Joseph O'Connor

un peu d'aide pour un chouchou de Sentinelle
vient de paraître (avec une couverture très jolie):



Redemption Falls

Citation :

un peu d'aide pour un chouchou de Sentinelle

Moi aussi!!
J'ai adoré Redemption Falls!

Marie a écrit:

Citation :

un peu d'aide pour un chouchou de Sentinelle

Moi aussi!!

oui.. tout à fait..

kenavo a écrit:

un peu d'aide pour un chouchou de Sentinelle
vient de paraître (avec une couverture très jolie):



Redemption Falls

Merci pour le rappel !
Je ne l'ai toujours pas lu bien que cet auteur soit un de mes chouchous irlandais !

kathel a écrit:

Merci pour le rappel !

volontiers

kathel a écrit:

Je ne l'ai toujours pas lu bien que cet auteur soit un de mes chouchous irlandais !

bon.. je vois.. et je reprends: Joseph O'Connor - le chouchou d'au moins la moitié des parfumés

J'ai beaucoup aimé A l'irlandaise. O'Connor mérite que l'on s'attarde sur son oeuvre?

kenavo a écrit:

kathel a écrit:

Merci pour le rappel !

volontiers

kathel a écrit:

Je ne l'ai toujours pas lu bien que cet auteur soit un de mes chouchous irlandais !

bon.. je vois.. et je reprends: Joseph O'Connor - le chouchou d'au moins la moitié des parfumés

Je reprends le fil après un grave moment de solitude ce matin :
je viens de décider de reposer, après plus d'une centaine de pages, Redemption Falls !
Rien à faire, alors que j'ai beaucoup aimé Inishowen, A l'irlandaise, Desperados, L'étoile des mers... là je n'accroche pas du tout, je ne m'intéresse pas, l'amalgame de documents et de récit, le style, rien ne me parle ! Il faut savoir reconnaître quand un livre n'est pas pour vous, et c'est le cas !

kathel a écrit:

là je n'accroche pas du tout, je ne m'intéresse pas, l'amalgame de documents et de récit, le style, rien ne me parle ! Il faut savoir reconnaître quand un livre n'est pas pour vous, et c'est le cas !

comme je peux te comprendre.. et ton sentiment de solitude..
pour moi cela s'est produit avec Zoli de Colum McCann - rien à faire..
mais comme tu dis - il faut reconnaître si cela ne marche pas.. et puis on espère pour le prochain..
dans le cas de Colum McCann cela a marché

parution le 18/02:


Les Bons chrétiens

Citation :

Editeur
Voici le recueil qui permit de faire découvrir Joseph O’Connor en France. Ancrées dans la réalité contemporaine irlandaise, ces treize nouvelles dynamitent les apparences grâce à un cocktail d’humour caustique, d’analyses coups-de-poing et de compassion illimitée. Le résultat est grinçant, acide et ravageur.

Joseph O’Connor conte les amours contrariées d’un soldat britannique et d’un militant de l’IRA dans un Belfast en proie aux « troubles » ; le chagrin d’amour d’un prêtre et les déconvenues d’un arriviste prétentieux ; les lubies d’un admirateur secret prêt à payer les factures d’électricité de sa belle voisine pour lui rendre la vie plus douce ; la métamorphose d’un sage mari en vacancier aviné ; la descente aux enfers d’un brillant policier noyé dans les vapeurs de l’alcool...

Ces histoires au style incisif font sourire autant qu’elles font mal : le naufrage n’est jamais loin et l’issue souvent cruelle.

je n'ai lu qu"à l'Irlandaise" donc ce livre de nouvelles m'est intéressant, je note

merci Kena

Les Bons chrétiens (True Believers) est sur ma table de chevet, attendant que je finisse le polar (sud-africain) que je viens de commencer, pour me conduire vers l'Irlande. Ce sera mon premier de cet auteur.

kenavo a écrit:

parution le 18/02:


Les Bons chrétiens

Citation :

Editeur
Voici le recueil qui permit de faire découvrir Joseph O’Connor en France. Ancrées dans la réalité contemporaine irlandaise, ces treize nouvelles dynamitent les apparences grâce à un cocktail d’humour caustique, d’analyses coups-de-poing et de compassion illimitée. Le résultat est grinçant, acide et ravageur.

Joseph O’Connor conte les amours contrariées d’un soldat britannique et d’un militant de l’IRA dans un Belfast en proie aux « troubles » ; le chagrin d’amour d’un prêtre et les déconvenues d’un arriviste prétentieux ; les lubies d’un admirateur secret prêt à payer les factures d’électricité de sa belle voisine pour lui rendre la vie plus douce ; la métamorphose d’un sage mari en vacancier aviné ; la descente aux enfers d’un brillant policier noyé dans les vapeurs de l’alcool...

Ces histoires au style incisif font sourire autant qu’elles font mal : le naufrage n’est jamais loin et l’issue souvent cruelle.

J'ai lu la première nouvelle de ce recueil hier soir et quel talent de conteur! L'étoile des mers était un des mes coups de coeur d'il y a 2 ou 3 étés et je retrouve ce souffle, cette capacité à rendre vivant le moindre personnage, à mêler l'individuel et le collectif dans une prose limpide et à la fois pleine d'humour et d'humanité. Cette 1ere nouvelle, La colline aux aguets, raconte la passion éphémère entre deux garçons de 18 ans dans un petit quartier de Belfast(où se situe l'action de toutes les nouvelles) à l'époque de Bobby Sands, en plein affrontements entre l'IRA et les militaires anglais. Danny Sullivan est volontaire dans l'IRA et Henry Woods soldat britannique. Ils se rencontrent dans un parc et se retrouvent régulièrement jusqu'à ce qu'ils se rendent compte de qui ils sont. Je ne veux pas raconter ce qui se passe pour préserver l'intérêt de cette intrigue qui devient de plus en plus intense jusqu'à un final poignant. Voilà comment en 30 pages ont peut raconter une histoire qui vaut bien des romans. Et donc je continue...

Déjà posté sur le fil "Chaîne de lecture-commentaires", je reposte mon avis sur A l'Irlandaise.


Je suis très heureuse de cette lecture car j'ai découvert un texte fort et surprenant. Suite au viol de sa fille plongée dans le coma, Bill Sweeney se lance dans la rédaction d'une longue lettre dans laquelle il lui raconte son passé, sa relation avec sa mère, le procès, l'évasion de Quinn - celui qui l'a mise dans cet état -, son désir et sa soif de vengeance, ses errances, son alcoolisme. Cette lettre part dans tous les sens mais reste cohérente. Elle nous montre le chagrin d'un père, d'un mari, d'un homme. Cette lettre est vraie et terriblement touchante parce qu'elle dévoile une humanité cachée et encore possible malgré les supplices et la vengeance. J'ai été surprise par le déroulement de l'histoire tant par le fond que par la forme. Ce roman est long (599 p.) mais quand on le referme on a encore envie de s'y replonger. Il se lit avec envie et intérêt. Il suscite toutes sortes d'émotions et de réactions. Et puis la lecture devient frénétique à un moment, un peu comme l'écriture. Un roman au sujet vraiment dur mais passionnant. Un roman qui aborde les thématiques de l'amour, de la vengeance et du pardon. A lire !

Belle découverte donc d'un auteur qui ne m'avait jamais vraiment tentée.

Desperados est un très grand livre, un vrai régal.

Citation :

Franck Little est chauffeur de taxi à Dublin. Eleonor, son ex-épouse, prend sur elle les problèmes du vaste monde, et mène malgré cela une vie d'une exemplaire médiocrité. Tous deux vont se retrouver, après s'être longtemps perdus de vue, à l'occasion d'un drame que ni l'un ni l'autre n'a vu venir : leur fils Johnny, membre d'un groupe rock au nom prédestiné, les 'Desperados ', vient de trouver la mort au cours d'un voyage au Nicaragua. Qu'allait-il donc faire là-bas ? Eleonor et Franck sont encore loin de comprendre cela quand ils prennent l'avion pour Managua afin d'aller reconnaître le corps du pauvre gamin fourvoyé. Commence pour eux un long voyage, par tous les mauvais chemins de ce pays pourri où il fait beaucoup trop chaud, et où l'on se tue beaucoup trop.

La bonne surprise en allant au furet... la sortie du dernier Joseph O'Connor: Muse avec les commentaires enthousiastes de Michael Cunningham et de Colm Toibin