Barbara Cartland

tina a écrit:

A ce niveau là, j'étais déjà solidaire avec la jouvencelle. Elle projette de fuir se réfugier chez un autre parent.

Seul hic : il est de moeurs dépravées.

Et là, mon train arrivait, j'ai dû arrêter ma lecture.

C'est bête ! A mon avis, j'ai raté les scènes torrides...

Ben... et la suite ?
La pauvre jouvencelle, qu'est-elle devenue ?

Le bien et la vertu vont-ils triompher ?

eXPie a écrit:

Ben... et la suite ?
La pauvre jouvencelle, qu'est-elle devenue ?

Le bien et la vertu vont-ils triompher ?

Mr eXPie, gentleman et amateur éclectique de littérature que vous êtes, quand vous attaquerez-vous à cette oeuvre monumentale qui a marqué le 20 siècle ? Hein ? Hein ?

Hein ?

Un peu d'audace que diantre.

BC a écrit:

Mr eXPie, gentleman et amateur éclectique de littérature que vous êtes, quand vous attaquerez-vous à cette oeuvre monumentale qui a marqué le 20 siècle ? Hein ? Hein ?

Hein ?

Un peu d'audace que diantre.

Eh ben... hmmm... j'attendais la parution en Pléiade, édition spéciale avec tranche rose, pour bénéficier de l'appareil critique et des notes...
Sinon, j'ai trop peur de rater quelque chose, de ne pas bien comprendre...

Cela ferrait combien de volumes de Pléiade, les oeuvres complètes ?

Arabella a écrit:

Cela ferrait combien de volumes de Pléiade, les oeuvres complètes ?

Euh... son oeuvre complète n'est pas encore achevée, je crois, puisqu'il y avait des "inédits" pour je ne sais combien d'années (ils sont vastes et profonds, les tiroirs de BC !)
Il y aurait quelque chose comme 721 titres (source : wikipedia).
Tu en mets 10 par Pléiade, ça t'en fait quand même 72...

Arabella a écrit:

Vois le bon côté de la liseuse : ça n'occupera pas plus de place que les oeuvres complètes de Rimbaud.
Evidemment, il n'y aura pas de reliure cuir... mais avec une liseuse rose, ça devrait faire l'affaire !

Ce que tu ne nous dis pas, c'est si son oncle est presbytérien parceque sa femme est une affreuse mégère ou si c'est l'inverse ?
Avec BC, il ne faut jamais rester en surface, toujours analyser l'œuvre en profondeur.

Steven a écrit:

Ce que tu ne nous dit pas, c'est si son oncle est presbytérien parceque sa femme est une affreuse mégère ou si c'est l'inverse ?
Avec BC, il ne faut jamais rester en surface, toujours analyser l'œuvre en profondeur.

Ah bah voilà pourquoi il me faut des notes de la Pléiade.
Ou bien les commentaires de Steven !
Analyser en profondeur, oui !

J'adore quand ce fil remonte, fou rire garanti !

Bon, maintenant, vous me donnez mauvaise conscience d'avoir laissé ce livre à la campagne.
Quand je vois votre intérêt...
Comment savoir la suite ?
Je ne me souviens plus du titre, il contenait le mot "amour". Mais beaucoup le contiennent, on n'est pas plus avancé.
Que va devenir la fragile Pandora dans ce monde de brutes ?

Assurément, je ne vais pas en dormir.

Le net étant magique, voilà le titre : Il ne nous reste que l'amour.

Résumé sur Amazon :

La douce Pandora Stratton mène une existence malheureuse au palais de Lindchester. Une terrible nouvelle la bouleverse : Prosper Witheridge souhaite obtenir sa main et, d'ici peu, elle sera mariée à cet homme qu'elle déteste. Afin d'échapper à ce sort tragique, elle s'enfuit au château de Chart Hall, chez son cousin, le comte de Chartwood. Pour conserver sa liberté, la belle accepte de renier son honneur car les rumeurs sur le comte vont bon train. Mais le mépris et l'effronterie du jeune homme ne cachent-ils pas en réalité une tendresse infinie ? Pandora réussira-t-elle à adoucir son cousin et à sauver le prestige de Chart Hall ?

C'est le Prosper en question qui a "les mains moites" - détail qui tue et qui m'a bien fait rire. Ventripotent aussi sans doute...

deux trouvailles de ce matin.

d'abord une couverture russe pour Le carrousel de l'amour :



et un lien très utile qui nous apprend qu'il y a pu avoir des erreurs de couvertures pour ce titre, qui en original s'appelle Love Climbs In (c'est tellement plus léger ) : barbaracartlandbooksandcoverart

Epi a écrit:

J'adore quand ce fil remonte, fou rire garanti !

ouiiiii

Ahurissant le professionnalisme du détail de la couverture !
Moi qui ne sais pas les distinguer les unes des autres, j'en suis Ba(r)Ba(ra).