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| Louis Calaferte | |
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Auteur | Message |
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Queenie ...
Messages : 22891 Inscription le : 02/02/2007 Age : 44 Localisation : Un peu plus loin.
| Sujet: Re: Louis Calaferte Dim 1 Fév 2009 - 11:31 | |
| - chrisdusud a écrit:
- Marko a écrit:
- Queenie a écrit:
(J'hésite à mettre un truc sexuel... peut être en spoiler... vu le débat qu'il y a eu sur Apollinaire...) Manquerait plus que ça! Envoie! Ca ne devrait pas être difficile à trouver... Quand ça suinte le sexe, ça donne ça : - Spoiler:
« Ouvre la porte au premier coup de sonnette malgré l'heure tardive. Ne pose pas une seule question. Un peu alanguie au début, mais chaude par en dessous. Comme il faut. Chair de langouste. Nue. En robe de chambre à pois. Referme elle-même la porte sur nous rapidement et se bourre contre moi. Du haut en bas. Contre mes cuisses. Moulée. Bien à la hauteur de mon sexe, un pan du peignoir écarté pour que je sente mieux la proéminence à travers l'épaisseur de mon pantalon. L'érection me vient en droite ligne du cervelet, ou je ne m'y connais pas. Elle murmure quelque chose d'indistinct. Bafouillé. Commence à me mouiller l'oreille de salive. En déroute. Broute. Racle ses ongles longs sur ma nuque. Glisse ses deux mains sur mes épaules. Dans le dos. Descend progressivement. Traîne. Sur les reins. Sur les fesses. Elle me pelote les cuisses, en pinçant, prend la chair sous l'étoffe, à poignée. Arrive enfin à destination sans se presser. Sûre d'elle-même. S'y introduit. Deux doigts d'abord. La main entière. Cherche. Eprouve quelques menues difficultés à me le sortir par l'ouverture du slip. Et s'effondre. A genoux. D'un bloc. Là. Sur le carrelage rouge et noir du vestibule. A côté du porte-parapluies en cuivre bien astiqué. Rutilant. Elle me branle en douceur l'espace d'une seconde. Le tient ensuite sous ses yeux. Silencieuse. Médusée. L'examine de près comme une curiosité d'antiquaire. Lui parle. Incompréhensible. Toujours dans son hollandais natal. Pose brusquement sur la petite fente deux ou trois baisers vifs, primesautiers. L'écarte. Y glisse l'extrême point de sa langue. L'appuie. Elle va aussi chercher les couilles qui sont restées en arrière. Les tient si légèrement dans le creux de sa paume, comme si on venait de lui confier un oisillon frileux. Presse les deux boules entre ses doigts, pour les distinguer. Les soupèse. Griffe doucement la peau qui durcit. Mord au fil des dents. Coupure de velours. Passe sa langue humide. Chaude. Dessus et autour et dans la ligne creuse de la jointure des cuisses, de chaque côté. Fait même une tentative pour pousser plus avant. Les vêtements la gênent. Sursaute. Traversée par un spasme de tout le corps. Emet un son rauque. Du fond de la gorge. Et, comme n'y tenant plus, possédée, elle happe ce sexe de sa bouche grande ouverte. Se l'enfonce aussi loin qu'elle peut. C'est la moiteur de la grotte marécageuse. Je sens distinctement le fond de son palais. La chute de la voûte, et quelque chose comme une limace qui remue au bout. Elle le garde. Empaqueté. Gloutonne. De ma hauteur je ne vois que la ventouse charnue de ses lèvres arrondies autour de ce qui reste de sexe qu'elle n'a pu engloutir. Elle a les yeux fermés. J'avance un peu. J'entre. Un centimètre à peine. Elle me remercie de cette heureuse initiative par un grognement de reconnaissance. Et puis, je ne sais comment elle fait aller sa langue en spirales lentes, comment elle s'y prend pour me déchirer à l'intérieur du canal, comment elle actionne ses joues à la façon d'une poire de caoutchouc, la salive s'accumule, mousse, bouillon houleux, je tangue sur mes pieds, bascule au-dessus du vide des grands sommets nerveux, je me rattrape à ses cheveux du bout des doigts, c'est un mal lancinant, une flèche glacée qui me transperce, le sperme se déclenche, loin, du fond du puits artésien noirâtre où un nid de scorpions en débandade piquent au hasard autour d'eux, lumières rose bonbon d'une grande ville renversée comme une coupe de champagne sous le séisme imprévisible, picotement dasn les yeux, dans les nerfs, les nervures, les ramures, les branchages secondaires, fusées flashs d'illuminations planétaires, le sol voltige, vacille. Un. Deux. Trois coups de bélier ensoleillés sur la masse de la rétine. L'éjaculation arrive comme une vague. De partout à la fois. Afflue. Des jambes. De derrière les genoux. Des dents. Des tempes. Du coeur. De la pointe du menton. Cyclone pinéal avec broderies sonores de marteaux-pilons, de cymbales et de cuivres stridents, et je lui lâche dans le gosier sans pouvoir me réprimer une de ces longues décharges condensées, onctueuses, qui entraînent avec elles des débris de cervelle. Campo ! Elle avale tout et se pourlèche. »
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| | | Mordicus Troll de Pastèque
Messages : 3262 Inscription le : 21/01/2008 Localisation : Blottie
| Sujet: Re: Louis Calaferte Dim 1 Fév 2009 - 11:50 | |
| La question à 10'000 pesos... Si je ne devais en lire qu'un ?
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| | | Marko Faune frénéclectique
Messages : 17930 Inscription le : 23/08/2008 Age : 56 Localisation : Lille
| Sujet: Re: Louis Calaferte Dim 1 Fév 2009 - 17:59 | |
| - Queenie a écrit:
Quand ça suinte le sexe, ça donne ça :
- Spoiler:
« Ouvre la porte au premier coup de sonnette malgré l'heure tardive. Ne pose pas une seule question. Un peu alanguie au début, mais chaude par en dessous. Comme il faut. Chair de langouste. Nue. En robe de chambre à pois. Referme elle-même la porte sur nous rapidement et se bourre contre moi. Du haut en bas. Contre mes cuisses. Moulée. Bien à la hauteur de mon sexe, un pan du peignoir écarté pour que je sente mieux la proéminence à travers l'épaisseur de mon pantalon. L'érection me vient en droite ligne du cervelet, ou je ne m'y connais pas. Elle murmure quelque chose d'indistinct. Bafouillé. Commence à me mouiller l'oreille de salive. En déroute. Broute. Racle ses ongles longs sur ma nuque. Glisse ses deux mains sur mes épaules. Dans le dos. Descend progressivement. Traîne. Sur les reins. Sur les fesses. Elle me pelote les cuisses, en pinçant, prend la chair sous l'étoffe, à poignée. Arrive enfin à destination sans se presser. Sûre d'elle-même. S'y introduit. Deux doigts d'abord. La main entière. Cherche. Eprouve quelques menues difficultés à me le sortir par l'ouverture du slip. Et s'effondre. A genoux. D'un bloc. Là. Sur le carrelage rouge et noir du vestibule. A côté du porte-parapluies en cuivre bien astiqué. Rutilant. Elle me branle en douceur l'espace d'une seconde. Le tient ensuite sous ses yeux. Silencieuse. Médusée. L'examine de près comme une curiosité d'antiquaire. Lui parle. Incompréhensible. Toujours dans son hollandais natal. Pose brusquement sur la petite fente deux ou trois baisers vifs, primesautiers. L'écarte. Y glisse l'extrême point de sa langue. L'appuie. Elle va aussi chercher les couilles qui sont restées en arrière. Les tient si légèrement dans le creux de sa paume, comme si on venait de lui confier un oisillon frileux. Presse les deux boules entre ses doigts, pour les distinguer. Les soupèse. Griffe doucement la peau qui durcit. Mord au fil des dents. Coupure de velours. Passe sa langue humide. Chaude. Dessus et autour et dans la ligne creuse de la jointure des cuisses, de chaque côté. Fait même une tentative pour pousser plus avant. Les vêtements la gênent. Sursaute. Traversée par un spasme de tout le corps. Emet un son rauque. Du fond de la gorge. Et, comme n'y tenant plus, possédée, elle happe ce sexe de sa bouche grande ouverte. Se l'enfonce aussi loin qu'elle peut. C'est la moiteur de la grotte marécageuse. Je sens distinctement le fond de son palais. La chute de la voûte, et quelque chose comme une limace qui remue au bout. Elle le garde. Empaqueté. Gloutonne. De ma hauteur je ne vois que la ventouse charnue de ses lèvres arrondies autour de ce qui reste de sexe qu'elle n'a pu engloutir. Elle a les yeux fermés. J'avance un peu. J'entre. Un centimètre à peine. Elle me remercie de cette heureuse initiative par un grognement de reconnaissance. Et puis, je ne sais comment elle fait aller sa langue en spirales lentes, comment elle s'y prend pour me déchirer à l'intérieur du canal, comment elle actionne ses joues à la façon d'une poire de caoutchouc, la salive s'accumule, mousse, bouillon houleux, je tangue sur mes pieds, bascule au-dessus du vide des grands sommets nerveux, je me rattrape à ses cheveux du bout des doigts, c'est un mal lancinant, une flèche glacée qui me transperce, le sperme se déclenche, loin, du fond du puits artésien noirâtre où un nid de scorpions en débandade piquent au hasard autour d'eux, lumières rose bonbon d'une grande ville renversée comme une coupe de champagne sous le séisme imprévisible, picotement dasn les yeux, dans les nerfs, les nervures, les ramures, les branchages secondaires, fusées flashs d'illuminations planétaires, le sol voltige, vacille. Un. Deux. Trois coups de bélier ensoleillés sur la masse de la rétine. L'éjaculation arrive comme une vague. De partout à la fois. Afflue. Des jambes. De derrière les genoux. Des dents. Des tempes. Du coeur. De la pointe du menton. Cyclone pinéal avec broderies sonores de marteaux-pilons, de cymbales et de cuivres stridents, et je lui lâche dans le gosier sans pouvoir me réprimer une de ces longues décharges condensées, onctueuses, qui entraînent avec elles des débris de cervelle. Campo ! Elle avale tout et se pourlèche. »
Très "anatomique" mais efficace! | |
| | | Queenie ...
Messages : 22891 Inscription le : 02/02/2007 Age : 44 Localisation : Un peu plus loin.
| Sujet: Re: Louis Calaferte Dim 1 Fév 2009 - 18:33 | |
| - Mordicus a écrit:
La question à 10'000 pesos... Si je ne devais en lire qu'un ? Elle est vraiment à 10.000 pesos. Chris n'a lu que Septentrion (n'ose pas en lire d'autre de peur d'être déçue) Marko est seulement en cours de lecture d'un truc "sur la guerre" je crois. Et moi je suis en cours de Septentrion. Si ça peut aider, éventuellement : Septentrion a l'air d'être SON œuvre. | |
| | | Queenie ...
Messages : 22891 Inscription le : 02/02/2007 Age : 44 Localisation : Un peu plus loin.
| Sujet: Re: Louis Calaferte Dim 1 Fév 2009 - 18:34 | |
| - Marko a écrit:
- Queenie a écrit:
Quand ça suinte le sexe, ça donne ça :
- Spoiler:
« Ouvre la porte au premier coup de sonnette malgré l'heure tardive. Ne pose pas une seule question. Un peu alanguie au début, mais chaude par en dessous. Comme il faut. Chair de langouste. Nue. En robe de chambre à pois. Referme elle-même la porte sur nous rapidement et se bourre contre moi. Du haut en bas. Contre mes cuisses. Moulée. Bien à la hauteur de mon sexe, un pan du peignoir écarté pour que je sente mieux la proéminence à travers l'épaisseur de mon pantalon. L'érection me vient en droite ligne du cervelet, ou je ne m'y connais pas. Elle murmure quelque chose d'indistinct. Bafouillé. Commence à me mouiller l'oreille de salive. En déroute. Broute. Racle ses ongles longs sur ma nuque. Glisse ses deux mains sur mes épaules. Dans le dos. Descend progressivement. Traîne. Sur les reins. Sur les fesses. Elle me pelote les cuisses, en pinçant, prend la chair sous l'étoffe, à poignée. Arrive enfin à destination sans se presser. Sûre d'elle-même. S'y introduit. Deux doigts d'abord. La main entière. Cherche. Eprouve quelques menues difficultés à me le sortir par l'ouverture du slip. Et s'effondre. A genoux. D'un bloc. Là. Sur le carrelage rouge et noir du vestibule. A côté du porte-parapluies en cuivre bien astiqué. Rutilant. Elle me branle en douceur l'espace d'une seconde. Le tient ensuite sous ses yeux. Silencieuse. Médusée. L'examine de près comme une curiosité d'antiquaire. Lui parle. Incompréhensible. Toujours dans son hollandais natal. Pose brusquement sur la petite fente deux ou trois baisers vifs, primesautiers. L'écarte. Y glisse l'extrême point de sa langue. L'appuie. Elle va aussi chercher les couilles qui sont restées en arrière. Les tient si légèrement dans le creux de sa paume, comme si on venait de lui confier un oisillon frileux. Presse les deux boules entre ses doigts, pour les distinguer. Les soupèse. Griffe doucement la peau qui durcit. Mord au fil des dents. Coupure de velours. Passe sa langue humide. Chaude. Dessus et autour et dans la ligne creuse de la jointure des cuisses, de chaque côté. Fait même une tentative pour pousser plus avant. Les vêtements la gênent. Sursaute. Traversée par un spasme de tout le corps. Emet un son rauque. Du fond de la gorge. Et, comme n'y tenant plus, possédée, elle happe ce sexe de sa bouche grande ouverte. Se l'enfonce aussi loin qu'elle peut. C'est la moiteur de la grotte marécageuse. Je sens distinctement le fond de son palais. La chute de la voûte, et quelque chose comme une limace qui remue au bout. Elle le garde. Empaqueté. Gloutonne. De ma hauteur je ne vois que la ventouse charnue de ses lèvres arrondies autour de ce qui reste de sexe qu'elle n'a pu engloutir. Elle a les yeux fermés. J'avance un peu. J'entre. Un centimètre à peine. Elle me remercie de cette heureuse initiative par un grognement de reconnaissance. Et puis, je ne sais comment elle fait aller sa langue en spirales lentes, comment elle s'y prend pour me déchirer à l'intérieur du canal, comment elle actionne ses joues à la façon d'une poire de caoutchouc, la salive s'accumule, mousse, bouillon houleux, je tangue sur mes pieds, bascule au-dessus du vide des grands sommets nerveux, je me rattrape à ses cheveux du bout des doigts, c'est un mal lancinant, une flèche glacée qui me transperce, le sperme se déclenche, loin, du fond du puits artésien noirâtre où un nid de scorpions en débandade piquent au hasard autour d'eux, lumières rose bonbon d'une grande ville renversée comme une coupe de champagne sous le séisme imprévisible, picotement dasn les yeux, dans les nerfs, les nervures, les ramures, les branchages secondaires, fusées flashs d'illuminations planétaires, le sol voltige, vacille. Un. Deux. Trois coups de bélier ensoleillés sur la masse de la rétine. L'éjaculation arrive comme une vague. De partout à la fois. Afflue. Des jambes. De derrière les genoux. Des dents. Des tempes. Du coeur. De la pointe du menton. Cyclone pinéal avec broderies sonores de marteaux-pilons, de cymbales et de cuivres stridents, et je lui lâche dans le gosier sans pouvoir me réprimer une de ces longues décharges condensées, onctueuses, qui entraînent avec elles des débris de cervelle. Campo ! Elle avale tout et se pourlèche. »
Très "anatomique" mais efficace! Oui, et les 150.200 premières pages sont beaucoup "anatomiques", mais y'a une écriture, et des trucs toujours en plus derrière tout ça. Là j'entame la "seconde partie" où le gars est fauché et à la rue, Céline n'est pas loin. | |
| | | Marko Faune frénéclectique
Messages : 17930 Inscription le : 23/08/2008 Age : 56 Localisation : Lille
| Sujet: Re: Louis Calaferte Dim 1 Fév 2009 - 18:41 | |
| - Queenie a écrit:
Là j'entame la "seconde partie" où le gars est fauché et à la rue, Céline n'est pas loin. C'est l'impression que ça donne! Celui que je lis en ce moment "C'est la guerre" est pour l'instant plus soft mais excellent! | |
| | | Mordicus Troll de Pastèque
Messages : 3262 Inscription le : 21/01/2008 Localisation : Blottie
| Sujet: Re: Louis Calaferte Dim 1 Fév 2009 - 20:41 | |
| - Queenie a écrit:
- Elle est vraiment à 10.000 pesos.
Chris n'a lu que Septentrion (n'ose pas en lire d'autre de peur d'être déçue) Marko est seulement en cours de lecture d'un truc "sur la guerre" je crois. Et moi je suis en cours de Septentrion.
Si ça peut aider, éventuellement : Septentrion a l'air d'être SON œuvre. Ben ouais. Je bluffe jamais sur les mises de départ.
...
Je tâcherai de guetter Septentrion pour le côté "SON" oeuvre comme tu dis. | |
| | | chrisdusud Sage de la littérature
Messages : 2076 Inscription le : 20/04/2008 Age : 56 Localisation : Corse
| Sujet: Re: Louis Calaferte Dim 1 Fév 2009 - 20:45 | |
| Rire ! Tu y es allée franchement Queenie! !
Mais c'est très bien : OUi, le sexe est présent dans ce livre. Il a d'ailleurs été taxé de pornographique(raison de sa censure) et je crois même que sur Amazon il était classé dans la rubrique érotique (sont plus pudiques chez Amazon).
Mais c'est un fond comme un fond sonore. Le relief n'est pas dans ces scènes, il est ailleurs. C'est très cru mais il n'y a pas de provoc. Ce n'est pas un livre porno. | |
| | | Queenie ...
Messages : 22891 Inscription le : 02/02/2007 Age : 44 Localisation : Un peu plus loin.
| Sujet: Re: Louis Calaferte Dim 1 Fév 2009 - 21:08 | |
| - Mordicus a écrit:
- Queenie a écrit:
- Elle est vraiment à 10.000 pesos.
Chris n'a lu que Septentrion (n'ose pas en lire d'autre de peur d'être déçue) Marko est seulement en cours de lecture d'un truc "sur la guerre" je crois. Et moi je suis en cours de Septentrion.
Si ça peut aider, éventuellement : Septentrion a l'air d'être SON œuvre. Ben ouais. Je bluffe jamais sur les mises de départ.
...
Je tâcherai de guetter Septentrion pour le côté "SON" oeuvre comme tu dis. Comment je la récupère ma récompense de 10.000 pesos ? - Chrisdusud a écrit:
- C'est très cru mais il n'y a pas de provoc. Ce n'est pas un livre porno.
Je confirme, rien à voir avec la littérature érotico-porno des librairies, qui sont souvent bien frileux, bien caricaturaux aussi, même s'ils peuvent être efficaces. | |
| | | Mordicus Troll de Pastèque
Messages : 3262 Inscription le : 21/01/2008 Localisation : Blottie
| Sujet: Re: Louis Calaferte Dim 1 Fév 2009 - 21:24 | |
| - Queenie a écrit:
-
Comment je la récupère ma récompense de 10.000 pesos ? Chaque chose en son temps Pequeña niña. | |
| | | Mordicus Troll de Pastèque
Messages : 3262 Inscription le : 21/01/2008 Localisation : Blottie
| Sujet: Re: Louis Calaferte Lun 2 Fév 2009 - 18:37 | |
| Bon. J'ai pas acheté Septentrion, la couverture était vraiment trop moche. (Bhou la superficielle).
On va essayer dans une autre édition.
| |
| | | chrisdusud Sage de la littérature
Messages : 2076 Inscription le : 20/04/2008 Age : 56 Localisation : Corse
| Sujet: Re: Louis Calaferte Lun 2 Fév 2009 - 19:22 | |
| - Mordicus a écrit:
Bon. J'ai pas acheté Septentrion, la couverture était vraiment trop moche. (Bhou la superficielle).
On va essayer dans une autre édition. Ne te trompe pas , il y a un Septentrion de Jean Raspail qui a peut être une très très belle couverture mais ça n'a strictement rien à voir ... | |
| | | Mordicus Troll de Pastèque
Messages : 3262 Inscription le : 21/01/2008 Localisation : Blottie
| | | | kenavo Zen Littéraire
Messages : 63288 Inscription le : 08/11/2007
| Sujet: Re: Louis Calaferte Lun 2 Fév 2009 - 19:49 | |
| - Mordicus a écrit:
- MocheMoche.
vraiment pas trop.. mais si le contenu vaut la lecture.. c'est mieux que vice-versa - je l'ai eu déjà et à ce moment 20€ sont trop cher pour une belle couverture et un contenu moche | |
| | | Queenie ...
Messages : 22891 Inscription le : 02/02/2007 Age : 44 Localisation : Un peu plus loin.
| Sujet: Re: Louis Calaferte Lun 2 Fév 2009 - 20:19 | |
| Je m'auto-cite pour plussoyer Mordicus. - Queenie a écrit:
- (Dommage qu'avec un nom pareil, un titre pareil, une couv' aussi moche, ce livre me soit passé à côté aussi longtemps... et merci Chris d'avoir insisté, je sens que je tiens là du "Grand")
C'est vraiment nul une couverture pareille... | |
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| Sujet: Re: Louis Calaferte | |
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| | | | Louis Calaferte | |
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