Colum McCann

monilet a écrit:

Danseur page 240/360 : j'abandonne. M'emballe pas.

Ah ben ça, moi qui étais tellement emballée par ce roman

sentinelle a écrit:

monilet a écrit:

Danseur page 240/360 : j'abandonne. M'emballe pas.

Ah ben ça, moi qui étais tellement emballée par ce roman

mais oui.. de même pour moi..
on n'avait pas besoin de preuve - mais voilà bien l'exemple que chaque lecteur réagit de manière tout à fait différent..

Après un détour avec Zoli qui ne m'a pas emballé du tout du tout, je suis heureuse de découvrir que le résumé de son livre à paraitre semble trop, trop, trop bon

pour ceux qui lisent en anglais: à noter: Juin
et j'espère que la traduction française ne va pas tarder


Let the Great World Spin

Citation :

In the dawning light of a late-summer morning, the people of lower Manhattan stand hushed, staring up in disbelief at the Twin Towers. It is August 1974, and a mysterious tightrope walker is running, dancing, leaping between the towers, suspended a quarter mile above the ground. In the streets below, a slew of ordinary lives become extraordinary in bestselling novelist Colum McCann’s stunningly intricate portrait of a city and its people.

Let the Great World Spin is the critically acclaimed author’s most ambitious novel yet: a dazzlingly rich vision of the pain, loveliness, mystery, and promise of New York City in the 1970s.

Corrigan, a radical young Irish monk, struggles with his own demons as he lives among the prostitutes in the middle of the burning Bronx. A group of mothers gather in a Park Avenue apartment to mourn their sons who died in Vietnam, only to discover just how much divides them even in grief. A young artist finds herself at the scene of a hit-and-run that sends her own life careening sideways. Tillie, a thirty-eight-year-old grandmother, turns tricks alongside her teenage daughter, determined not only to take care of her family but to prove her own worth.
Elegantly weaving together these and other seemingly disparate lives, McCann’s powerful allegory comes alive in the unforgettable voices of the city’s people, unexpectedly drawn together by hope, beauty, and the “artistic crime of the century.” A sweeping and radical social novel, Let the Great World Spin captures the spirit of America in a time of transition, extraordinary promise, and, in hindsight, heartbreaking innocence. Hailed as a “fiercely original talent” (San Francisco Chronicle), award-winning novelist McCann has delivered a triumphantly American masterpiece that awakens in us a sense of what the novel can achieve, confront, and even heal.

Coum McCann m' a enthousiasmé avec Le chant du coyote,Les saisons de la nuit,mais plus encore avec les nouvelles de La rivière de l'exil et surtout Ailleurs en ce pays.Par contre pour Danseur je suis assez proche de Monilet.Je n'ai pas lu Zoli.

Les saisons de la nuitest dans ma PAL. Un de mes amis ne cesse de me faire l'éloge de cet auteur donc je pense m'y mettre bientôt.

Bellonzo a écrit:

.Par contre pour Danseur je suis assez proche de Monilet.

Vais-je vraiment perdre mon temps si je le lis?...
J'avais envie de le faire car il y a en ce moment une expo Noureev à Moulins!

Le seul moyen de le savoir.... est de le commencer. :)

monilet a écrit:

Le seul moyen de le savoir.... est de le commencer. :)

Oui bien sûr...Mais j'aimerais autant ne pas l'acheter s'il n'est pas bon...

coline a écrit:

Vais-je vraiment perdre mon temps si je le lis?...
J'avais envie de le faire car il y a en ce moment une expo Noureev à Moulins!

Puisque je me suis déjà plantée plusieurs fois en te recommandant un livre, je voudrais ne pas trop mettre de poids sur ta décision... mais en ce qui concerne ce livre, on ne peut pas perdre son temps.. c'est passer à côté d'un chef d'œuvre!
Mais il faut être conscient du personnage de Noureev, Colum McCann 'disparait' en quelque sorte derrière ce personnage qu’il crée en même temps.
Il faut aussi être consciente qu’il n’épargne rien à son lecteur, pas ses heures d’exercices, pas ses frustrations, et pas ses excès amoureux ..
J’aime lire des livres comme je les présente sur le fil « quand l’imaginaire rencontre la réalité » - ceci est une des plus forte « biographie » dans ce genre que j’ai jamais lu..

coline a écrit:

monilet a écrit:

Le seul moyen de le savoir.... est de le commencer. :)

Oui bien sûr...Mais j'aimerais autant ne pas l'acheter s'il n'est pas bon...

Emprunte-le à la bibliothèque, peut-être...

kenavo a écrit:

coline a écrit:

Vais-je vraiment perdre mon temps si je le lis?...
J'avais envie de le faire car il y a en ce moment une expo Noureev à Moulins!

Puisque je me suis déjà plantée plusieurs fois en te recommandant un livre, je voudrais ne pas trop mettre de poids sur ta décision... mais en ce qui concerne ce livre, on ne peut pas perdre son temps.. c'est passer à côté d'un chef d'œuvre![...]

Hum... l'enthousiasme de Kenavo me laisse perplexe...
Non décidément je ne peux pas dire que c'est un chef d'œuvre. Il se laisse lire en tout cas.

Queenie a écrit:

Hum... l'enthousiasme de Kenavo me laisse perplexe...

ah mais c'est tout simple à expliquer - il a imprégné son écriture par les pensés Noureev, ses mots reflètent les images de sa vie, le lecteur entre dans sa tête, dans sa peau.. c'est tout simplement impressionnant et enivrant.. il m'a embarqué avec lui dans un tour de danse que je ne vais plus jamais oublier.. un talent sacré de faire revivre tous les états d'âmes de ce personnage assez peu sympathique mais qu'on a envie de mieux comprendre, tellement il expire quelque chose de génie

J'ai lu "les saisons de la nuit" et "danseur" et j'ai aimé les deux pour les thèmes et pour l'écriture.

Mordicus a écrit:

Dites.
Ca fait un bail que je tripatouille Les saisons de la nuit et je sais pas si je cède ou pas.

Je pourrai avoir des bouts d'avis à me mettre sous la dent ?

A part ce que j'ai mis dans mon premier message de fil... j'ai rien d'autre à croquer.
En tout cas, largement meilleur souvenir que Danseur...

(ouais, ça aide vachement...)