| Parfum de livres… parfum d’ailleurs Littérature, forum littéraire : passion, imaginaire, partage et liberté. Ce forum livre l’émotion littéraire. Parlez d’écrivains, du plaisir livres, de littérature : romans, poèmes…ou d’arts… |
|
| Paolo et Vittorio Taviani | |
|
+5kenavo eXPie Babelle animal Bellonzo 9 participants | |
Auteur | Message |
---|
Bellonzo Sage de la littérature
Messages : 1775 Inscription le : 22/07/2008 Age : 75 Localisation : Picardie
| Sujet: Re: Paolo et Vittorio Taviani Dim 16 Nov 2008 - 11:05 | |
| Désolé Nezumi je n'ai jamais vu Le pré.Outre ceux dont j'ai déjà parlé dur ce fil j'ai vu La nuit de San Lorenzo,Good mornong Babilonia,Fiorile,Kaos 1 et 2,Les affinités électives(très décevant),Le soleil même la nuit.Parmi tous leurs films trois adaptations très libres de TolstoÏ et deux de Pirandello. | |
| | | Invité Invité
| Sujet: Re: Paolo et Vittorio Taviani Dim 16 Nov 2008 - 11:08 | |
| Oh Fiorile est magnifique! Pas une chronique sociale, mais une histoire romantique en diable (amour et malédiction), plus des paysages sublimes. |
| | | Bellonzo Sage de la littérature
Messages : 1775 Inscription le : 22/07/2008 Age : 75 Localisation : Picardie
| Sujet: Re: Paolo et Vittorio Taviani Dim 16 Nov 2008 - 11:08 | |
| Rendez-vous au Cerclage pour le Tavianithon,tentative de réhabilitation de la famille toscane.Au fait Bellonzo est mon pseudo,mon vrai nom c'est Taviani.No,non é véro amici. | |
| | | Marko Faune frénéclectique
Messages : 17930 Inscription le : 23/08/2008 Age : 56 Localisation : Lille
| Sujet: Re: Paolo et Vittorio Taviani Dim 16 Nov 2008 - 11:35 | |
| Je me rends compte que j'ai vu Le Soleil même la nuit dont j'avais aimé le travail plastique et l'histoire de cet aristocrate (Julian Sands) qui devient ermite par dépit amoureux. Il y avait aussi Charlotte Gainsbourg.
Dernière édition par Marko le Mer 10 Déc 2008 - 11:18, édité 1 fois | |
| | | Queenie ...
Messages : 22891 Inscription le : 02/02/2007 Age : 44 Localisation : Un peu plus loin.
| Sujet: Re: Paolo et Vittorio Taviani Mer 10 Déc 2008 - 11:17 | |
| Grâce à Bellonzo, voilà que j'aborde l'univers des Taviani avec Kaos.
4 histoires autour de la relation mère-fils, autour des secrets du passé qui se dévoilent et bouleversent le présent, sans réellement le changer. Mais juste pour comprendre qu'il faut "faire avec".
Poétique, "rugueux", c'est un univers un peu loin de moi, même si j'en reconnais les qualités. Les acteurs notamment sont fabuleux, et les histoires très troublantes. Les paysages, si blancs, si désolés, une nature qui n'est pas vraiment hostile mais qui n'est pas non plus ni magnifique, ni apaisante, ni confortable, ni "pratique" pour l'homme. C'est sec, ça semble froid, ça gratte, ça crisse, ça casse, et parfois ça fait vraiment mal (lorsque la femme fuit et tente de boire le jus d'un cactus, et qu'avant de boire elle se fait une profonde entaille - la lune qui peut rendre l'homme fou...)
Il y a aussi une sorte de cruauté latente des hommes, qui surgit au grand jour par touches sèches et brutales. Des images très fortes (les hommes qui "jouent" avec les têtes de leurs victimes - ceux qui jettent ses propres œufs sur le corbeau...)
Et pourtant je ne suis pas réellement parvenue à "rentrer dedans". Je ne sais pas trop pourquoi. C'est un peu désuet. ça m'a fait un peu la même impression que lorsque j'ai lu un livre d'Hemingway. Je vois les qualités, je comprends les trucs, mais ça "fonctionne" pas. | |
| | | Bellonzo Sage de la littérature
Messages : 1775 Inscription le : 22/07/2008 Age : 75 Localisation : Picardie
| Sujet: Re: Paolo et Vittorio Taviani Mer 10 Déc 2008 - 19:58 | |
| Queenie - Citation :
- C'est un peu désuet.
Vraiment? | |
| | | Bellonzo Sage de la littérature
Messages : 1775 Inscription le : 22/07/2008 Age : 75 Localisation : Picardie
| Sujet: Re: Paolo et Vittorio Taviani Sam 3 Jan 2009 - 18:50 | |
| Scorpion mortel,ennui de même Quelques mots suffiront car,une fois n'est pas coutume,voici un film des Taviani qui ne m'a guère captivé.Datant de 1969 il s'agit de Sous le signe du Scorpion,une fable très pesante sur la société à travers la lutte de deux tribus sur une île volcanique.Passent,enfin j'ai cru comprendre,les ombres de Caïn et Abel,d'Ulysse,voire de Romulus et Rémus.Parabole sur le pouvoir,lecture marxisante très déshumanisée,c'est ce que j'appelle un pensum.Passe aussi mais je ne le sais que parce que j'ai lu un bouquin sur le cinéma des Taviani,le conflit entre Utopie et Conservation dont le vainqueur serait l'Histoire.Ce qui ne passe guère par contre c'est le temps,90 minutes qui m'ont paru plombées par le pire défaut du cinéma d'auteur,à savoir se croire obligé d'asséner le spectateur d'une très lourde dose de prétention philosophique.Moi qui suis un zélateur des frères je regrette cette aventure dans les îles,réalisée juste avant Saint Michel avait un coq dont je vous ai dit grand bien il y a peu.
Dernière édition par Bellonzo le Dim 4 Jan 2009 - 9:07, édité 1 fois | |
| | | Marko Faune frénéclectique
Messages : 17930 Inscription le : 23/08/2008 Age : 56 Localisation : Lille
| | | | Bellonzo Sage de la littérature
Messages : 1775 Inscription le : 22/07/2008 Age : 75 Localisation : Picardie
| Sujet: Re: Paolo et Vittorio Taviani Sam 21 Mar 2009 - 19:15 | |
| Perfection pirandello-tavianienneAu plus beau du cinéma...L'après-guerre,Pise,Toscane.Deux gamins de 15 et 16 ans découvrent au ciné-club universitaire Païsa de Roberto Rossellini.Paolo et Vittorio,inséparables frères,fils d'avocat,ne s'en remettront jamais,pour le plus grand plaisir des cinéphiles.En 54 premier court métrage San Miniato juillet 44,San Miniato,leur ville natale près de Florence,le plus bel endroit du monde.On comprend l'influence de la Renaissance,et aussi celle de la Résistance,la Toscane ayant été très en pointe contre le fascisme, dans l'oeuvre des Taviani.Puis rencontre à Rome avec le grand Joris Ivens qui influencera l'autre versant des Taviani. 1984.Après avoir été un peu médiatisé,Palme d'Or à Cannes pour Padre Padrone,lesTaviani mettent cap au Sud,vers la Sicile,leur deuxième terre d'élection.Ils veulent adapter l'univers du grand Pirandello à travers quelques-unes de ses Nouvelles pour un an,écrites en fait tout au long de sa vie.Attention,amateurs de cartes postales s'abstenir.La Sicile de Pirandello,transcendée par les frères,est une terre primordiale et solaire,apparition de forces ancestrales,théâtre d'une lutte pour la survie,manifestation violente de passions primaires, castes, classes, le tout avec déchaînement de forces telluriques et surnaturelles.Le très rude pays porte d'ailleurs le nom dialectal de Cavusu,le Chaos.Pirandello - Citation :
- :"Je suis un fils du Chaos,non pas allégoriquement, mais réellement,car je suis né dans une de nos campagnes située dans un bois touffu,que les habitants de Girgenti(Agrigente) appellent Cavusu."
Le prologue qui sera le fil rouge entre les quatre récits(cinq pour la version télé) est adapté du Corbeau de Mizzaro.L'oiseau,attrapé et tourmenté pas les bergers,est équipé d'une clochette et devient comme l'albatros baudelairien une source d'enchantement.Eternelle dualité de l'homme,du pire et du meilleur.Symbole de la hauteur mais aussi du Chaos qu'il domine le corbeau,soutenu par la magistrale partition de Nicola Piovani,nous emmène vers L'autre fils. Dans cette nouvelle les Taviani ont voulu la Sicile comme une sorte d'héritière corrompue de la Grèce antique,parcourue d'une ethnie sicilienne travesée par la tragédie.Mariagrazia écrit à ses deux fils en Amérique ou fait écrire plutôt.Aucune lettre en retour depuis 14 ans.Et non loin de la vieille femme,superbe de douleur,l'autre fils,le troisième,doux et gentil mais hélas,issu d'un viol de la soldatesque libérée par Garibaldi(effets collatéraux d'une révolution,ça arrive),et pour son malheur portrait craché de son père.La violence tient en quelques plans,écrasée de chaleur dans la ville en barbarie, inoubliable. Mal de lune est ue sombre histoire de lycanthropie,thème plutôt gothique,mais que les Taviani ancrent dans une Sicile mythologique et assez misogyne.La jeune épouse que la pleine lune semble libérer sexuellement,est incapable de venir en aide à son mari,brave garçon victime d'une malédiction d'enfance lors des moissons sous la lune.Il faut voir Sidora s'activer à son ménage en jouant des cuisses.Comme ce cinéma de la suggestion sait se faire haletant. Requiem met en scène des villageois qui veulent obtenir un cimetière car ils n'ont que le droit de trimer sur un arpent de terre mais pas celui d'y reposer en paix.Traité de façon presque burlesque avec un patriarche qui ressuscite puis attend placidement assis devant sa fosse bien gagnée, Requiem oppose le baron et sa famille,urbains,pas forcément antipathiques,mais d'un autre âge et les paysans hirsutes, dyonisiaques et finalement vainqueurs.Les frères Taviani ont un engagement classique en Italie,celui d'intellectuels influencés par le Néoréalisme et la Guerre.On aura compris leurs sympathies mais rien en Italie n'est si manichéen... Enfin j'ai une passion particulière pour l'épilogue Entretien avec la mère,cinématographiquement à couper le souffle.Omero Antonutti,acteur rare et fétiche des frères, Padre,Good morning Babilonia,La nuit de San Lorenzo.y incarne Luigi Pirandello lui-même,vieilissant, de retour sur les terrs du Chaos après des décennies,et qui retrouve la maison natale et le fantôme de sa mère.C'est de toute beauté,une réflexion sur la création littéraire,la mémoire et la maladie.Les Taviani ont retenu de Pirandello,tout au long du film et plus encore dans l'épilogue,la mélancolie et la sénescence,des maux précoces et structurels,inhérents peut-être à ce XXème Siècle en crise,avec des personnages proches d'une symbolique du tombeau,que les très grands Européens, Svevo, Joyce,Mann ont abordée à leur manière. Kaos,contes siciliens est un miroir,notre miroir,fait de solitude irréductible, d'éloignement dans le temps et l'espace,d'agonie d'une société médiévale. Kaos est une entrevue avec les ombres,mais les plus belles. Je ne fais jamais d'article aussi long.Souffrez l'exception car j'en considère le titre comme tout à fait justifié. | |
| | | Babelle Zen littéraire
Messages : 5065 Inscription le : 14/02/2007 Localisation : FSB
| Sujet: Re: Paolo et Vittorio Taviani Sam 21 Mar 2009 - 22:58 | |
| Padre padrone Palme d'or 1977. - Marko a écrit:
- Voilà une nouvelle plongée cinématographique qui m'attend! Mon seul souvenir des frères Taviani c'est une séance télé, en famille, de Padre Padrone quand j''étais enfant, et mon sentiment de malaise au début du film lorsque l'un des personnages s'accouple avec un poulet (ou un mouton je ne sais même plus) ! [une chèvre!] J'ai en tête quelques images fortes de ce film dont ce père tyrannique et une campagne toscane magnifique et âpre
Je me souviens de cette scène. J'avais une vingtaine d'année et elle m'a choquée aussi. Autant que le viol d'enfant dans le 1900 (Novecento) de Bernardo Bertolucci sorti en 1976. Je ne l'oublierai pas car je l'ai vu en salle à la sortie et je me souviens que certains ont quitté la salle à ce moment-là... Peu de gens, mais quand même. ça laisse des traces. C'est l'unique scène "difficile", pas longue, mais sa dureté donne l'impression qu'elle est trop longue, évidemment. Je pense qu'il faut zapper. Cependant Padre Padrone est tiré du roman autobiographique de Gavino Ledda (quelqu'un l'a lu?), dans lequel un berger de Sardaigne se détache de la tyrannie de son père afin de devenir linguiste et écrivain. L'écrivain Ledda raconte l'histoire de sa vie: c'est une révolte permanente contre l'oppression que son père exerce a son égard, chef de famille et donc du destin de ses membres. Padre Padrone fut le premier film a remporter la Palme d’Or et le Prix de la critique internationale. Sa sélection provoqua le premier scandale public (et peut-être la première tragédie) de l’histoire du festival de Cannes. Padre Padrone, tourné en 16mm, était destiné pour la télévision. Roberto Rossellini, une figure dominante du cinéma italien, malgré son âge avancé (71 ans), était à la tête du jury cannois. Rossellini était convaincu de la pertinence d’échanges entre le cinéma et la télévision, et n’hésitait pas pour dire le fond de sa pensée de façon agressive. La sélection d’un film à petit budget et destiné pour la télévision choquât nombre de membres du festival. Comme le note Mira Liehm dans son livre Passion and Defiance: «The pressures on Rossellini to reconsider the decision were enormous, but he held firm. Eventually, he appeared alone on the stage to present the award, as the festival’s president had decided to demonstrate his disapproval by his absence...Rossellini died of a heart attack a week later» - résumé de DVDclassik en Spoiler: - Spoiler:
Le père de Gavino (Omero Antonutti) fait irruption dans la petite école sarde où vient juste de commencer à étudier son fils âgé de 6 ans : il a besoin de le récupérer pour qu’il puisse l’aider à garder les moutons. Séparé de sa famille, exclu de la collectivité du village, dans la plus grande des solitudes, sous l’impitoyable tyrannie de son père qui le rosse à tout bout de champs, voici comment se déroule l’enfance de Gavino. Au fur et à mesure, il prend conscience qu’il restera sous la sinistre tutelle paternelle tant qu’il n’aura pas acquis les moyens de communiquer avec les autres. Avide d’échapper à sa condition, encore totalement illettré à 20 ans, il décide de partir pour l'Allemagne avec quelques camarades mais son père l’en empêche. Suite à de mauvaises conditions climatiques, l’oliveraie de la famille est totalement détruite par le gel. Le père décide de tout vendre et d’envoyer Gavino à l’armée. C'est là qu'il se met à étudier la langue italienne et les lettres classiques avec l’aide d’un compagnon d’uniforme (Nanni Moretti). De retour au pays, tout en aidant aux travaux des champs, Gavino continue de se cultiver pour se libérer du joug du ‘père-patron’ (padre padrone). La tension entre les deux hommes reste toujours aussi tendue et à la suite d'une violente dispute, Gavino se rebelle enfin. A force de persévérance, il devient professeur de linguistique mais ne s’exile pas pour autant, préférant assumer ses racines culturelles pour pouvoir faire profiter de son expérience aux autres enfants de sa condition.
Le roman s'inspirait de la mémoire authentique de Gavino : "l 'educazione di un pastore" PADRE PADRONE : L'éducation d'un berger sarde [1977], trad. de l'italien par Nino Franck , 240 pages sous couv. ill., 150 x 220 mm. Collection Témoins, Gallimard -memo. - Résumé Larousse.fr : - Spoiler:
Né dans une pauvre famille de Sardaigne, analphabète, Gavino Ledda est normalement voué à rester un berger méprisé, enfermé dans son dialecte local, au service d'un père tyrannique qui le fait trimer, le rosse et lui refuse toute instruction. Mais le déclic se produit lorsque Gavino rencontre deux garçons qui lui vendent, contre deux agneaux du père, un vieil accordéon. C'est en travaillant cet instrument qu'il sent s'éveiller en lui le besoin d'une autre existence. Avide de sortir de sa condition, Gavino tente sans succès d'émigrer en Allemagne, puis se résout à se porter volontaire pour le service militaire : là, un compagnon d'uniforme l'aide à étudier les lettres classiques. De retour en Sardaigne, Gavino fréquente l'université tout en continuant de travailler pour son père, contre lequel cependant il finit par se rebeller. Libéré, Gavino deviendra diplômé de linguistique, mais retournera en Sardaigne assumer les racines de la culture.
| |
| | | animal Tête de Peluche
Messages : 31548 Inscription le : 12/05/2007 Age : 43 Localisation : Tours
| Sujet: Re: Paolo et Vittorio Taviani Sam 20 Oct 2012 - 22:19 | |
| et un fil qui aura raison de revenir à la surface... César doit mourirLe film de détenus, longues peines ou perpétuité, qui vont jouer Jules César, de William Shakespeare. Les extraits de la représentation sont en couleurs et à d'infimes exceptions près le reste est en noir blanc. Ce n'est pas tout à fait un documentaire. Par contre les détenus sont de vrais détenus qui jouent vraiment les rôles de la pièce. La puissance de la représentation sur laquelle ouvre le film est frappante, intensité des voix et des présences. Ils ont tous l'air de "durs", certains sont épais, ils ne sont pas lisses, ils sont présents. Ils jouent mais ils existent en même temps. Dans la suite qui est un retour sur l'apprentissage et les répétitions tout se mélange. Le théâtre et la vie, ce qu'il en reste en détention, et Shakespeare et les hommes. Et c'est juste incroyable de ne pas savoir exactement quand le texte s'arrête et quand c'est la vie (même mise en scène, relativement, par le film). La langue se poursuit, elle est la même, et pour le peu que j'ai effleuré de Shakespeare c'est toute la vivacité et l'intensité, parfois déraisonnable, qui est sauvegardée, actualisée, appropriée, revendiquée ? Il y a quelque chose de viscéral dans les présences, le concret dévoilé par ce film méticuleusement construit autour de ces personnes et dans les espaces particuliers de la prison. Le mélange, la trame c'est très beau. | |
| | | Marko Faune frénéclectique
Messages : 17930 Inscription le : 23/08/2008 Age : 56 Localisation : Lille
| Sujet: Re: Paolo et Vittorio Taviani Sam 20 Oct 2012 - 23:11 | |
| J'hesitais mais je vais y aller du coup. | |
| | | animal Tête de Peluche
Messages : 31548 Inscription le : 12/05/2007 Age : 43 Localisation : Tours
| Sujet: Re: Paolo et Vittorio Taviani Sam 20 Oct 2012 - 23:19 | |
| je pense que tu y trouveras au moins des points d'intérêts. et suis curieux de ce que tu vas en trouver. | |
| | | coline Parfum livresque
Messages : 29369 Inscription le : 01/02/2007 Localisation : Moulins- Nord Auvergne
| Sujet: Re: Paolo et Vittorio Taviani Sam 20 Oct 2012 - 23:58 | |
| Encore un film que je n'aimerais pas rater...Théâtre... prison...théâtre en prison...Cela devrait me parler... | |
| | | animal Tête de Peluche
Messages : 31548 Inscription le : 12/05/2007 Age : 43 Localisation : Tours
| Sujet: Re: Paolo et Vittorio Taviani Dim 21 Oct 2012 - 9:00 | |
| L'ours d'or devrait pouvoir aider sinon il reste les possibilités de "mission ciné" : une ville un jour ou deux et un planning multi-séances affuté ? | |
| | | Contenu sponsorisé
| Sujet: Re: Paolo et Vittorio Taviani | |
| |
| | | | Paolo et Vittorio Taviani | |
|
Sujets similaires | |
|
| Permission de ce forum: | Vous ne pouvez pas répondre aux sujets dans ce forum
| |
| |
| |
|