En exergue

un extrait plus large en version originale (pris ici ) :

   You were silly like us; your gift survived it all:
   The parish of rich women, physical decay,
   Yourself. Mad Ireland hurt you into poetry.
   Now Ireland has her madness and her weather still,
   For poetry makes nothing happen: it survives
   In the valley of its making where executives
   Would never want to tamper, flows on south
   From ranches of isolation and the busy griefs,
   Raw towns that we believe and die in; it survives,
   A way of happening, a mouth.

Du coup, oui, un peu plus pour "administrateur" ?

Zen littéraire Messages : 4066 Inscription le : 27/04/2010

Grande voix qui ne prononce pas de paroles, il ne me reste qu'à t'entendre.

Henry bauchau

En exergue à "'L'éternité est un battement de cils" de Werner Lambersy (Actes sud)

... avant que ne s' évanouissent dans l' éternité du silence les couleurs memes de nos souvenirs.

Gérard de Nerval

(lettre à Paul Chenavard, avril 1848)

En exergue à : Les couleurs de nos souvenirs : Michel Pastoureau. - Seuil/La librarie du XXIe siècle.

Les distances ne sont que le rapport de l' espace au temps et varient avec lui [...] Le seul véritable voyage, le seul bain de Jouvence, ce ne serait pas d' aller vers de nouveaux paysages, mais d' avoir d' autres yeux, de voir l' univers avec les yeux d' un autre, de cent autres, de voir cent univers que chacun d' eux voit, que chacun d' eux est [...]

Marcel Proust

En exergue à " Le fond du temps : Rodrigo Fresan"

"Le jazz, cet évènement capital dans notre époque".

Charles-Albert Cingria

En exergue à :

L' Improviste : Une lecture du jazz

Quelle époque ? jemetate

colimasson a écrit:: Quelle époque ?

Le livre ou le jazz évoqué dans le livre ?

Le jazz évoqué dans le livre...

Le jazz des origines jusqu' à ce que Réda estime etre la fin violente d' une musique qui a fini par s' auto détruire à force d' intensité dans la recherche et de violence compréhensive.
C' est un livre superbe, un livre de poète et de connaisseur passionné...

"Quelle bassesse ! Quelle... cochonnitude, quel encochonnement... Que moi, à la fin de ma vie, dans ma famille, dans mon foyer, que je ne sache meme pas qui je fréquente, où je suis, que je sois dans ma propre maison comme un chien errant, que je ne puisse me fier à autrui, que ma maison soit une maison de fous..."

Witold Gombrowicz : Cosmos

En exergue à :

La Maison des courants d' air : Raymond Bozier. - A. Fayard

"Je suis toujours devant la porte, je frappe et refrappe, sans violence, il est vrai, et je tends l' oreille, j' écoute si quelqu' un vient tirer le verrou et m' ouvrir..."

Les Enfants Tanner : Robert Walser

En exergue à :

L' Ombre des forets : Jean-Pierre Martinet. - La Petite Vermillon/La Table ronde

Zen littéraire Messages : 4066 Inscription le : 27/04/2010

Jean-Pierre Martinet a placé deux exergues à "L'ombre des des forêts", Bix. sourire

Second exergue :

"J'ai sangloté à la vue de cet étrange pays ... "
Empédocle

C' est exact. Et il a dédié son livre à Jude l' Obscur (Hardy) et Bartleby (Melville).
Deux livres qui m' ont beaucoup plu.

Zen littéraire Messages : 4066 Inscription le : 27/04/2010

bix229 a écrit:: C' est exact. Et il a dédié son livre à Jude l' Obscur (Hardy) et Bartleby (Melville).
Deux livres qui m' ont beaucoup plu.

As-tu lu "L'ombre des forêts" ? ... pour ma part, je le relis régulièrement, au point que je connais certains passages quasi par coeur.

Constance a écrit:

bix229 a écrit:: C' est exact. Et il a dédié son livre à Jude l' Obscur (Hardy) et Bartleby (Melville).
Deux livres qui m' ont beaucoup plu.

As-tu lu "L'ombre des forêts" ? ... pour ma part, je le relis régulièrement, au point que je connais certains passages quasi par coeur.

Non, c' est toi qui m' as fait acheter l' Ombre des forets...

» Rôle de l'exergue