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| Robert Louis Stevenson | |
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+13GrandGousierGuerin Sigismond Heyoka IzaBzh Queenie Aeriale shanidar Xavier C kenavo bix229 animal Marko Bellonzo 17 participants | |
Auteur | Message |
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Sigismond Agilité postale
Messages : 875 Inscription le : 25/03/2013
| Sujet: Re: Robert Louis Stevenson Dim 11 Aoû 2013 - 20:48 | |
| Le Maître de Ballantrae: - Bellonzo a écrit:
- Trois ans plus tard, 'Le Maître de Ballantrae' marque une charnière entre l'aventure enchantée et l'aventure dramatique.
- bix229 a écrit:
- j' ai lu -et relu- Le Maitre de Ballantrae qui est un chef d' oeuvre d' ambiguité et de
fascination. - bix229 a écrit:
- Et puis il y a Le Maitre de Ballantrae qui est un chef d' oeuvre psychologique au meme titre
que les livres de James. Un livre complexe, d' amour et de haine, plein de subtilité, de perversité aussi. D' ailleurs James et Stevenson se connaissaient et s' appréciaient et leur correspondance est, parait-il passionnante. Je crois que ce n'est pas par hasard que les deux protagonistes principaux du Maître de Ballantrae se prénomment "Henry" et "James". - Marko a écrit:
- Le Maître de Ballantrae est une histoire très cruelle et tragique dont le final en pleine nature accentue la sauvagerie de cette vengeance. J'en ai gardé un souvenir intense. On y voyage beaucoup et cet affrontement fraternel qui va jusqu'à la mort a du inspirer Ridely Scott lorsqu'il a réalisé son film "Les Duellistes" qui est d'abord une adaptation de Conrad (Le Duel).
Je ne sais pas. Disons que j'en doute un peu. Dans duellistes il n'y a pas de bon/méchant. Tandis que là on touche, à mon avis, à quelque chose qui hante de près Stevenson, voir Dr Jekill & Mr Hyde, le bien et le mal dans le même être, ou en l'occurrence dans deux êtres frères, issus de la même (noble) maison. Les deux rejetons d'un seul père. - bix229 a écrit:
- Il m' est arrivé d' imaginer qu' à travers cette attirance morbide, d' amour et de répulsion il y avait peut etre une attirance incestueuse du narrateur pour son frère...
Je suis étonné qu' aucun critique ne l' ait pensé... Je ne sais pas. Sans aller jusque là, ce roman vérifie encore l'extrême faiblesse de peinture des caractères et personnages féminins, une constante dans son oeuvre. 1745. Une pièce de monnaie décide du sort de deux frères nobles. A l'un (James) le clan Jacobites des Stuart de "Bonnie Prince Charlie", dont l'épopée se terminera à la très célèbre bataille de Culloden, bien connue de l'Histoire pour être la dernière bataille à s'être déroulée entièrement (c'est-à-dire avec les deux protagonistes) sur la terre de Grande-Bretagne, et pour sceller définitivement (et jusqu'à nos jours) l'inféodation de l'Ecosse à la Couronne britannique et au gouvernement de Londres. A l'autre (Henry) le nom, le titre nobiliaire, et le clan des futurs vainqueurs. Sous la plume du narrateur, Mackellar, homme de confiance de la maison et de coeur comme de raison dans le clan d'Henry, nous sommes transportés d'aventures en extorsions de fonds familiaux, ballotés d'un démon à face d'ange (James) en un juste impopulaire jusqu'à la détestation (Henry), passant par moult tensions, rapports de force, affrontements psychologiques comme physiques. Transportés de château de bord de sound environné de croquants, contrebandiers et gens de peu en champs de batailles, fuites éperdues, France, Amérique du nord, Indes, etc... Stevenson ? Un des plus grands noms du roman d'aventure et un des fondateurs, au XIXème, du roman psychologique, créateur d'un genre qui fit et fait toujours florès (beaucoup trop, à mon goût, mais c'est une autre histoire), les histoires de pirates, en outre écrivain apprécié des gens de mer même si là n'est pas l'essentiel de son oeuvre (comme Chateaubriand, par exemple, pour un cas similaire). Nous avons toutes, absolument toutes les facettes de la maîtrise reconnue de Stevenson dans ces genres-là dans ce seul ouvrage. Le final est, littéralement et dans tous les sens, fantastique. On décèlera sans aucune difficulté des traces de romantisme et de naturalisme dans la verve du Maître Ecossais: Comme une fidélité aux plus grands noms de la littérature écossaise, peut-être ? Du thrill aussi, allié à un fine construction, et comme toujours dans son oeuvre romanesque le sens de la narration: Stevenson est un conteur. | |
| | | Heyoka Zen littéraire
Messages : 5026 Inscription le : 16/02/2013 Age : 36 Localisation : Suède
| Sujet: Re: Robert Louis Stevenson Dim 11 Aoû 2013 - 20:52 | |
| Je l'avais déjà dans mon collimateur celui-là et ton commentaire m'encourage en ce sens. | |
| | | Queenie ...
Messages : 22891 Inscription le : 02/02/2007 Age : 44 Localisation : Un peu plus loin.
| Sujet: Re: Robert Louis Stevenson Mar 27 Aoû 2013 - 12:32 | |
| L'île au trésor. Livre d'aventures, de pirates, de grande mer, de gros navire, de houle, de perroquet, de jambe de bois. Tous les ingrédients de ce que l'on attend d'une histoire de chasse au trésor et de piraterie sont dans le livre de Stevenson. Pas d’embrassement à essayer de faire plus psychologique, moral ou "intelligent" que ce qu'il se doit d'être : un roman de divertissement. Lectrice accrochée aux pages comme le moussaillon au grand mât, au grès des marées, des vagues, du vent, je me suis laissée complètement bercée par l'histoire racontée par Stevenson. Plein de rebondissements, impossible de s'ennuyer. Évidemment, il y a du mystère, de la manipulation, des combats, des états de sièges, un pavillon noir, un squelette, plein de pièces scintillantes. Beaucoup d'humour, et énormément de charme dans les personnages. A regretter les morts, à aimer encore plus fort les vivants. On est au cœur de l'action, et on tourne les pages, vite très vite. Très chouette ! | |
| | | animal Tête de Peluche
Messages : 31548 Inscription le : 12/05/2007 Age : 43 Localisation : Tours
| Sujet: Re: Robert Louis Stevenson Mar 27 Aoû 2013 - 12:56 | |
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| | | GrandGousierGuerin Sage de la littérature
Messages : 2669 Inscription le : 02/03/2013
| Sujet: Re: Robert Louis Stevenson Mar 27 Aoû 2013 - 19:19 | |
| Stevenson serait excellent à lire le 19 septembre ! Mais pourquoi donc ... Mais enfin ... C'est la journée internationale du parler pirate | |
| | | Queenie ...
Messages : 22891 Inscription le : 02/02/2007 Age : 44 Localisation : Un peu plus loin.
| Sujet: Re: Robert Louis Stevenson Mer 28 Aoû 2013 - 12:08 | |
| Défi pour le Panda (en plus ça peut lire en une journée, facile !) ! | |
| | | animal Tête de Peluche
Messages : 31548 Inscription le : 12/05/2007 Age : 43 Localisation : Tours
| Sujet: Re: Robert Louis Stevenson Mer 28 Aoû 2013 - 12:58 | |
| je travaille le 19. (et c'est Notre aventure aux Samoa que j'ai de côté). | |
| | | Queenie ...
Messages : 22891 Inscription le : 02/02/2007 Age : 44 Localisation : Un peu plus loin.
| Sujet: Re: Robert Louis Stevenson Mer 28 Aoû 2013 - 13:02 | |
| Mais. Arrêtes. Le travail Snul ! | |
| | | bix229 Parfum livresque
Messages : 24639 Inscription le : 24/11/2007 Localisation : Lauragais (France)
| Sujet: Re: Robert Louis Stevenson Mer 28 Aoû 2013 - 16:13 | |
| S' il y a une lecture commune de Stevenson -et meme sans !-, je recommande Ceux de Falesa, qui est à coup sur l' un des trois ou quatre grands livres de l' auteur. Et dont on parle assez rarement. Et qui grace à Le Bris a retrouvé l' intégralité de son texte. Et quel texte ! | |
| | | animal Tête de Peluche
Messages : 31548 Inscription le : 12/05/2007 Age : 43 Localisation : Tours
| Sujet: Re: Robert Louis Stevenson Dim 17 Nov 2013 - 20:42 | |
| Notre aventure aux Samoa de Fanny et R.L. Stevenson Le journal de Fanny et des lettres de Louis pour raconter les dernières années de l'auteur aux Samoa à Vailima. D'abord presque une cabane pendant que la grande maison est construite, des plantations avec ce qui vient et ce qu'on fait venir, des échanges, des cadeaux. Louis écrit et est la figure publique de la famille pendant que Fanny tient, motive et organise l'implantation et le ravitaillement. Rapidement leur main d'œuvre est presque exclusivement samoane ou étrangère mais ni européenne ni américaine. Une volonté de fer et une attention toujours vive pour la nature et pour ces peuples déracinés ou en voie de déracinement. Un semblant d'agacement devant les aléas et les manières compliquées de leur personnel mais surtout une grande curiosité, un attachement et une perméabilité à leur vie qui fait que la famille, bon gré mal gré c'est bel et bien tout ce petit monde avec les histoires de chacun. Rocambolesque, exotique, aventureux ça l'est assurément. On va de stupéfaction en stupéfaction et de ravissement en ravissement. L'admiration et la sympathie naissent spontanément devant cette entreprise très personnelle qui vise à vivre autrement en espérant toujours que les santés respectives se maintiennent ce qui n'est pas évident devant l'ampleur de la tâche et le climat difficile. On vit aussi, impuissants (aussi), les catastrophes humaines et politiques de l'administration blanche (partagée entre allemands, anglais et américains) pour ce bout du monde, avec des chefs réduits à rien et poussés les uns contre les autres en plus de traitements indignes pour les populations locales comme pour les boys noirs importés pour travailler dans les plantations et s'échappant parfois pour vivre cachés. Une très grande aventure, dans une édition encore une fois très bien présentée chez Phébus (avec ce qu'il faut de rappels sur leur histoire et l'histoire des Samoa à cet instant). Rien d'anecdotique, fascinant à plus d'un titre et ne faisant que rendre un peu plus précieuses les histoires de ce "raconteur d'histoires". Les de cette compagne forte et déterminée ne sont pas loin (critiques incluses) de sa grande aventure et de ses émancipations. On découvre aussi sa volonté propre et ses gestes spontanés pour secouer quelques convenances et habitudes qui ne lui vont pas du tout. Une vie autre, hybride nourrie de plusieurs traditions mais visant ses propres solutions et vivant ses propres aspirations. C'est une immense histoire et le témoignage marquant d'un caractère résolu et sensible. Ça ne va pas s'oublier de si tôt ! | |
| | | Sigismond Agilité postale
Messages : 875 Inscription le : 25/03/2013
| Sujet: Re: Robert Louis Stevenson Dim 1 Déc 2013 - 8:48 | |
| Les trafiquants d'épaves (1892) (NB: titre parfois mis au singulier, selon les traductions: "le trafiquant d'épaves"). Titre original: the wrecker. Ce qui signifie littéralement le brise-tout, le brise-fer. Mais surtout nom élaboré d'après le mot anglais qui correspond à épave: wreck. Dès la page de garde, une curiosité: "traduit de l'américain par Anne-Marie Hertz". En fait, il est écrit au "je" et le personnage principal est Loudon Dodd, américain. Et aussi, il fait partie des deux ouvrages de Stevenson composés sur la fin de sa vie, malade, et écrits à quatre mains avec son beau-fils, Lloyd Osbourne (l'autre livre ainsi co-composé est le creux de la vague). Et Lloyd Osbourne, le fils de Fanny, est bien sûr américain. Mais Stevenson se réservait toujours la dernière main sous ce qui devait être publié sous son nom. Le cas est différent pour un mort encombrant, que le duo fera paraître sous leur double signature. Beaucoup de souffle, d'action, pas mal d'humour et, bien entendu, de l'aventure et du suspense comme vous vous y attendez certainement. Quelques réminiscences, ou emprunts à la vie de Stevenson lui-même. Ainsi le père de Loudon doit quelques traits à Thomas, le père de Stevenson. Les descriptions du Paris "bohème" et du Barbizon des peintres proviennent des visites que Stevenson fit à son cousin Bob, peintre installé à Paris dans l'atelier de Carolus-Durand. La partie écossaise vient de sa jeunesse, la Californie et l'Océan Pacifique, les a-t'il assez arpentés ? Des pages de grande envergure, l'anticonformiste et talentueux Stevenson, pourtant vers la fin de sa vie la quarantaine à peine passée, n'a rien perdu de sa patte. J'ai une petite prédilection toute personnelle pour ses pages marines. Les trafiquants fut écrit dans son domaine de Vailima, où il ne vit pas comme, ou tel un, chef de clan Samoan. Il en est un. Les indigènes l'ont surnommé Tusitala, celui-qui-raconte-les-histoires. En 1893, un an après la sortie des trafiquants d'épaves, la guerre civile éclate aux Samoas et Robert-Louis s'apprête à aller libérer le chef des insurgés Samoans, Mataafa, exilé de force aux îles Marshall. Mais une hémorragie cérébrale, tandis qu'il peaufinait cette expédition loyale et risquée, l'emporte en décembre1894... Allez, embarquement immédiat pour un extrait, voilà en tous cas un livre captivant pour renflouer votre envie de parcourir toujours un peu plus l'oeuvre de Stevenson: - Spoiler:
- Prologue a écrit:
- Un sourire et un regard d'intelligence passèrent de l'un à l'autre, et Loudon exprimait probablement le sentiment commun lorsqu'il déclara:
- A propos de bonnes affaires ! Je ne connais rien de tel qu'un schooner, un capitaine qui connaît son travail, et un bon récif sérieux. - De bonnes affaires, cela n'existe pas, dit l'homme de Glasgow. Personne ne s'en tire, sauf les missionnaires, nom d'un chien ! - Je ne sais pas, fit un autre, l'opium ne marche pas si mal. - Ce qui est assez bon, c'est de tomber sur une île à perles interdite, par exemple la quatrième année, remarqua un troisième, vous écumez toute la lagune en douce et vous filez avant que les Français n'aient eu vent de votre présence. - Un pon betit vilon t'or, c'est pon aussi, observa un Allemand. - Les épaves, ça paie bien, dit Havens. Voyez plutôt ce type d'Honolulu et ce bateau qui s'est échoué sur le récif de Waikiki; il soufflait un kona du diable; et le bateau a commencé à se briser dès qu'il a eu touché. Une heure ne s'était pas passée que l'agent de la Lloyd's l'avait déjà vendue, et avant qu'il fasse nuit et que le bateau ne se fût brisé en miettes pour de bon, le gars qui l'avait acheté avait fait sa pelote. S'il avait eu trois heures de clarté de plus, il aurait pu se retirer des affaires. Toujours est-il qu'il s'est fait construire une maison dans Beretania Street, et qu'il lui a donné le nom du bateau. - Oui, les épaves, ça rend quelquefois, fit la voix de Glasgow, mais pas souvent. - D'une façon générale, rien ne rend beaucoup, dit Havens. - Oui, je crois que c'est la vérité vraie, s'écria l'autre. Moi, je voudrais bien connaître un secret sur un type bien placé et qui ait de l'argent, pour le faire cracher. - Je suppose que vous savez que cela n'est pas considéré comme une chose à faire, lança Havens. Ca, alors, je m'en moque: moi ça me convient, cria l'homme de Glasgow avec force. Seulement, le diable c'est qu'un type ne peut pas découvrir de secret dans un patelin comme les mers du Sud; pour ça, il n'y a vraiment que Londres ou Paris. - Mc Gibbon a dû lire un roman de quatre sous, dit l'un des membres du club. [...] La soudaine acrimonie de ses remarques tira Loudon de sa réserve. - C'est assez curieux, mais je crois bien que j'ai exercé toutes ces professions. - Affez-fous jamais drouvé un vilon ? s'enquit le peu éloquent Allemand, d'une voix émue. - Non. J'ai fait l'idiot de bien des manières, répliqua Loudon, mais je n'ai jamais été de l'espèce "chercheur d'or". Tout le monde a son petit côté normal. - Alors, suggéra un autre, avez-vous jamais fait la contrebande de l'opium ? - Si, dit Loudon. - Est-ce que ça paie ? - Et comment ! répondit Loudon. - Peut-être que vous avez aussi acheté une épave ? - Oui, dit Loudon. - Et ça valait le coup ? poursuivit l'interlocuteur. - Eh bien, mon épave à moi était d'un genre un peu particulier, répliqua Loudon. Je ne sais si, dans l'ensemble, je peux recommander ce genre d'activité. - Le bateau s'est brisé en mille morceaux ? - C'est plutôt moi qui me suit senti brisé ! dit Loudon. Mon cerveau était trop petit pour une telle entreprise. - Avez-vous jamais essayé le chantage ? demanda Havens. - Aussi simple qu'un jeu d'enfant, répondit Loudon. - Ca paie ? - Eh bien, vous savez, je n'ai pas de chance, répliqua le nouveau venu. Cela aurait normalement dû me rapporter beaucoup. - Vous aviez découvert un secret ? - Un secret grand comme l'Etat du Texas. - Et le type était riche ? - Oh, il n'en avait pas autant que Jay Gould, mais à mon avis il aurait pu acheter ces îles s'il en avait eu envie. - Eh bien alors, pourquoi est-ce que ça n'a pas marché ? Vous n'avez pas pu lui mettre le grappin dessus ? - Si, j'y ai mis le temps, mais je suis à la longue arrivé à le coincer, seulement, alors... - Alors, la situation s'est complètement retournée. Je suis devenu l'ami intime du gars en question. - Sans blague ! - Il n'était pas difficile, vous voulez dire ? demanda Dodd plaisamment. Mais non. C'était un homme aux idées larges.
R-L Stevenson et Fanny, peints par J. S Sargent lors d'un séjour à Skerrymore. | |
| | | animal Tête de Peluche
Messages : 31548 Inscription le : 12/05/2007 Age : 43 Localisation : Tours
| Sujet: Re: Robert Louis Stevenson Dim 1 Déc 2013 - 9:17 | |
| on aurait le bouquin sous la main qu'on ne s'arrêterait plus... | |
| | | domreader Zen littéraire
Messages : 3409 Inscription le : 19/06/2007 Localisation : Ile de France
| Sujet: Re: Robert Louis Stevenson Dim 1 Déc 2013 - 9:44 | |
| J'avais vraiment zappé ce fil, quel dommage, je ne connais Stevenson qu'à travers deux romans mais il faudra vraiment que je me rattrape, tout ce que vous dites me donne envie. | |
| | | animal Tête de Peluche
Messages : 31548 Inscription le : 12/05/2007 Age : 43 Localisation : Tours
| Sujet: Re: Robert Louis Stevenson Dim 1 Déc 2013 - 9:49 | |
| ça doit pouvoir venir à bout de toute panne de lecture. | |
| | | GrandGousierGuerin Sage de la littérature
Messages : 2669 Inscription le : 02/03/2013
| Sujet: Re: Robert Louis Stevenson Dim 1 Déc 2013 - 10:51 | |
| En parcourant ce fil, je découvre Stevenson Et je vais de surprises en surprises ... Et des bonnes | |
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| Sujet: Re: Robert Louis Stevenson | |
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| | | | Robert Louis Stevenson | |
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