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| James Gray | |
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+8dalchmad Aeriale Marko kenavo coline Queenie Marie animal 12 participants | |
Auteur | Message |
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animal Tête de Peluche
Messages : 31548 Inscription le : 12/05/2007 Age : 43 Localisation : Tours
| Sujet: James Gray Dim 11 Nov 2007 - 17:12 | |
| - Citation :
- Alors qu’il était destiné à la peinture, James Gray se tourne vers le cinéma et étudie à l' University of South California.
Après un film de fin d'études remarqué, la reconnaissance de ce jeune talent ne se fait pas attendre.En 1994, son premier long métrage Little Odessa reçoit le Lion d'argent à Venise et le prix de la critique du festival de Deauville. Malgré ce premier succès, peu de producteurs lui font confiance et pendant quatre années, James se contentera d'écrire. Il a, notamment, travaillé sur une adaptation de la nouvelle de Philippe K. Dick, Paychek, En 2000, Miramax relance la carrière du réalisateur en décidant de soutenir son nouveau projet The Yards qu'il a écrit entre 1995 et 1997. Ce film lui permet de travailler avec un casting prestigieux composé de James Caan , Faye Dunaway et Ellen Burstyn qui accompagnent les plus jeunes Mark Wahlberg, Joaquin Phoenix et Charlize Theron. Le film a été sélectionné en compétition officielle à Cannes la même année. En 2007, il retrouve Joaquin Phoenix accompagné de Mark Wahlberg pour son film La Nuit Nous Appartient présenté à Cannes.
- Citation :
- Filmographie/Index (Cliquez sur les chiffres pour accéder directement aux pages)
1994 : Little Odessa Pages 1, 32000 : The Yards Pages 1, 32007 : La nuit nous appartient Pages 1, 32008 : Two Lovers Pages 1, 2, 32012 : Nightingale - Citation :
- Arrêté à la page 4 le 20/01/2013
oui, je viens de découvrir par hasard la sortie prochaine de La Nuit nous appartient... réalisateur découvert par un demi hasard (la présence de Tim Roth dans le film) par Little Odessa - Citation :
- Il situe son histoire à New-York, plus précisément dans une enclave russe, Brighton Beach, surnommé par ces habitants Little Odessa du fait de la ressemblance entre la Baie d’Hudson et les bords de la Mer Noire. Le quartier de ses grands-parents, des juifs russes qui ont immigré aux Etats-Unis après la Révolution d’Octobre. Son scénario réussit à convaincre de très grands acteurs pour un premier film, Tim Roth, Vanessa Redgrave et Maximillian Schell auxquels s’ajoutent le jeune héros de Terminator 2, Edward Furlong et la charmante Moira Kelly. Il a remarqué cette dernière dans l’un de ces films préférés Twin Peaks Fire Walks With Me de David Lynch.
Little Odessa conte le terrible destin de Joshua Shapira (Tim Roth) un tueur solitaire, forcé de revenir auprès des siens pour exécuter un contrat, de réapparaître dans le foyer familial abandonné auprès d’un petit frère qui l’admire, de sa mère adorée en phase terminale d’un cancer et de son père qui l’a banni. Les gros plans sur le visage de Tim Roth, les chœurs russes qui s’élèvent : dès les premières images James Gray nous transporte dans une tragédie grecque, un opéra funèbre magnifié par une réalisation aboutie et flamboyante. Filmé durant l’hiver le plus rude et neigeux que la côte Est des Etats-Unis est connue, le jeune cinéaste filme un New-York inédit, celui de la communauté russe qui perpétue des traditions ancestrales et qui est dominée, régie par la mafia. A ce titre, Little Odessa est l’égal de Mean Streets le premier film de Martin Scorsese qui avait « inventé » Little Italy au cinéma. Malgré un budget limité -la production n’a pu loué que pour trois semaine, l’appartement qui sert de décor principal- ce coup d’essai est un coup de maître. A seulement 24 ans, il réalise une œuvre intemporelle, un film d’une force magistrale qui hante longtemps la mémoire du spectateur. Des mains de David Lynch, président d’un jury qui comprenait également Olivier Assayas et Nagisha Oshima, il reçoit le Lion d’Argent à Venise (l’équivalent du Grand Prix du Festival de Cannes) source : ecrannoir.fr points forts du films : les relations familiales... et les acteurs... très très bon film, très fort que je vous recommande chaudement ! The Yards - Citation :
- Leo sort de prison où il a dû séjourner pour un crime qu'il n'a pas commis. Aspirant à retrouver une vie normale il croit trouver refuge auprès de sa famille. Son oncle Franck, patron de la société Electric Rail du métro du Queens lui trouve un emploi de machiniste. Il ne tardera pas à se retrouver mêlé à des trafics douteux. Mais ce sera surtout l'occasion de découvrir les méthodes de la société Electric Rail pour s'attribuer les marchés : pots de vin aux politiciens et sabotage du matériel fourni par d'autres entreprises.
là aussi, à froid, ça a l'air un peu bateau.... mais comme Little Odessa c'est assez sombre et la finesse n'est pas absente. Esthétiquement ces deux films sont réussis, les deux m'ont beaucoup plu, je suis bien content qu'il ressorte un film ce James Gray ! vous m'excuserez de ne pas vous en dire beaucoup plus mais je ne les ai pas vus exactement hier pour la dernière fois BA de Little Odessa BA de The Yards BA de We Own The Night cool y a Robert Duvall | |
| | | Marie Zen littéraire
Messages : 9564 Inscription le : 26/02/2007 Localisation : Moorea
| Sujet: Re: James Gray Dim 11 Nov 2007 - 19:55 | |
| J'ai un excellent souvenir de Little Odessa... Je note The Yards! | |
| | | Queenie ...
Messages : 22891 Inscription le : 02/02/2007 Age : 44 Localisation : Un peu plus loin.
| Sujet: Re: James Gray Mer 12 Déc 2007 - 14:48 | |
| LA NUIT NOUS APPARTIENTRéal : James GrayScénario : James GrayAnnée de sortie : 2007 Genre : Drame Policier Avec : Eva Mendes (2 fast 2 furious - Il était une fois au Mexique) - Joaquin Phoenix (Prête à tout - Le village - Hotel Rwanda - Walk the line) - Mark Wahlberg (La planète des singes - Les infiltrés) - Robert Duvall (Le parrain - Le predicateur) Durée : 1h45 Pays : Etats-Unis New York, fin des années 80. Bobby est le gérant branchée d'une boite de nuit : El Caribe. Son patron est un vieux russe pépère travaillant dans la fourrure. Bobby cache à tout le monde qu'il vient d'une famille de flics (son père et son frère), ayant peur que celà fasse tâche dans son milieu où s'échange facilement drogues en tous genres. Les affrontements entre la police des stups et un mafieu russe plongé dans le trafic de drogue sont de plus en plus virulents. Et lorsque Jospeh (le frère) et Burt (le père) demandent à Bobby de les aider pour coincer un dealer qui traîne dans sa boite, il préfère ne pas prendre parti... mais il sera bien obligé de le faire. Je vais en général en traînant des pieds avant d'aller voir des films autour de la mafia, du trafic de drogue. Et notamment, les films qui, je le sens, seront de grandes et magnifiques fresques à la scorsese ou à la coppola, me rebutent un peu. Les belles images et la parfaite maîtrise des plans me laissent souvent de glace, et si on rajoute à ça les clichés virils souvent de mises dans ce genre de films qui ont du mal à sortir des codes du genre... autant dire que je réfléchis à deux fois avant d'aller les voir. Mais voilà depuis mon coup de coeur pour les affranchis de Scorsese, je suis un peu plus ouverte à ce style de cinéma. Et le virage s'opère bien avec Les promesses de l'ombre de Cronenberg et ce La nuit nous appartient de Gray. Chacun a sa part de cliché (notamment la mafia russe... ils pourraient en sortir tout de même ! en plus, je sais pas mais je trouve que ça sonne encore un peu guerre froide tout ça, faudrait peut être passer à autre chose). Gray a une réelle maîtrise de la réalisation et certaines scènes nous plongent dans une atmosphère en quelques micro secondes : la course poursuite sous la pluie, sans une note de musique, avec une vue brouillée et paniquée ; l'arrivée dans le labo, la respiration courte et nerveuse de Bobby (ça m'a même fait penser à la respiration de l'homme dans l'espace dans 2001 de Kubrick) ; l'entrée de Bobby dans la boite de nuit, avec une vue plongeante sur ce monde à ses pieds qui semblent l'aduler et en même temps complètement l'ignorer : une vue vertigineuse et qu'on sent illusoire... Bref, que de plans fantastiques. Parfaitement cadrés, orchestrés. Et cette maîtrise, chez Gray, n'est pas froide. Il y a une texture, une couleur dans chaque plan qui lui donne sa force propre, et une chaleur, une humanité très fortes. L'histoire en elle-même est assez classique : un homme prit entre sa famille et ses "amis" doit faire un choix. Il ne veut pas choisir, mais va s'y voir contraint par des évènements importants où jouera la culpabilité et la redemption. bobby, l'homme qui se laisse un peu naviguer là où les eaux l'entraînent, va devoir prendre sa vie en main, prendre des décisions graves, et agir. Un devoir familial fort qui va leur permettre de se retrouver et de se comprendre. On rajoute à ça, la trahison de la famille qu'on s'était construite, de la violence de la séparation. Et on a un Joaquin Phoenix magistral qui passe par tous les états d'âme en 1h30. Donc, il ne me reste plus qu'à voir les deux autres films de ce réalisateur reconnu mais peu aimé par hollywood (a toujours du mal à trouver des financements. Il a commencé à tourner La nuit nous appartient en 2001, et n'a trouvé tous les fonds nécessaires pour le sortir qu'en 2007!). - - | |
| | | animal Tête de Peluche
Messages : 31548 Inscription le : 12/05/2007 Age : 43 Localisation : Tours
| Sujet: Re: James Gray Mar 18 Déc 2007 - 19:00 | |
| suis allé le voir cette après-midi... mouais, c'est pas mal mais sans plus je dirai (préféré les deux autres !)... Robert Duvall qui assure mieux que quand il "donne un moteur"... et y a Oleg Taktarov qui fait homme de main | |
| | | Marie Zen littéraire
Messages : 9564 Inscription le : 26/02/2007 Localisation : Moorea
| Sujet: Re: James Gray Ven 18 Juil 2008 - 3:30 | |
| J'aime beaucoup les films noirs américains , je suis capable de revoir les trois épisodes du Parrain pour la cinquantième fois, alors...j'ai beaucoup aimé La nuit nous appartient, superbe sur le plan esthétique, jeu d'acteurs et scénario , ce thème de la famille tellement présente, pesante et pseudo-rédemptrice , c'est un thème éternel,toujours le même , la mort du père qui " sauve" le fils,le pousse à choisir son camp- mais je ne me lasse pas des différentes façons de le traiter. Robert Duvall est toujours aussi bon! | |
| | | coline Parfum livresque
Messages : 29369 Inscription le : 01/02/2007 Localisation : Moulins- Nord Auvergne
| Sujet: Re: James Gray Jeu 20 Nov 2008 - 0:23 | |
| - Marko a écrit:
- Two Lovers
Moment de cinéma émouvant et planant! Ca donne envie de le voir... | |
| | | kenavo Zen Littéraire
Messages : 63288 Inscription le : 08/11/2007
| Sujet: Re: James Gray Sam 29 Nov 2008 - 19:47 | |
| - Marko a écrit:
- Two Lovers de James Gray (Voilà un grand réalisateur!)
New York. Leonard hésite entre suivre son destin et épouser Sandra,la femme que ses parents lui ont choisi ou se rebeller et écouter ses sentiments pour sa nouvelle voisine, Michelle, belle et volage, dont il est tombé éperdument amoureux. Entre la raison et l'instinct, il va devoir faire le plus difficile des choix...
Il y a des films qui arrivent à vous aspirer littéralement dans leur monde – Two Lovers en est un de telle sorte. La caméra frôle presque les acteurs, tellement près elle passe, tellement elle veut qu’on se sent « dans leur peau ». Pour moi en tout cas cela a marché – j’étais happé par l’histoire, par le jeu des acteurs, par l’atmosphère créé. Un film qui est certes porté sur les épaules de Joaquin Phoenix dont je n’ai jamais vu de film mais qui m’a convaincu totalement. Gwyneth Paltrow qui n’a besoin d’apparaitre sur l’écran pour m’enthousiasmer. Et Isabella Rosselini avec laquelle on se croit devant Ingrid Bergman tellement elle lui ressemble de plus en plus en devenant plus âgée. Spoiler à regarder s.v.p. seulement par ceux qui ont déjà vu le film – ou ne veulent pas aller le voir : - Spoiler:
Les acteurs ne commettent pas la ‘faute’ de regarder dans la caméra. Dans ce film cela se fait deux fois – et à mon avis ce n’est pas involontaire (ce film est trop « maitrisé » pour que le metteur en scène fasse un tel lapsus) : - dans la scène sur le toit avec J.Phoenix et G.Paltrow ou ils font l’amour et G.Paltrow qui regarde dans la caméra - et au moment quand J.Phoenix donne la bague à Vinessa Shaw et lui dit qu’il est heureux – il regarde aussi par après le spectateur.. les deux situations ou ils sont en train de mentir.. de mentir à la personne avec laquelle ils sont… et ils ne peuvent pas le dire à leur partenaire.. mais ils le disent au spectateur ??
Et je vais garder une ligne de dialogue pour une future entrée dans mon blog : Quand J.Phoenix montre ses photos à Vinessa Shaw, elle lui dit There are no people in your pictureset J.Phoenix lui répond The people are supposed to look at them, they don’t have to be in themRien que pour ce dialogue, je l’adore, ce film | |
| | | Marko Faune frénéclectique
Messages : 17930 Inscription le : 23/08/2008 Age : 56 Localisation : Lille
| Sujet: Re: James Gray Sam 29 Nov 2008 - 20:28 | |
| Merci Kenavo. Je n'avais pas remarqué ce regard face caméra... Mais on peut facilement imaginer son envie de nous rendre complices de l'ambivalence de son personnage. Il dit avoir pensé à cette histoire au moment où il allait se marier, s'interrogeant sur sa peur de l'engagement. Pourquoi cette personne et pas une autre?
Petit sujet en apparence mais que son regard d'auteur inspiré transforme en drame existentiel mélancolique et touchant.
Il construit ses films comme des opéras, avec une bande son très recherchée, et ici il nous fait entendre une petite musique de nuit, élégante et planante, plus subtile qu'il n'y parait.
Joaquin Phoenix, chien égaré et pataud, est excellent en écorché vif, décrit comme bipolaire, qui est submergé par le flot de ses émotions contradictoires, incapable de les maitriser. Superbe séquence d'introduction qui en est la métaphore avec cette plongée suicidaire.
Chaque scène est singulière, de la séquence dans la discothèque aux discussions depuis des fenêtres sur cour, de l'apparition de Gwyneth Paltrow en femme fatale aux pieds d'un escalier éclairé par une ampoule jaune fluo aux échanges de regards avec une Vinessa Shaw lumineuse ...
Un beau film qui a une vraie grâce et dont on ressort comme sur du coton, apaisé. | |
| | | kenavo Zen Littéraire
Messages : 63288 Inscription le : 08/11/2007
| Sujet: Re: James Gray Sam 29 Nov 2008 - 20:41 | |
| - Marko a écrit:
- Il construit ses films comme des opéras, avec une bande son très recherchée, et ici il nous fait entendre une petite musique de nuit, élégante et planante, plus subtile qu'il n'y parait.
tout à fait.. d'accord avec toi pour la musique et l'éclairage.. je ne connaissais pas James Gray.. je vais essayer de voir d'autres films de lui | |
| | | Marko Faune frénéclectique
Messages : 17930 Inscription le : 23/08/2008 Age : 56 Localisation : Lille
| Sujet: Re: James Gray Sam 29 Nov 2008 - 23:19 | |
| - kenavo a écrit:
- Marko a écrit:
- Il construit ses films comme des opéras, avec une bande son très recherchée, et ici il nous fait entendre une petite musique de nuit, élégante et planante, plus subtile qu'il n'y parait.
tout à fait.. d'accord avec toi pour la musique et l'éclairage.. je ne connaissais pas James Gray.. je vais essayer de voir d'autres films de lui Il faut voir les 3 précédents. Rien à jeter! C'est à mon avis un des meilleurs metteurs en scène actuels. | |
| | | kenavo Zen Littéraire
Messages : 63288 Inscription le : 08/11/2007
| Sujet: Re: James Gray Sam 29 Nov 2008 - 23:34 | |
| - Marko a écrit:
- Il faut voir les 3 précédents. Rien à jeter! C'est à mon avis un des meilleurs metteurs en scène actuels.
je vais voir ce que je peux avoir en DVD | |
| | | Queenie ...
Messages : 22891 Inscription le : 02/02/2007 Age : 44 Localisation : Un peu plus loin.
| Sujet: Re: James Gray Lun 1 Déc 2008 - 13:49 | |
| TWO LOVERS
Je vais pas en rajouter des tonnes. C'est un tout bon film. Rien que pour la première séquence où Joaquim plonge dans l'eau, faut le voir.
Ensuite, le regard de Gwyneth face caméra pendant qu'elle "cède" à Joaquim, m'a extrêmement troublée : comment en 1/4 de millième de seconde on ressent toute la détresse, la vacuité, l'impossible bonheur qu'ils n'auront jamais, le Mensonge... (ça m'a rappelé un peu le regard de Kidman dans Eyes Wide Shut).
Et Gray qui parvient à faire tourner sa caméra tout autour de Joaquim, à trembler à virevolter avec lui. C'est ahurissant comme ça colle à la peau de l'acteur, comme l'image est fondue avec lui, pour lui.
J'ai adoré le petit appart cossu des parents, et la chambre de Leonard, le bordel, la poussière, les papiers. Les plans de la ville, le métro, l'opéra. Et évidemment, la cour intérieur (Fenêtre sur cour, Hitchcock). D'ailleurs, je crois que ce sont les plans où Gwyneth Paltrow est réellement Belle : magnifiée, fantasmée. Lointaine. Inaccessible. Et si proche. Elle était vraiment extrêmement belle... lorsqu'il la regarde à la dérobée... lorsqu'elle le voit.
J'ai un peu regretté qu'il n'y ait pas plus de place pour Vinessa Show (Sandra). Surtout après la scène du premier baiser qu'elle échange avec Leonard.... Non mais cette scène! Bordel ! C'est incroyable comme ils parviennent à nous faire exploser la passion, l'amour, la dépendance, l'Envie brûlante, la Tendresse, et déjà... la Tristesse, en deux petites secondes. ça c'était un Putain de Baiser de Cinéma.
J'aime Gray. Je veux voir tous ses films. C'est décidé. | |
| | | Marko Faune frénéclectique
Messages : 17930 Inscription le : 23/08/2008 Age : 56 Localisation : Lille
| Sujet: Re: James Gray Lun 1 Déc 2008 - 13:57 | |
| - Queenie a écrit:
- J'aime Gray.
Je veux voir tous ses films. C'est décidé. itou! | |
| | | kenavo Zen Littéraire
Messages : 63288 Inscription le : 08/11/2007
| Sujet: Re: James Gray Lun 1 Déc 2008 - 15:24 | |
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| | | Marko Faune frénéclectique
Messages : 17930 Inscription le : 23/08/2008 Age : 56 Localisation : Lille
| Sujet: Re: James Gray Lun 1 Déc 2008 - 15:28 | |
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| Sujet: Re: James Gray | |
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| | | | James Gray | |
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