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| Ogawa Yôko | |
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Auteur | Message |
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Acta est fabula Posteur en quête
Messages : 72 Inscription le : 04/02/2008 Localisation : SomeWhere
| | | | Aeriale Léoparde domestiquée
Messages : 18120 Inscription le : 01/02/2007
| Sujet: Re: Ogawa Yôko Lun 25 Fév 2008 - 17:15 | |
| La marche de Mina Eh bien moi qui ne connaissais pas le monde inquiétant de Yoko Ogawa, j'ai bien aimé celui-ci très onirique Je me suis laissée porter par la prose toute en délicatesse de l'auteure, même si au bout du compte rien d'extraordinaire n'est révélé. On y retrouve des relents d'Occident avec les JO de Munich retransmis en direct sur les écrans télé, mais pour le reste on est bel et bien dans le romanesque cher aux asiatiques. Il y a de très beaux passages notamment dans les histoires que s'inventent les cousines sur le dos de leurs boites d'allumette avec de belles images souvent insolites ( cette petite fille recueillant des étoiles filantes dans des bouteilles pour les empêcher de mourir ou celles des anges recousant leurs ailes ) Il y a surtout une vraie tendresse pour chacun des personnages croqués avec humour et bienveillance face à leurs bizarreries respectives. En résumé un roman qui me donne envie de redécouvrir la plume inspirée de Yoko Ogawa, même si je redoute un peu ses aspects plus sombres, grâce à ces petites perles piquées ça et là: - Citation :
- "Il a été muté dans un endroit éloigné, et il ne peut plus venir faire ses livraisons ici. Mais il a dit qu'il ne t'oublierait jamais. Il est encore en train de livrer du Fressy quelque part. Il trouve des boîtes d'allumettes et se souvient de toi qui les aimes tant. Tiens, voici son cadeau d'adieu."
Je lui ai donné la boîte avec la fille qui fermait sa bouteille remplie d'étoiles. Et lorsque la pièce est devenue sombre après que les rayons se furent interrompus, Mina avait toujours les yeux rivés sur la boîte d'allumettes. Soudain,j'ai eu l'impression que quelque chose frôlait mes oreilles. Aah, c'est donc ça le message des anges. Je venais de comprendre qu'ils étaient en train de recoudre leurs ailes, posés sur mes lobes. | |
| | | Chatperlipopette Zen littéraire
Messages : 7679 Inscription le : 24/02/2007 Age : 59 Localisation : Bretagne
| Sujet: Re: Ogawa Yôko Lun 25 Fév 2008 - 17:20 | |
| Je ne te lis donc pas car il est dans ma PAL!!! Grrr, va falloir que je la mette en haut de la pile la Yoko | |
| | | eXPie Abeille bibliophile
Messages : 15620 Inscription le : 22/11/2007 Localisation : Paris
| Sujet: Re: Ogawa Yôko Lun 25 Fév 2008 - 23:29 | |
| - aériale a écrit:
- On y retrouve des relents d'Occident avec les JO de Munich retransmis en direct sur les écrans télé, mais pour le reste on est bel et bien dans le romanesque cher aux asiatiques.
Il y a souvent, chez Ogawa, un pays d'Europe Centrale, généralement germanophone, d'ailleurs. Cela doit avoir un rapport avec ce que l'on pouvait lire... dans Lire, en septembre 2000. - Citation :
- " A 13 ans, Yôko Ogawa a lu le Journal d'Anne Frank. Elle a découvert que des mots ordinaires, quotidiens, portaient en eux une force de libération inouïe. «Avec ce livre, j'ai rencontré les mots. Et la cruauté. Celle de l'Holocauste, d'Hiroshima.» "
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| | | Aeriale Léoparde domestiquée
Messages : 18120 Inscription le : 01/02/2007
| Sujet: Re: Ogawa Yôko Mar 26 Fév 2008 - 11:31 | |
| Merci pour ces précisions eXpie concernant Ogawa ( j'ai remonté tout le fil du coup) Cette auteure m'a définitivement accrochée, j'aime son style, discret en apparence mais dont les résonances interpellent délicatement...qui laisse une petite musique spéciale et feutrée. Trouvé sur le net ceci: - Citation :
- Son style n'est pas exubérant ; elle écrit très bien, avec une apparente simplicité (pas de longues descriptions baroques chez elle, mais une transparence qui laisse passer de la lumière même dans les situations les plus sordides) qui est sans doute le résultat d'un long travail. Cette surface lisse laisse voir des histoires comme en apesanteur qui cachent des perversions, des fêlures de toutes sortes, parfois inexplicables - et inexpliquées. On trouve du mystère dans les romans d'Ogawa, et toujours des contradictions : il y a une obsession du classement, de l'analyse réfléchie (l'Annulaire, Parfum de Glace...) en même temps que des pulsions qui remontent de très loin (fétichisme en tous genres dans l'Annulaire). C'est en quelque sorte une analyse scientifique et méticuleuse de l'inexplicable. Et ses meilleurs livres sont ceux où, justement, elle se contente de laisser des indices sans être trop explicite.
...j'aime ce mystère (celui qui entoure les personnages par exemple. Rien n'est vraiment évident, tout est chuchoté) mêlé au quotidien (les évènements de Munich, très précis au contraire) qui fait que l'on se balade entre les deux, comme chez Murakami. - Citation :
- Mais curieusement son style est extérieur, dans le sens où à lire ses romans, on a l'impression que les héroïnes se regardent agir. Elles ne cherchent pas à s'expliquer, à se justifier. L'effet produit est curieux, puisqu'on est à la fois dans la tête de la narratrice et extérieur à celle-ci.
Surement cet effet noté plus haut qui donne une légère distance explique ceci. Une atmosphère à la fois onirique et pénétrante. - Citation :
- Ogawa aime beaucoup les lieux fermés qui respirent l'ancienneté sans pour autant être délabrés - vieux mais fonctionnels : un ancien laboratoire, un orphelinat, un hôtel... Des lieux que l'on pourrait qualifier de "feutrés" : le silence d'une pièce qui isole de l'extérieur.
Effectivement, dans la Marche de Mina, les personnagres semblent vivre en marge du monde extérieur. Ogawa n'en dit pas plus sur la vie du collège (pourtant important à cette age-là) les seuls liens avec l'actualité réelle étant la télévision et les références littéraires. - Citation :
- Elle est également fascinée par tout ce qui se rapproche du classement, de l'analyse et qui s'oppose au monde de tous les jours, dans lequel tout s'éparpille, comme les cheveux de l'héroïne de Hôtel Iris que sa mère rassemble pour en faire un chignon parfait, huilé, tous les matins. Le classement permet de lutter contre l'inexorable disparition, contre l'oubli (cf Le Musée du Silence).
Noté aussi celà dans la collection des petites boites d'allumettes, ou la manie de la tante à répertorier les fautes typographiques des magazines, de même que celle du gardien de l'usine inscrivant toutes les allées-venues de chaque membre. Donc je pense poursuivre prochainement avec Le monde du silence dont parle Kenavo. Qu'en pensez-vous ? J'aimerais bien retrouver cette atmosphère Et puis, tous ses livres sont édités chez Actes-Sud, trop tentant tout ça! | |
| | | eXPie Abeille bibliophile
Messages : 15620 Inscription le : 22/11/2007 Localisation : Paris
| Sujet: Re: Ogawa Yôko Mar 26 Fév 2008 - 13:00 | |
| Le Monde du Silence pousse loin l'obsession du classement, vu qu'il en devient quasiment le sujet principal. C'est néanmoins un livre d'atmosphère qui marque la mémoire (la mienne, en tout cas) même si sur le moment j'avais nettement moins aimé que les récits du type L'Annulaire (qui est, m'a-t-on dit, inspiré de la nouvelle Le Bras de Kawabata ; je n'avais pas percuté, j'avoue). Mais il ne se dissout pas dans la mémoire, il tient bien. | |
| | | Aeriale Léoparde domestiquée
Messages : 18120 Inscription le : 01/02/2007
| Sujet: Re: Ogawa Yôko Mar 26 Fév 2008 - 18:07 | |
| Je me permets de préciser (car je m'en suis rendue compte après) que les extraits cités proviennent du site de eXpie, sur lequel je lui disais m'être régalée à suivre l'analyse des thèmes de l'auteure. Analyse qui m'a permise de me donner une vision d'ensemble complète et cohérente et effacer les quelques réticences que j'avais par rapport à cet univers souvent inquiétant, déconcertant voire malsain pour certains. Je vous conseille d'en faire autant pour ceux qui comme moi, ont un regard tout neuf, et même pour les autres bien sûr! Au vu de tes crtiques, Expie, je pencherais donc pour L'Annulaire ou peut-être la Piscine pour une prochaine lecture Ogawa . Merci de ces infos | |
| | | Lou Posteur en quête
Messages : 96 Inscription le : 02/03/2007 Age : 41 Localisation : Paris
| Sujet: Le réfectoire un soir et une piscine sous la pluie Sam 12 Avr 2008 - 23:34 | |
| Suite à ma longue absence j'en profite pour partager mes coups de coeur... voilà encore deux critiques faites il y a quelque temps.
Les histoires de ce petit livre paru pour la première fois en 1998 chez Actes Sud : Dans Le réfectoire un soir et une piscine sous la pluie, une jeune femme s’installe dans une petite maison et s’apprête à l’aménager avant de se marier. Un soir, un homme et son fils frappent à sa porte. « Vous ne souffrez pas de détresse ? » De cette question insolite naîtra une relation platonique, déconcertante entre l’héroïne et le père et son fils. Observant un réfectoire à l’heure du nettoyage, les deux adultes discuteront de l’étrange relation entre les réfectoires le soir et les piscines sous la pluie. Dans Un Thé qui ne refroidit pas, l’héroïne retrouve un camarade de classe suite au décès brutal d’un troisième ancien élève (mort noyé dans sa voiture après un plongeon dans les eaux glacées du port). Les deux survivants décident de se revoir. S’enchaînent alors les visites au domicile de l’ancien camarade et de son épouse, incroyablement belle. D’où la fascination de l’héroïne qui se sent irrésistiblement attirée par l’harmonie et le bonheur tranquille qui règnent sans partage sur ce foyer.
Voilà deux histoires dans la veine d’Ogawa, avec ce style et cette élégance inimitables qui la caractérisent. Les deux textes sont eux-mêmes terriblement typiques de cet auteur : une narratrice à qui l’on pourrait donner entre 15 et 40 ans, des hommes fantomatiques (un futur mari qui apparaît au détour d’un paragraphe pour faire quelques travaux ; un compagnon irritant essentiellement présent par les notes qu’il laisse le soir sur une ardoise). Et des sujets bizarres accompagnant une histoire presque inexistante.
Est-il encore besoin de faire la critique d’un récit de Yoko Ogawa? Invariablement, les mots s’enchaînent avec une facilité navrante tant elle est prévisible.
L’écriture d’Ogawa est d’une subtilité désarmante, ses récits ont un charme désuet dont je ne me lasse pas. Il ne se passe souvent rien ou pas grand-chose. Encore une fois je savais à l’avance comment tout cela allait se terminer. Ou plutôt, « s’inachever » dans un dernier écho de pluie, un dernier souffle, un soupir. Rien de plus. Car Ogawa n’a pas besoin d’écrire des romans ou des nouvelles à l’histoire très structurée, avec un départ, un cheminement plus ou moins tortueux et une chute de rideau sans appel. Peu importe l’issue du récit, l’évolution des relations des uns et des autres. S’il y a mouvement, c’est dans l’incroyable poésie de l’écriture, le flot des mots qui s’égouttent tranquillement, bercent et forment peu à peu une palette de couleurs dont les pastels, les demi-tons et les non-dits font toute la beauté. Présentées avec beaucoup de simplicité, les histoires étranges, parfois malsaines de Yoko Ogawa acquièrent une certaine normalité, peut-être déconcertante, voire dérangeante. | |
| | | Lou Posteur en quête
Messages : 96 Inscription le : 02/03/2007 Age : 41 Localisation : Paris
| Sujet: Re: Ogawa Yôko Sam 12 Avr 2008 - 23:35 | |
| Et la Petite Pièce Hexagonale
Scène 1 : Les vestiaires de la piscine. Midori est assise sur le canapé. Elle attend une autre nageuse plus âgée. Midori est calme, elle est d’une banalité remarquable, elle semblerait presque s’effacer parmi les objets qui l’entourent. Et pourtant, voici une jeune femme attirée par elle, trouvant Midori intrigante, comme enveloppée d’une aura mystérieuse.
Scène 2 : la jeune femme suit Midori et découvre que celle-ci détient une sorte de meuble que l’on nomme la petite pièce hexagonale. Qu’y fait-on ? Quelles impulsions étranges poussent des inconnus à verser de l’argent à Midori pour entrer dans la cabine ?
Suite : la narratrice découvre le mystère de la petite pièce hexagonale et noue des liens privilégiés avec Midori et son fils. Elle sait pourtant que cela ne pourra durer éternellement.
Difficile de présenter l’histoire sans dévoiler l’essentiel, car peu d’éléments viennent perturber ce récit toute en continuité. Comme toujours chez Ogawa, l’introspection, la patience et un certain détachement des personnages sont de mise. L’histoire pourrait sembler a priori bizarre ; c’est à cette atmosphère étrange que l’on sait reconnaître immédiatement l’univers si particulier de l’auteur.
Au final, la Petite Pièce Hexagonale est une lecture agréable et facile. La narration semble couler de source, les personnages secondaires manquent de relief mais parviennent ainsi à mettre en avant les préoccupations du personnage principal. On retrouve sans difficulté le style doux et poétique d’Ogawa, qui contraste si bien avec les thèmes dérangeants que cet auteur choisit.
Je dois avouer que ma préférence va à ses livres plus sombres, ceux où l’élément le plus troublant vient perturber le récit alors que tout semblait naturel. J’ai été moins convaincue par ce livre-là, bien que la thématique choisie soit intéressante. Ogawa aime flirter avec la banalité et les pensées obscures. Cependant, la routine décrite ici efface en partie l’étrangeté du récit. Moins enthousiaste, j’ai cependant apprécié la façon dont l’auteur nous dévoile les pensées les plus intimes de la narratrice, avec pudeur, tout en finesse. | |
| | | Arabella Sphinge incisive
Messages : 19316 Inscription le : 02/12/2007 Localisation : Paris
| Sujet: Re: Ogawa Yôko Mer 23 Avr 2008 - 20:08 | |
| Hôtel Iris / traduit par Rose-Marie Makino-Fayolle
Récit à la première personne, fait par Mari, 17 ans, qui travaille dans l'hôtel tenu par sa mère, à la réception, mais aussi en cuisine ou autres tâches. Un soir son chemin croise celui d'un client qui a une altercation avec une prostituée qu'il a fait monter dans sa chambre. Mari éprouve une sorte de fascination malsaine pour cet homme, avec qui elle va avoir une liaison, et pratiquer le sado-masochisme.
Ma deuxième expérience de l'auteur, et pour la deuxième fois je ne suis pas convaincue. Yôko Ogawa a incontestablement du talent, elle écrit bien, mais je demeure sur ma faim après cette lecture. Je n'ai en fait ressenti à aucun moment chez l'auteur un véritable besoin d'écrire, de nous raconter cette histoire-là, d'exister au coeur de sa prose. Plutôt j'ai eu la sensation d'être devant la production de quelqu'un qui essaie de donner à son lecteur-client un produit qui va lui plaire, choquer un petit peu, mais pas trop, émoustiller un peu, mais sans aller trop loin. Quelque chose d'accrocheur mais pas de trop dérangeant finalement.
Ou c'est peut être moi qui suis définitivement fermé à l'univers de l'auteur et il vaut mieux que je me consacre à d'autres écrivains. | |
| | | eXPie Abeille bibliophile
Messages : 15620 Inscription le : 22/11/2007 Localisation : Paris
| Sujet: Re: Ogawa Yôko Mer 23 Avr 2008 - 22:03 | |
| Arabella, je sais bien que tu préfères les gros bouquins, mais je crois vraiment que le meilleur d'Ogawa est dans la forme courte. La Piscine, ou bien l'Annulaire. J'avais griffonné quelque part : "Hôtel Iris est peut-être un peu long, un peu trop explicite : il lui manque le mystère de ses romans précédents."
Il me semble qu'elle se force un peu à expliciter, dans ses gros livres ; elle force sa nature, qui est dans le non-dit, mais le quand même senti. | |
| | | Arabella Sphinge incisive
Messages : 19316 Inscription le : 02/12/2007 Localisation : Paris
| Sujet: Re: Ogawa Yôko Mer 23 Avr 2008 - 22:28 | |
| - eXPie a écrit:
- Arabella, je sais bien que tu préfères les gros bouquins, mais je crois vraiment que le meilleur d'Ogawa est dans la forme courte. La Piscine, ou bien l'Annulaire.
J'avais griffonné quelque part : "Hôtel Iris est peut-être un peu long, un peu trop explicite : il lui manque le mystère de ses romans précédents."
Il me semble qu'elle se force un peu à expliciter, dans ses gros livres ; elle force sa nature, qui est dans le non-dit, mais le quand même senti. L'annulaire et La Piscine, c'est noté, mais si au moins j'avais un volume rassemblant plusieurs récits courts, je me sentirais plus à l'aise. Je n'ai rien contre des nouvelles, ou très courts romans, mais à conditions de les regrouper dans des volumes plus conséquents. Où alors je lis les deux textes que tu cites à la suite. | |
| | | Cachemire Sage de la littérature
Messages : 1998 Inscription le : 11/02/2008 Localisation : Francfort
| Sujet: Re: Ogawa Yôko Mer 23 Avr 2008 - 22:49 | |
| Le musée du silence est un livre bizarre, que je n'ai pas compris, dont à aucun moment je ne me suis rapproché. J'avais lu les Abeilles qui m'avait intriguée, mais après la Grossesse et l 'hôtel Iris qui ne m'ont pas plu davantage, j'ai décidé de ne plus lire cette auteure. | |
| | | soliman Envolée postale
Messages : 124 Inscription le : 17/02/2008 Age : 56
| Sujet: Re: Ogawa Yôko Jeu 24 Avr 2008 - 6:55 | |
| - Cachemire a écrit:
- Le musée du silence est un livre bizarre, que je n'ai pas compris, dont à aucun moment je ne me suis rapproché. J'avais lu les Abeilles qui m'avait intriguée, mais après la Grossesse et l'hôtel Iris qui ne m'ont pas plu davantage, j'ai décidé de ne plus lire cette auteure.
Idem pour moi | |
| | | Babelle Zen littéraire
Messages : 5065 Inscription le : 14/02/2007 Localisation : FSB
| Sujet: Re: Ogawa Yôko Jeu 24 Avr 2008 - 8:06 | |
| Moi je continue! Après lecture du texte "La Grossesse", je suis restée sur ma faim, mais avec un sentiment d'étrangeté. Puis en lisant rétrospectivement le commentaire très complet de Chaperlipopette plus haut (elle dissèque ses lectures Chap!), quelques aspects sont venus m'apporter sinon un sens, du moins quelques codes de lecture qui me donnent envie de poursuivre. Ces romans japonais n'empruntent pas les mêmes sentiers que le roman français et c'est un dépaysement intéressant, d'autant que l'écriture est très correcte. | |
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| Sujet: Re: Ogawa Yôko | |
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| | | | Ogawa Yôko | |
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