Bernard Lenteric

odrey a écrit:

Marc Lévy vaut pour sa poésie (c'est dommage je n'ai pas de bouquins à lui chez moi pour te donner un exemple) et ses leçons de vie incroyablement originales (pour être heureux, il faut profiter du moment présent). Est- ce que Lenteric peut en dire autant?

Peut-être pas....mais pour ça il faut s'adresser au maître, Paooolo Coelho. Là c'est du lourd.

Ce fil est de plus en plus drôle

odrey a écrit:

Marc Lévy vaut pour sa poésie (c'est dommage je n'ai pas de bouquins à lui chez moi pour te donner un exemple) et ses leçons de vie incroyablement originales (pour être heureux, il faut profiter du moment présent). Est- ce que Lenteric peut en dire autant?

Ah oui, c'est une autre philosophie de vie en effet...

Moi, la nuit des enfants-rois, ça m'a fait regretter d'avoir arrêté mes études d'informatique... Si j'avais continué, je serais enfin devenue intelligente ! (à moins qu'il n'y ait que les gens intelligents qui fassent des études d'informatique, dans ce cas c'est définitivement loupé pour moi...)

Marc Lévy et Dom, a raison, Paulo Coelho te diraient qu'il ne faut pas avoir de regret. C'est dans les petites choses de la vie, des choses simples comme un coucher de soleil sur la mer, ou la rosée qui perle sur un pétale de de fleur, ou encore le sourire des enfants (que tu n'as mais ça viendra car là réside l'essence féminine) que réside sa beauté (à la vie). Est-ce que les personnages de Levy ou Coelho sont informaticiens? Non. Ou alors c'est qu'ils s'ennuient ferme et qu'il vont réaliser qu'en fait ils on toujours voulu être des artistes.
Lenteric est peut-être très intelligent mais il ne voit pas avec le coeur.

De mieux en mieux

odrey a écrit:

Marc Lévy et Dom, a raison, Paulo Coelho te diraient qu'il ne faut pas avoir de regret. C'est dans les petites choses de la vie, des choses simples comme un coucher de soleil sur la mer, ou la rosée qui perle sur un pétale de de fleur, ou encore le sourire des enfants (que tu n'as mais ça viendra car là réside l'essence féminine) que réside sa beauté (à la vie). Est-ce que les personnages de Levy ou Coelho sont informaticiens? Non. Ou alors c'est qu'ils s'ennuient ferme et qu'il vont réaliser qu'en fait ils on toujours voulu être des artistes.
Lenteric est peut-être très intelligent mais il ne voit pas avec le coeur.

Exact, Lenteric ne voit pas avec le coeur mais avec d'autres parties beaucoup plus développées de son anatomie.
De même, il n'attribue pas la divine grâce infantile à ses personnages féminins mais bien plutôt à ses personnages intelligents (donc masculins) afin de faire ressurgir, avec toujours plus de force et de puissance, l'extraordinaire opposition entre la simplicité originelle de leur comportement et le développement inhabituel de leur matière grise !

Juste pour le plaisir de remonter ce fil et vous faire partager le pamphlet de Colimasson ....
J'ai bien ri

GrandGousierGuerin a écrit:

Juste pour le plaisir de remonter ce fil et vous faire partager le pamphlet de Colimasson ....
J'ai bien ri

Toi aussi alors ?

J'ai lu cet auteur quand j'ai eu la vingtaine. Je ne lisais pas encore comme aujourd'hui. Bernard Werber me faisait encore rêver.
J'avais bien aimé les deux volumes sur l'empereur des rats.
Pas sûr que j'aimerais encore aujourd'hui.

Je ne sais ce qu'il t'en reste, Harelde, mais pour ma part, dans ma jeunesse, j'ai lu "La guerre des cerveaux", et je serais bien incapable de le résumer : je me rappelle vaguement qu'il s'agissait d'une sombre histoire de savants fous, et que le roman s'achevait par une scène de scientifique japonais se faisant hara kiri, tandis qu'un vieil homme paralysé dans un fauteuil roulant discutait sur une plage avec ... je ne sais plus quel pékin .
Enfin ! Il me semble.

Il ne m'en reste rien. Ou presque.
Mais comme bien d'autres livres.

Constance a écrit:

Je ne sais ce qu'il t'en reste, Harelde, mais pour ma part, dans ma jeunesse, j'ai lu "La guerre des cerveaux", et je serais bien incapable de le résumer : je me rappelle vaguement qu'il s'agissait d'une sombre histoire de savants fous, et que le roman s'achevait par une scène de scientifique japonais se faisant hara kiri, tandis qu'un vieil homme paralysé dans un fauteuil roulant discutait sur une plage avec ... je ne sais plus quel pékin .
Enfin ! Il me semble.

Oh, mais c'est presque semblable à la Nuit des enfants rois !