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| Edvard Munch [peintre/graveur] | |
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Burlybunch Agilité postale
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| Sujet: Edvard Munch [peintre/graveur] Dim 15 Juin 2008 - 20:46 | |
| Edvard Munch (1863 - 1944)Beaucoup pensent pouvoir évoquer le peintre norvégien Edvard Munch en ces termes: « le peintre fou qui a peint Le Cri ». Non loin d'être justifiée, cette assertion appelle tout de même en deux points une rectification : bien que la tension psychique soit au cœur de sa peinture (et plus largement, de son art, c'est-à-dire dessin et gravure inclus), Munch n'a jamais été à proprement parler fou; et si le Cri illustre particulièrement bien cette émotivité troublée (autant que troublante), il s'inscrit dans une œuvre immense, en termes de quantité et de variété, dont les apports ne peuvent être réduits à un seul tableau. Sous-estimé de son vivant et très tard pris au sérieux, il demeure aujourd'hui un artiste à la popularité relative. Diverses raisons entrent en jeu: il était une personne marginale et instable - artistiquement comme socialement - et ne pouvait par la variété de ses travaux être affilié à aucun courant pictural particulier; tout à la fois en touchant à beaucoup d'entre eux, tels le symbolisme, l'impressionnisme ou le fauvisme... Autant de styles liés eu Europe (et tout particulièrement en France) à des chefs de file déjà illustres et surplombants. Et lorsqu'il réussit à s'affirmer esthétiquement, c'est au contraire l'absence d'antécédents de son style qui lui nuit et suscita plutôt que l'admiration de ses contemporains, leur rejet catégorique, et par retour, la frustration même du peintre. La peinture de Munch est une peinture intime et souvent douloureuse - c'est d'ailleurs à ce titre qu'on le considère aujourd'hui comme l'un des principaux précurseurs de l'expressionnisme - et s'inscrit dans un processus de création qu'il importe de bien cerner. Il est à dessein intéressant de s'arrêter sur son premier chef-d'œuvre – ou tableau "inspiré": L'Enfant Malade (1885-86). I. L'Enfant Malade: un nouveau mode d'expression Approche générale – L'Enfant Malade (1885-86)La première intention de Munch est de retranscrire le plus fidèlement, sur le plan émotionnel - c'est à dire que le tableau doit susciter chez son spectateur le même émotion que celle ressentie par le peintre devant la scène qu'il a cherché à transposer - des images mentales imprimées en lui, impressions ressenties à divers moment de son existence, correspondant le plus souvent à un sentiment tragique de la vie. Plus que de nous inviter à contempler la réalité peinte, l'artiste nous en offre une interprétation intime, déformée dans le sens où l'ordre, les couleurs, les détails... perdent leur caractère nécessaire et peuvent être nuancés, modifiés, ou même occultés dès lors qu'ils ne sont pas structurants dans leur cohérence. - Edvard Munch (1920) a écrit:
- "Dans la maison paternelle régnaient la maladie et la mort, je n'ai jamais probablement surmonté cela, et cela a également été déterminant pour mon art."
La maladie en question, la tuberculose, causa en effet la mort de sa mère, et en 1877 celle de sa sœur Sophie – véritable traumatisme pour le jeune homme, qui fut lui même gravement atteint. L'emploi du mot "traumatisme" n'est pas innocent ni exagéré: si sa sœur Sophie décède en 1877, la scène germera presque dix ans dans l'esprit du peintre avant de donner l'Enfant Malade. Le tableau fut entamé en 1885 dans une perspective réaliste, Munch s'arrêtant à peindre jusqu'aux moindres détails sa sœur malade assise dans un fauteuil au milieu d'une pièce. Le tableau presque achevé est techniquement très maîtrisé mais, prenant du recul, l'artiste constate que malgré l'intensité de ce qu'il ressent, rien ne se dégage de ce qu'il vient de peindre, que tous ces détails décentrent le tableau de son sujet principal : sa sœur et l'expression de son visage. Insatisfait, il se lance donc dans une retouche radicale du tableau afin de l'amener d'une exactitude visuelle à une exactitude affective. Ce changement d'attitude est décisif. La méthode employée par Munch est impressionnante: défigurant presque le tableau, il n'hésite pas à en effacer grossièrement à la peinture noire tous les éléments superficiels et « polluants »: fenêtre, table basse, vase etc., et ne s'arrête pas là, grattant la peinture avec le manche de son pinceau, un couteau, ou encore ses propres ongles, peignant à nouveau derrière, puis re-grattant etc., processus répété pendant environ une année, avant qu'enfin le résultat le satisfasse. Une citation du peintre pour comprendre jusqu'à quel point sa démarche est extrême: - Edvard Munch a écrit:
- "J'ai découvert que mes propres cils avaient travaillé à créer l'impression. C'est pourquoi je les ai esquissés comme des ombres sur le tableau."
Voici le tableau: NB: Il s'agit ici de la réplique réalisée par le peintre en 1896, qui se distingue par ses coloris plus libres.
Dernière édition par Burlybunch le Dim 4 Jan 2009 - 12:54, édité 3 fois | |
| | | Burlybunch Agilité postale
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| Sujet: Re: Edvard Munch [peintre/graveur] Dim 15 Juin 2008 - 20:46 | |
| II. Années 1890:sommet expressionniste et modernité Voyages - Munch et la Femme - « révolution artistique »Outres la mort et la maladie, d'autre facteurs ont nourri les tourments du peintre, à savoir la marginalité et le rejet - artistiques comme affectifs. Notons que Munch commença à fréquenter en 1884 la « Bohème » de Christiania, groupe de personnalités radicales – qualifié par ailleurs de « groupe de gitans » par Brandes - rassemblées autour de l'écrivain Hans Jaeger, et revendiquant une liberté de pensée comme d'action, ce notamment sur le plan amoureux. Premiers voyages et premières expositions à travers l'Europe, comme à Paris - où il demeura en 1889 et expérimenta la peinture impressionniste après qu'il eut obtenu de l'Etat norvégien une bourse d'artiste - et à Berlin, où il fréquenta et se lia d'amitié avec le dramaturge suédois August Strindberg et le poète polonais Stanisław Przybyszewski (qui sera d'ailleurs l'un des premiers à publier un essai critique sur le peintre). Mais partout éclatent le scandale et l'incompréhension. L'exemple de Berlin est remarquable: pourtant invité à exposer (automne 1892) par le club d'art de la ville, il se voit expulsé tant l'opposition est véhémente. A cela s'ajoutent des échecs amoureux qui le hantent; si bien que le peintre désorienté remet son art en question et ne sait plus quel chemin emprunter. Cette décennie fut pourtant la période pendant laquelle son style se révéla et sa peinture trouva la plus grande force expressive. En guise de remarque, Munch n'a presque rien vendu de son vivant (sinon quelques commandes spécifiques) et a à sa mort légué la totalité de son œuvre artistique à la commune d'Oslo, parmi quoi ses carnets de dessins et de notes, qui nous permettent aujourd'hui d'appréhender plus intimement chacun de ses tableaux, par les ébauches et les notes relatives, ou par les ré-interprétation auxquelles ils ont donné lieu (changement de techniques, de tons etc.). Tirés de ses carnets, par exemple au sujet du Cri: - Edvard Munch a écrit:
- "J'allais sur la route en compagnie de deux amis - le soleil se couchait - le ciel devint soudain rouge sang - je m'arrêtai - m'appuyant contre une barrière las à en mourrir - au-dessus de la ville et du fjord d'un bleu sombre s'étendaient du sang et des langues de feu - mes amis s'éloignaient et moi je tremblais d'angoisse - et je perçus le long cri sans fin traverssant la nature."
Munch est d'ailleurs éprouvé jusqu'à inscrire à même la toile: "Ne peut avoir été peint que par un fou". Le Cri (1893) Ces tableaux mettent très fréquemment en scène la Femme dans son ambiguïté: la tentatrice/dévoreuse, la vierge/innocente, la mère/donneuse de vie, triptyque illustré par le tableau Sphinx ou les trois âges de la femme (1894). Munch – comme Strindberg – entretenait avec elles un rapport intense, à la fois essentiel et difficile, et dont le rôle fut majeur pour son œuvre. En voici quelques exemples: Madonna (1894), ou la femme pendant l'Amour telle que la voit son amant. La femme en question est Dagny Juell, successivement amante de Munch, Przybyszewski et Strindberg. Le sourire de cadavre que lui a donné Munch s'oppose à l'idée de femme/conceptrice, comme si la mort embrassait ici la vie. Cette opposition est récurrente chez Munch, en témoignent par exemple les lithographies de La Jeune fille et la mort, ou encore La Vampire (1895) – à noter pour ce dernier que, si Munch a conservé ce titre suggestif, il n'en est pas l'auteur. Sans celui-ci, le tableau pourrait ne signifier qu'un baiser donné par une femme dans le cou d'un homme (parallèlement au tableau Le Baiser). Przybyszewski en a dit: « Un homme à l'âme meurtrie, sur son cou le visage d'un vampire qui le mord. Il y a quelque chose d'atrocement silencieux et détaché dans ce tableau. L'homme tournoie sans fin, impuissant. Il est incapable de se débarrasser de ce vampire et de cette douleur et la femme sera toujours assise là, sa morsure est éternelle. » Sphinx ou les trois âges de la femme (1894) - Madonna (1894)
- La Vampire (1895)
- Le Baiser (1897)
La modernité de cette peinture est déroutante. Munch, comme un « poète de la couleur » qui ressentirait la couleur sans la voir, utilise celle-ci avec une liberté révolutionnaire. « Il ne montre pas mais exprime » a dit Watkins, la perspective est gommée et la réalité, dissoute par la lumière. C'est à dire qu'il s'éloigne ici radicalement des représentations naturalistes (dont l'emprise en Europe est alors très forte) en donnant à ses tableaux une intériorité, en les peignant de son propre point de vue, et en l'affirmant. Des tableaux prenant leur essence dans les problèmes de communication que rencontre le peintre: le contact physique se stigmatise, visage et regard détachés, vides, masqués. Ou la solitude, plus simplement. - Mélancolie (1891)
- Cendres (1894)
- Les Yeux dans les Yeux (1894)
Et une nouvelle évocation impressionnante du décès de Sophie, avec La Mort dans la Chambre de la Malade (1893) Avec toujours un choix très libre dans les tons utilisés, Munch représente la mort par son inscription en chacun des personnages présents autour de la défunte (et pas par la représentation de la défunte elle-même). Il est à propos curieux de constater que les membres de la famille Munch sont représentés tels qu'en 1893, pour une scène déroulée 16 ans auparavant. Au premier plan Inger, sœur du peintre, le visage livide et les yeux détrempés soutenant le regard du spectateur. C'est d'ailleurs le choc provoqué par ce face-à-face qui a comme l'affirme le réalisateur, décidé Peter Watkins a consacrer un film à Munch. Dos à celle-ci, Munch est présent, le visage absent. - La Danse de la Vie (1899)
- Jalousie II (1907)
C'est durant cette période également que Munch a entrepris sa Frise de la Vie, après avoir pris conscience lors d'une exposition que l'inter-connexion de ses tableaux selon un assemblage défini pouvait de manière significative en relever le sens auprès des spectateurs. Si l'éclat des couleurs et la simplification du trait apparents au tournant du siècle le rapprochent du fauvisme, ces tableaux seront également une influence majeure pour les expressionnistes, notamment les allemands du groupe Die Brücke (fondé à Dresde en 1905). - Les Jeunes Filles sur le Pont (1905)
- Forêt (1903)
- La Nuit Etoilée (1901)
Dernière édition par Burlybunch le Dim 4 Jan 2009 - 13:00, édité 2 fois | |
| | | Burlybunch Agilité postale
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| Sujet: Re: Edvard Munch [peintre/graveur] Dim 15 Juin 2008 - 20:47 | |
| III. Gravures et dessins Présentation – Œuvres regroupées selon les techniques qu'elles utilisent, leur chronologie, les sujets et liens qu'elles entretiennent réciproquement. Pour en terminer avec Munch, il est essentiel d'évoquer cette partie sous estimée de son œuvre. Son développement artistique en partie isolé de l'académisme contemporain - la première école supérieure d'arts de Norvège n'étant fondée à Christiania qu'en 1909 - ainsi que son goût pour l'expérimentation et l'alliance des techniques que lui offre l'époque ont nécessairement poussé Munch à s'essayer à la gravure, travail long et technique qu'il a porté jusqu'à une excellence rare. On peut distinguer parmi celles-ci les lithographies - impression d'un dessin gravé sur une pierre calcaire grâce à la porosité de celle-ci; les xylographies - procédé similaire, le bois remplaçant la pierre; et les aquatintes/eaux fortes – gravure sur cuivre imprimée par utilisation d'acide nitrique). Initié à ce travail à Berlin, l'artiste le développera à Paris avec l'imprimeur Auguste Clot en réalisant des répliques de ses tableaux et en exploitant les possibilités propres à chaque support (rendu, texture, etc.), jusqu'à dominer et perfectionner ces techniques graphiques, notamment quant-à la maîtrise des couleurs dans la gravure sur bois. C'est d'ailleurs peut-être ici qu'il est allé le plus loin: - L'Enfant Malade II (1896), lithographies (différentes étapes) // originale
Madonna (1902), lithographie // originale (deux versions)
- La Mort dans la Chambre de la Malade (1896), lithographie // originale
- La Vampire (1895), lithographie // gravure sur bois // originale
- Jalousie (1895-96), lithographie // originale // 2nde version (1907)
- Sphinx ou les trois âges de la femme (1894-99) lithographie // originale
- Le Cri (1893), lithographie // originale
Toujours ce ciel, cette jetée et ce fjord avec
- Desespoir (1893-4)
- et Angoisse (1896)
.) gravure sur bois
.) lithographie
.) tableau original
- et dans un autre cadre, ces mêmes visages
Le Soir avenue Karl Johan (1892)
L'Urne (1896), lithographie
Le Baiser (1897) .) encre de chine
.) lithographies (de La Jeune fille et la mort au Baiser)
.) gravure sur bois
.) tableaux original et relatifs (dont Le Baiser Sur la Plage, 1921 - quelles couleurs )
Cette plage en arrière-plan, on la retrouve d'ailleurs souvent: La Voix (Nuit d'été) - 1893 // Danse sur la Plage (1899) // La Danse de la Vie (1899-1900) // La Demoiselle de la Mer (?)
Autour des Jeunes Filles sur la Jetée ( ou - sur le Pont, je ne sais pas bien) - 1899-1900 et années suivantes
.) gravure sur bois de 1920
Vers la Forêt (1897), gravure sur bois
Le Coeur (1898-99), gravure sur bois
Deux Personnes - Les Solitaires (1899), gravue sur bois
Jeune Femme au Bord de l'Eau (1896), aquatinte gratée & pointe sèche
Sans oublier les dessins, aquarelles, encres de chines, crayons... à la base de l'Art tout entier de Munch, puisqu'il dessine en permance que ce soient des oeuvres finies en elles-mêmes ou des ébauches/études qui serviront de point de départ à des peintures: - La Femme & le Coeur (1896), encre de chine
- Harpie (1898), encre de chine
- Fleur de Douleur: Quickborn (1898), encre de chine, crayon de couleur & aquarelle
Edvard Munch fut artiste à part et son œuvre témoigne d'un travail audacieux, original et diversifié, mais malheureusement peu salué. A l'origine de cet exposé la projection du film Edvard Munch réalisé en 1973 par Peter Watkins. La structure en est similaire et se borne aux vingt années centrales du peintre sur le plan artistique: [1885-1905]. A savoir que ses premières études (avant 1885 et le début de son « exil ») se rapprochent dans leur réalisation de l'impressionnisme (mouvement qu'il n'avait pourtant pas encore découvert en étant géographiquement isolé) par l'application des couleurs par touches et le jeu sur leur complémentarité, ainsi que sur la lumière; de même que ses réalisations d'après 1905, qui si elles perpétuent la recherche sur les techniques de dessin/peinture et leur complémentarité (crayon, encre, fusain, aquarelle, etc.) et privilégient les sujets ouvriers, sont d'un apport moindre. Enfin, Munch comme l'adaptation de Watkins dont il est le sujet illustrent de façon pertinente le phénomène de « percée moderne ». L'art, pour Munch (comme pour Watkins d'ailleurs, qui a toujours revendiqué activement son opposition aux mass medias), devait nécessairement être libre et subjectif, quitte à s'éloigner de travaux « académiques ». Cette prise de position a pourtant envenimé ses relations avec son pays maternel, la Norvège, le forçant à s'exiler devant l'hostilité et l'absence de reconnaissance artistique, pour s'exprimer librement et trouver le succès (dernier point à nuancer, puisque la tendance de la majorité, que ce soit en France ou en Allemagne, était toujours au rejet, parfois violent). Dans un contexte de progrès social – perçu par Munch avec une « terreur panique », la question de la femme est centrale, celle-ci en droit de revendiquer sa liberté et ses aspirations, de prendre des amants etc. .Revenons au film de Watkins, et dans celui-ci au couple formé par Mme Heiberg (une des « tentatrices » de Munch) et son mari, lequel invité à s'exprimer sur le mariage dit en porte-parole de la société bourgeoise la chose suivante: « A mon avis, le mariage est une institution très importante et indispensable à nos structures sociales et culturelles. Sans le mariage, on verrait se développer une situation de déracinement et de chaos, ce qui par conséquent, j'en ai peur, pourrait facilement mener à l'anarchie. Pour résumer, si nous voulons maintenir la paix et l'ordre, il est indispensable pour nous de soutenir et de consolider nos institutions. », évoquant son épouse comme quelque chose « d'adorable » et peu capable de se débrouiller sans son mari. On pense bien-sûr ici à Ibsen, d'ailleurs d'une certaines façon lié au peintre. Même s'ils n'ont jamais été des amis proches, on retrouve dans l'œuvre de Munch plus de 500 documents relatifs au dramaturge, qu'il s'agisse de portraits, décors de pièces de théâtre ou d'affiches; pour la plupart des dessins. Sources : Munch: Dessins & Aquarelles (M. Bruteig, isbn 2850882062) Munch & la France (A. Eggum, R. Repetti, isbn 2711823512) et évidement:
Dernière édition par Burlybunch le Dim 4 Jan 2009 - 13:03, édité 6 fois | |
| | | animal Tête de Peluche
Messages : 31548 Inscription le : 12/05/2007 Age : 43 Localisation : Tours
| Sujet: Re: Edvard Munch [peintre/graveur] Dim 15 Juin 2008 - 21:07 | |
| Burly : génial, avec tout un tas d'images... l'est trop fort ce Burly je te remercie z'ont du bol tes camarades d'avoir un camarade très riche troisième partie | |
| | | Burlybunch Agilité postale
Messages : 870 Inscription le : 29/09/2007 Localisation : Ci et là
| Sujet: Re: Edvard Munch [peintre/graveur] Dim 15 Juin 2008 - 22:33 | |
| Hé! Merci Ca m'avait à vrai dire fait un choc de découvrir d'un coup d'un seul d'une part toutes ces peintures/gravures et d'autre part cette réalisation de Peter Watkins. Subjugué, vraiment. Les Beaux-Arts de Lille organisent à la rentrée une exposition sur les peintres nordiques. Si Munch en est, alors... On aura en tout cas pour l'occasion droit au fameux film sur grand écran Voir ici pour l'information. Et puis comme je l'ai dit, toute son oeuvre a été léguée à la ville d'Oslo... Je ferai nécessairement un tour au musée Munch un jour ou l'autre! | |
| | | coline Parfum livresque
Messages : 29369 Inscription le : 01/02/2007 Localisation : Moulins- Nord Auvergne
| Sujet: Re: Edvard Munch [peintre/graveur] Dim 15 Juin 2008 - 22:36 | |
| Oh merci Burlybunch!... | |
| | | Queenie ...
Messages : 22891 Inscription le : 02/02/2007 Age : 44 Localisation : Un peu plus loin.
| Sujet: Re: Edvard Munch [peintre/graveur] Dim 15 Juin 2008 - 22:43 | |
| cool Burly, j'avais bien accroché aux peintures ultra connues de Munch (le cri - le vampire).. mais j'attends de voir le film avant de lire entièrement ton topo ! | |
| | | Burlybunch Agilité postale
Messages : 870 Inscription le : 29/09/2007 Localisation : Ci et là
| Sujet: Re: Edvard Munch [peintre/graveur] Jeu 19 Juin 2008 - 21:53 | |
| Hop! Je continue à travailler ça, essentiellement la troisième partie, car si pour les gravures j'avais commencé par vous montrer les resultats finaux, ce sont des techniques limitées qui demandent de nombreuses étapes, et il est passionant de pouvoir suivre leur cheminement. Le serveur d'images sature chez moi ce soir, alors je reprendrai plus tard . | |
| | | Burlybunch Agilité postale
Messages : 870 Inscription le : 29/09/2007 Localisation : Ci et là
| Sujet: Re: Edvard Munch [peintre/graveur] Sam 27 Sep 2008 - 14:22 | |
| Enregistré par chance ! Et remis à jour de suite. | |
| | | coline Parfum livresque
Messages : 29369 Inscription le : 01/02/2007 Localisation : Moulins- Nord Auvergne
| Sujet: Re: Edvard Munch [peintre/graveur] Sam 25 Oct 2008 - 23:21 | |
| J'avais déjà apprécié cette large contribution de Burlybunch sur le fil consacré au peintre Munch...
Je retrouve ce fil avec plaisir ce soir après avoir regardé les (presque) 4 heures du film Munch de Peter Watkins.
Il doit bien y avoir un fil ouvert sur le film...Je cherche... | |
| | | animal Tête de Peluche
Messages : 31548 Inscription le : 12/05/2007 Age : 43 Localisation : Tours
| Sujet: Re: Edvard Munch [peintre/graveur] Sam 25 Oct 2008 - 23:34 | |
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| | | coline Parfum livresque
Messages : 29369 Inscription le : 01/02/2007 Localisation : Moulins- Nord Auvergne
| | | | Burlybunch Agilité postale
Messages : 870 Inscription le : 29/09/2007 Localisation : Ci et là
| Sujet: Re: Edvard Munch [peintre/graveur] Dim 4 Jan 2009 - 13:05 | |
| Hop, mise à jour, essentiellement du texte. Reste à entreprendre de m'attaquer aux oeuvres de jeunesse et aux travaux "tardifs" (> 1905) Je fais ça dans le mois | |
| | | Burlybunch Agilité postale
Messages : 870 Inscription le : 29/09/2007 Localisation : Ci et là
| Sujet: Re: Edvard Munch [peintre/graveur] Mar 13 Jan 2009 - 21:45 | |
| Hop, un premier jet de paysages pour la plupart (traductions des titres approximative depuis l'allemand), sans organisation sinon chronologique. J'aime beaucoup ses "nuits" Pré fleuri dans le Veierland (1887) Nuit d'été (Inger sur la plage) (1889) Vague (1889) Le retour de la barque (1890) Nuit étoilée (1893-97) Cueillete des Fruits (1898) Mélancolie (Laura) (1899) Nuit d'hiver (1900) L'île (1900-01) Aasgaardstrand (1902) Nuit d'été sur la côte (1902) Allée pendant une chute de Neige (1906) Amor & Psyché (1907) La Mort de Marat II (1907) Le Port de Lübeck 1907) Travaux Printanniers sur l'archipel (1910) Homme sur la Plage (1916) Jeune Fille (1917) Akt am Korbstuhl (1919-21) ( si ce titre parle à quelqu'un...!) Nuit étoilée (1923-24) Maison Rouge & Sapins (1927)
Dernière édition par Burlybunch le Mer 14 Jan 2009 - 17:57, édité 1 fois | |
| | | animal Tête de Peluche
Messages : 31548 Inscription le : 12/05/2007 Age : 43 Localisation : Tours
| Sujet: Re: Edvard Munch [peintre/graveur] Mar 13 Jan 2009 - 22:01 | |
| tu tombes au bon moment (pour moi) avec tes paysages ! - Burlybunch a écrit:
Vague (1889)
Le retour de la barque (1890)
c'est royal ce que tu nous donnes sur ce fil Burly (et tu continues, c'est admirable !) | |
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| Sujet: Re: Edvard Munch [peintre/graveur] | |
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| | | | Edvard Munch [peintre/graveur] | |
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