je ne pouvais évidemment pas me prendre pour Javier Bardem!»
Et nous qui pensions que vous aviez été un beau bébé?
W. A.: «Erreur! Vous vous souvenez de ce que j'écrivais dans Zelig? "A sa naissance, il était tellement laid que sa mère a failli devenir antisémite." Finalement, c'était une réplique très autobiographique! (Rires)
Jeune, je voulais ressembler à Cary Grant, mais avec une grand-mère qui ressemblait à Groucho Marx, génétiquement parlant, j'avais peu de chance de rouler des mécaniques. Du coup, pour draguer les femmes, je me suis concentré sur un truc dont elles raffolent toutes: l'humour. A froid!»
Quel type de femme vous attire?
W. A.: «Quand j'étais plus jeune, j'avais une vraie attirance pour les folles, les hystériques. Toutes mes petites amies avaient d'ailleurs des cicatrices aux poignets. Mais à la longue, ça m'a fatigué. Ces filles étaient impossibles à vivre. Du coup, je me suis intéressé progressivement à des femmes peut-être moins excitantes sexuellement mais plus stables psychologiquement!»
Comment expliquez-vous que le sexe dit faible soit toujours en décalage avec les attentes libidineuses que peuvent avoir les hommes?
W. A.: «Vous savez, les femmes ont souvent le sentiment que les hommes ne s'intéressent à elles que pour satisfaire leurs pulsions sexuelles. L'expérience m'a appris qu'elles ont très souvent raison!»
Vous êtes né Allen Stewart Konigsberg, pourquoi avoir choisi le pseudo de Woody Allen?
W. A.: «Parce qu'il sonnait bien, parce qu'il avait le mérite d'être court, mémorisable donc; et parce que je voulais rendre hommage à Woody Herman, un célèbre clarinettiste!»
On dit qu'avant la sortie de vos films, vous observeriez les mêmes drôles rituels?
W. A.: «Au petit déjeuner, je coupe ma banane en sept morceaux. Parce que le chiffre sept porte bonheur. J'avale surtout des pruneaux dénoyautés. C'est bon pour calmer ce que j'ai avant que mes films soient projetés aux journalistes! Je ne vous ferai pas un dessin…»
Vous avez beau vous dévaluer, vous apparaissez pour beaucoup comme étant un génie du Septième Art.
W. A.: «C'est gentil! Mais je n'ai aucun mérite. Si j'ai réussi mes films, c'est tout bonnement parce que j'ai raté le plupart de mes mariages. Il faut bien que vous vous épanouissiez quelque part! Et comme je l'ai un jour écrit: "Entre le génie et moi, il n'y avait qu'un obstacle. Moi"!»

Un capharnaüm organisé

Comment expliquez-vous qu'une star comme Tom Cruise n'ait jamais tourné dans l'une de vos productions?
W. A.: «Je ne suis pas sûr que j'aurais eu le budget pour l'embaucher. Si je versais un cachet de vingt millions de dollars pour un acteur, je serais contraint de manger du tofu jusqu'à la fin de mes jours. Or, s'il y a bien quelque chose que je déteste, c'est le tofu et donner des sueurs froides à mon banquier!»
A part la sortie en salle de vos films, de quoi avez-vous peur, globalement?
W. A.: «Des changements! Je n'aime pas les changements dans ma sphère personnelle. Changer de chaussures, de grille-pain, etc., ça me perturbe. Vous ne pouvez savoir à quel point j'étais désespéré le jour où nous sommes passés du XXe au XXIe siècle. J'étais inconsolable!»
Pourquoi l'introverti ultra sensible que vous êtes s'est-il lancé dans le cinéma, ce milieu rude et impitoyable? N'est-ce pas un paradoxe? Ou alors du masochisme?
W. A.: «Parce que, quand j'étais gamin, je séchais les cours pour aller m'engouffrer dans les salles obscures. Je choisissais celles de Manhattan et non celles de ma banlieue, parce que à Manhattan les salles étaient plus spacieuses, les sièges plus moelleux, les ouvreuses avaient des gants blancs et surtout les pop-corn n'avaient pas un goût de beurre rance! Pour moi, le cinéma, c'était l'antichambre du paradis!»
N'était-ce pas plutôt une manière de fuir la dure réalité?
W. A.: «C'est vrai! J'ai toujours détesté la réalité. Malheureusement, elle nous rattrape. Enfin, moi un peu moins que les autres parce que j'habite dans un vaste appartement à Manhattan aujourd'hui, et pour l'enfant de Brooklyn que j'étais, c'est comme si je vivais dans une comédie musicale. A plus de 70 ans, je m'attends toujours d'ailleurs à ce que les chauffeurs de limousine se mettent à danser. Si je tourne film sur film, c'est pour échapper à la cruauté de cette ville, à sa froideur. Dès que je m'arrête, je la retrouve et c'est horrible. Alors je me jette dans un nouveau projet qui va permettre, enfin je l'espère, de vivre avec des personnages imaginaires, qui sont à mon gré et obéissent à mes désirs…»
A quoi ressemble votre appartement de Manhattan?
W. A.: «C'est un capharnaüm organisé. Il n'y a pas d'ordinateur car je tape mes scri pts sur ma vieille machine à écrire Olympia, achetée en 1951. Elle marche très bien, je n'ai donc aucune raison de la changer! Je n'ai pas de chien ou de chat, par contre j'aime être envahi par les livres et des souvenirs de mes tournages. Une vieille bobine par-ci, un scri pt par-là, quelques photos, etc.»
Vous écrivez avec quelle périodicité!
W. A.: «Tout le temps! C'est une envie constante et frénétique. Je couche mes idées sur des morceaux de papier ou, plus insolite, sur des boîtes d'allumettes que je garde dans des boîtes de chaussures. Inutile de préciser que j'ai beaucoup de boîtes de chaussures!»

Une centrifugeuse épileptique

"Vicky Cristina Barcelona" a été tourné en Espagne. C'est une première pour vous. New York n'aurait donc plus aucun attrait à vos yeux?
W. A.: «Si c'était le cas, je n'y habiterais plus! Je ne pourrais pas me passer des bruits de cette ville. Il m'est arrivé de dormir à la campagne. J'entendais le silence et de rares criquets ou quelques crapauds. C'était insupportable pour mes oreilles qui n'étaient pas habituées à ce genre de "mélodie". A la campagne, les choses sont trop tranquilles. C'est joli trente minutes, à la rigueur une heure, mais après je deviens nerveux, je veux retourner à New York.
J'aime entendre les voitures klaxonner dans les embouteillages, les sirènes de pompiers qui essaient de se frayer un chemin et les marteaux piqueurs pour rythmer le tout! (rires). Bref, il faut que ça bouge, qu'il y ait de l'animation. New York est une centrifugeuse épileptique et j'aime ça! Allez donc à Wazoo Falos, dans le Mississippi, et vous comprendrez!»
Big Apple, vous la connaissez bien? Jusqu'au trognon, si j'ose dire….
W. A.: «Ce que j'en connais est très limité, finalement. Contrairement à ce qu'on dit, je ne connais pas NYC. Je connais un certain type de familles juives de Brooklyn et je connais les bourgeois de Park Avenue, dont je fais partie. Mon New York, il va de la 53e Rue au sud à la 70e au nord, et de la 6e Avenue à l'est à la 2e Avenue à l'ouest!»
Et quelle est la ville du monde où vous n'aimez pas mettre vos mocassins?
W. A.: «Probablement Los Angeles. En Californie, les gens ont un mode de vie radicalement différent. Prenez le climat: ensoleillé en permanence, avec une lumière frontale, terrible, affreuse, aveuglante. Je préfère définitivement la poésie des platanes, des saules, des bouleaux ou des érables à celle des palmiers et des cocotiers.
Et puis, en Europe ou à New York, je rencontre des artistes, des gens qui travaillent aux Nations unies, des éditeurs, des politiciens. Tandis qu'à Hollywood tout le monde œuvre dans le show-biz, fait du cinéma ou de la télé. Vous allez dans un restaurant et vous pouvez être sûr qu'au bout de trente secondes, la serveuse – qui est en fait une actrice ou scénariste en transit – vient vous glisser son CV dans le menu! Je vous assure que c'est vrai! Je sais, j'en ai été témoin!»
Quand on dit de vous que "Woody Allen est un réalisateur intello", vous adhérez ou pas?
W. A.: «C'est faux. Gamin, je voulais devenir joueur de base-ball. Le problème, c'est que je n'avais pas la carrure. Et puis, à l'école, j'avais un niveau consternant. Il y n'y avait que le cinéma qui pouvait me procurer un job! (Rires)»
Vous pratiquez un sport aujourd'hui?
W. A.: «Je dispose dans mon appartement d'un tapis roulant sur lequel je marche de façon soutenue. Généralement en regardant les infos. Comme ces "news" durent une demi-heure pile poil, j'ai fait l'économie d'un chronomètre!»
Vous aurez 73 ans le 1er décembre prochain. Vieillir vous effraie-t-il?
W. A.: «J'ai détesté avoir 40 ans. J'ai été malade d'en avoir 50. J'ai été pétrifié lorsque j'ai passé le cap des 60, alors la perspective des 80, ça me glace les sangs. Ma grosse crainte, c'est qu'un jour, je laisse tomber le tapis roulant pour ne plus regarder que les news!»
Comment et où aimeriez-vous mourir?
W. A.: «A Paris, tant qu'à faire! En riant ou en faisant l'amour à ma femme, si possible! Mourir en épectase, c'est comme ça que disent les poètes! Mais je ne suis pas sûr que ce soit perçu comme une fin très excitante pour celle qui me survivra!»
Exigerez-vous que l'on joue de la clarinette au cours de vos funérailles?
W. A.: «La seule exigence que j'aurai, c'est que le gars joue juste! Il n'y a rien de pire que de réveiller un mort! (Rires) Je joue de la clarinette depuis l'âge de 15 ans. C'est Gene "Honey Bear" Sedric, un proche du grand Fats Waller, qui m'a enseigné les bases. Depuis plus de vingt ans, je joue avec des Rico Royal N°5, une espèce de bambou qui autorise un son très ample. Un son qu'aurait probablement apprécié Boris Vian…»
Vous n'avez pas le sentiment, parfois, que vous vous êtes trompé de métier?
W. A.: «Faire des films n'est pas évident. Il faut se lever de bonne heure, rester dans le froid et parfois la neige toute la journée. Jouer du jazz, c'est un plaisir, par contre. Hélas! je ne suis pas très bon musicien. Vous avez les peintres du dimanche, moi, je suis un clarinettiste du lundi car le dimanche, c'est sacré pour moi!»
Il paraît que vous jouez de votre instrument partout?
W. A.: «Je n'ai pas encore essayé sous l'eau. Remarquez, le ridicule ne tue pas. J'ai bien interprété, un soir, un morceau à la clarinette déguisé en araignée géante!»

Source: ICI
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MessageSujet: Re: Woody Allen   woody - Woody Allen - Page 3 EmptyVen 29 Aoû 2008 - 12:11

vu un vieux Woody Allen.

woody - Woody Allen - Page 3 55_1_b10


Un povr' gars essaye de vivre de petits larcins, mais il est si maladroit et naïf, que tout foire et qu'il se retrouve en prison. A sa sortie, il rencontre une femme dont il tombe amoureux. Il veut alors se ranger. Mais il n'a pas d'argent, alors il faut bien qu'il braque une banque...



Très étrange ce film. Déjà, en grande partie muet (strop bizarre de voir le Woody Allen ne pas ouvrir la bouche continuellement). Avec des références bien visibles et assumées à Charlie Chaplin, aux gags genre Laurel et Hardy, aux scénettes des films romantiques années 70 (les roulades sur la plage très en vogue à l'époque). Ambiance aussi film noir et/ou vieux film d'angoisse, avec la voix off omniprésente, narrateur qui nous conte l'histoire de ce povr gars.


C'est assez frais, agréable, burlesque, un peu désuet. ça se regarde gentiment. Avec du pop corn plein les dents.
Mais bon, je n'ai pas trouvé ça original, ni très très palpitant. On sait un peu tout avant que les choses se fassent, on trouve pas vraiment de "personal touch".


Me tenterais un autre vieux Woody plus classique.
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MessageSujet: Re: Woody Allen   woody - Woody Allen - Page 3 EmptyVen 29 Aoû 2008 - 12:26

Queenie a écrit:

Me tenterais un autre vieux Woody plus classique.
Ah oui.. je ne peux que t'encourager de faire cela.. surtout que tu t'es choisi avec ce film là vraiment pas un de ses meilleurs Wink
Les films à partir de Annie Hall (1977) sont pour moi les films qu'on peut voir plusieurs fois.. c'eux d'avant je me les ai fait une fois pour savoir ce qu'il y avait .. mais bon.. je ne vais plus y retourner Very Happy


voici une liste de ses films

filmographie
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MessageSujet: Re: Woody Allen   woody - Woody Allen - Page 3 EmptyVen 29 Aoû 2008 - 19:55

Parmi les "anciens", j'avais bien aimé Bananas (1971), assez délirant...
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MessageSujet: Re: Woody Allen   woody - Woody Allen - Page 3 EmptyVen 29 Aoû 2008 - 21:17

Moi, je ne suis pas encore remise de l'adaptation- assez libre il est vrai- de Guerre et Paix, Guerre et amour..
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MessageSujet: Re: Woody Allen   woody - Woody Allen - Page 3 EmptyMer 1 Oct 2008 - 14:18

woody - Woody Allen - Page 3 Couver89
Citation :
Synopsis
________________________________________
Vicky et Cristina sont d'excellentes amies, avec des visions diamétralement opposées de l'amour : la première est une femme de raison, fiancée à un jeune homme respectable ; la seconde, une créature d'instincts, dénuée d'inhibitions et perpétuellement à la recherche de nouvelles expériences sexuelles et passionnelles.
Lorsque Judy et Mark, deux lointains parents de Vicky, offrent de les accueillir pour l'été à Barcelone, les deux amies acceptent avec joie : Vicky pour y consacrer les derniers mois de son célibat à la poursuite d'un master ; Cristina pour goûter un changement de décor et surmonter le traumatisme de sa dernière rupture. Un soir, dans une galerie d'art, Cristina "flashe" pour le peintre Juan Antonio, bel homme à la sensualité provocante. Son intérêt redouble lorsque Judy lui murmure que Juan Antonio entretient une relation si orageuse avec son ex-femme, Maria Elena, qu'ils ont failli s'entre-tuer.
Plus tard, au restaurant, Juan Antonio aborde Vicky et Cristina avec une proposition des plus directes : s'envoler avec lui pour Oviedo, consacrer le week-end à explorer les beautés de la ville, à boire du bon vin et à faire l'amour. Vicky est horrifiée ; Cristina, ravie, la persuade de tenter l'aventure...

woohoo Mercredi prochain - 9/10.. j'ai déjà réservé mon billet.. woohoo


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MessageSujet: Re: Woody Allen   woody - Woody Allen - Page 3 EmptyMer 1 Oct 2008 - 15:54

kenavo a écrit:

Spoiler:

Ah non...Je n'avais pas remarqué... jypeurien

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MessageSujet: Re: Woody Allen   woody - Woody Allen - Page 3 Empty

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