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| Dorothy Parker | |
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+5Maryvonne bix229 kenavo Epi Cliniou 9 participants | |
Auteur | Message |
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Cliniou Sage de la littérature
Messages : 1116 Inscription le : 15/06/2009 Age : 54 Localisation : entre ici et ailleurs
| Sujet: Dorothy Parker Jeu 3 Sep 2009 - 11:20 | |
| “I like to have a martini, Two at the very most. After three I’m under the table, after four I’m under my host.”
–Dorothy ParkerDorothy PARKER : journaliste, poète et écrivain. Biographie :Espèce rare de femme d'esprit américaine, au même titre que Louise Brooks et Zsa Zsa Gabor, la plume assassine, le verbe qui claque comme un coup de trique, l'ironie sans concession, l'humour ravageur... Dorothy Parker réunissait tout ce que l'on peut attendre d'une journaliste renommée. La vie commence mal pour la jeune Dorothy Rothschild : orpheline à 20 ans, elle rencontre le courtier en bourse Edwin Pont Parker II qu'elle finit par épouser. Plus pour échapper à son nom de famille, lui rappelant sans cesse son absence de filiation avec la dynastie de banquiers richissimes, que par amour. Le destin se charge vite de régler ce mariage encombrant avec une première guerre mondiale soldée par un divorce. Libre mais sans le sou, Dorothy Parker survit en donnant des cours de piano. Bâillant devant son pupitre, elle se met à écrire et envoie ses premiers poèmes à Vanity Fair, et ne tarde pas à rejoindre l'équipe rédactionnelle du magazine pour exercer en tant que critique théâtrale. Mais elle va payer cher sa tendance à caresser constamment les pièces à rebrousse-poil. Renvoyée, cette jeune femme de 24 ans a eu le temps de se faire un nom et intègre immédiatement un nouveau journal : le New Yorker, où elle inventera le journalisme vachard. Bientôt, ses poèmes courts et caustiques sur la bonne société, comme 'Hymnes à la haine', bâtissent sa notoriété. Snob dans son exécration de l’ennui, de la routine amoureuse, du conformisme intellectuel, elle pratique la nouvelle comme d'autres le tricot, elle détruit le couple dans 'La Vie à deux', ou glane des conversations de ses contemporaines qu'elle croque méchamment dans 'Mauvaise journée demain'. Proche de Scott Fitzgerald, Robert Benchley, Dashiell Hamett et des Marx Brothers, experte en lâchers de reparties mortelles – ses amis la surnomment The Wit : l’esprit-, elle écrit comme elle boit, sec, et fréquente chaque jour la célèbre Table Ronde de l’hôtel Algonquin où se réunissent des esprits les plus brillants de cette époque. Auteur de poèmes, de nouvelles, de pièces de théâtre pour Broadway, elle écrit aussi des scripts pour Hollywood dont celui de Une étoile est née recevra l’Oscar du meilleur scénario. En 1934, elle tente à nouveau la vie conjugale avec Alan Campbell à Hollywood. Mais, rattrapée par le maccarthysme des fifties, elle doit partir. Elle écrit alors à l'Esquire. Alcoolique depuis longtemps, elle fait plusieurs tentatives de suicide. Désormais veuve, elle revient à Manhattan. Ruinée et oubliée de tous, elle meurt d'une attaque cardiaque en 1967,légant son compte en banque à Martin Luther King et laissant cette épitaphe : « Excusez-moi pour la poussière ». Quant à ses cendres, confiées par Lilian Hellman à une étude notariale qui ne savait qu'en faire, elles patientèrent vingt et un ans dans un tiroir. Un quatrain pour résumer Miss Parker: "Voyage, ennuis, musique, art Un baiser, une robe, une rime, je n'ai jamais dit qu'ils comblent mon coeur Mais au moins ils me passent le temps." (Sources diverses: Evene, Denoël, Fabrice Gaignault) | |
| | | Cliniou Sage de la littérature
Messages : 1116 Inscription le : 15/06/2009 Age : 54 Localisation : entre ici et ailleurs
| Sujet: Re: Dorothy Parker Jeu 3 Sep 2009 - 11:59 | |
| Une idée du style:Ce qu'on en ditLa vie de Dorothy Parker a ceci d’émouvant qu’elle ressemble étrangement à ses personnages. Dans l’édition de poche de ses œuvres complètes, parue à New York en 1944, son préfacier Brendan Gill écrivait : « Comme tat de personnes qui ont perdu leur mère en bas âge, elle avait l’imagination du malheur et elle cultivait cette tendance. Son don pour que les choses tournent mal confinait au génie. » Ce n’est pas un auteur charmant de saynètes de la vie américaine, bien qu’elle ait surtout écrit des nouvelles, des épigrammes et des poèmes. Son sujet de prédilection reste l’incommunicabilité, la solitude à deux des couples, la recherche désespérée de l’amour. Dorothy Parker est une humoriste implacable face à l’absurdité des passions non partagées, des bonnes manières qui dissimulent les mauvais sentiments. Féministe aussi, elle dénonce l’impossibilité d’un rapport vrai entre ces sexes dont chacun se croit tenu, par la morale et les usages, de se conformer à une sorte de caricature de lui-même. Ses jeunes filles puériles, frivoles et mesquines, dont on voit d’avance les épouses frustrées, bornées et invivables qu’elles deviendront, sont parmi les personnages les plus tragi-comiques de la galerie de portraits proposée par Dorothy Parker. Le fait que ses personnages n’aient pas pris une ride avec l’âge témoigne qu’elle est parvenue à ce niveau profond des êtres où les comportements échappent aux modes pour révéler ce qu’il y a de pathétique, de dérisoire et d’immuable dans la condition humaine. Conclusion de Benoîte Groult (traductrice de ‘la vie à deux’) : Il est parfois difficile de juger un auteur qui a été porté au pinacle par un milieu privilégié ou une tendance de mode. Mais l’humour, le vrai, ne se démode pas. Quand on relit, 50 ans plus tard, les nouvelles de Dorothy Parker, elles vous frappent au cœur avec cette vérité acérée qui est le signe de ce qui dure. Cette fois, il n’y a plus d’erreur possible : nous sommes en présence d’un véritable écrivain. (tiré d'une préface de Benoîte Groult) Extrait de Hymnes à la haine (Hate Verses), ici dans la traduction de Patrick Reumaux. - Citation :
Je hais les Femmes : Elles me portent sur les nerfs.
Il y a les femmes d'Intérieur... Ce sont les pires. Chaque instant est ficelé de Bonheur. Elles respirent avec méthode Et pour l'éternité se hâtent à grand pas vers la maison Où il faut surveiller le dîner... Il y a aussi les douces Qui disent avec un tendre sourire « L'argent ne fait pas le bonheur » Et ne cessent de me faire admirer leur robe En me confiant : « Je l'ai faite moi-même »... Et vont épluchant les pages féminines des magazines ; Toujours à essayer de nouvelles recettes... Ah, que je les hais, ces sortes de femmes !
Et puis il y a les Petites Fleurs Sensibles. Les Pelotes de Nerfs... Elles ne ressemblent pas aux autres et ne se privent pas De vous le rappeler. Il y a toujours quelqu'un pour froisser leurs sentiments, Tout les blesse... très profondément, Elles ont toujours la larme à l'œil... Ce qu'elles peuvent m'enquiquiner, celles-là, à ne parler jamais Que des Choses Réelles, Des choses qui Importent Vraiment. Oui, elles savent qu'elles aussi pourraient écrire... Les conventions les étouffent : Elles n'ont qu'une seule idée, partir...partir Loin de Tout ! Et moi je prie le Ciel : oui, qu'elles foutent le camp !
Et puis, il y a celles qui ont toujours des Ennuis. Toujours. En général avec leur Mari... On est injuste avec elles, Personne jamais ne les comprend, ces femmes. Elles arborent un petit sourire désenchanté Et quand on leur parle elles sursautent. Elles commencent par vous dire que leur lot est de souffrir En silence : Personne ne saura jamais... Et en avant le déballage...
Et puis, il y a les Madame-Je- Sais-Tout. Elles sont la peste ! Elles savent tout ce qui de par le monde arrive Et sont au régal de vous en informer. Il est de leur devoir de corriger les impressions fausses, Elles connaissent les Dates de Naissance, les Second Prénoms De tout un chacun Et leur être sue la Banalité Factuelle. Pour moi, elles sont l'Ennui !
Il y a aussi celles qui s'avouent Incapables de Deviner Pourquoi tant d'hommes sont fous d'elles ! Elles vous disent qu'elles ont essayé mais en vain. Elles vous parlent du mari d'une telle : Ce qu'il a dit Et sur quel ton... Ensuite elles soupirent et demandent : « Chérie, en quoi cela d'ailleurs me concerne-t-il ? » Ne les détestez-vous pas, celles-là, vous aussi ?
Il y a enfin celles qui ont toujours le Sourire aux Lèvres. Elles ne sont pas mariées, Passent leur temps à distribuer de menus cadeaux, A préparer de petites surprises, Elles me conseillent de prendre, comme elles, les choses Du Bon Côté. Ah, que deviendraient elles si elles venaient à perdre leur sens De l'humour ?... Et moi qui brûle de les étrangler !... N'importe quel jury m'acquitterait.
Je hais les femmes : Elles me portent sur les nerfs.
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| | | Epi Escargote Zen
Messages : 14255 Inscription le : 05/03/2008 Age : 64 Localisation : à l'ouest
| Sujet: Re: Dorothy Parker Jeu 3 Sep 2009 - 12:42 | |
| J'ai La vie à deux qui attend depuis bien longtemps, je l'avais un peu oublié d'ailleurs. | |
| | | kenavo Zen Littéraire
Messages : 63288 Inscription le : 08/11/2007
| Sujet: Re: Dorothy Parker Jeu 3 Sep 2009 - 13:10 | |
| Merci pour ce fil Jane je promets de revenir bientôt sur ce fil, je dois vérifier d'abord ce qui existe d'elle en traduction de ce que j'ai lu | |
| | | bix229 Parfum livresque
Messages : 24639 Inscription le : 24/11/2007 Localisation : Lauragais (France)
| Sujet: Re: Dorothy Parker Jeu 3 Sep 2009 - 18:06 | |
| "Je vous en prie, Dieu, faites qu' il téléphone maintenant. Soyez bon, Dieu, faites qu' il téléphone maintenant. Je ne vous demanderai plus jamais, je vous le jure, plus jamais rien, je vous le jure, plus jamais. Ce n' est as grand chose et cela vous couterait si peu, mon Dieu, si peu ! Mais faites seulement qu' il téléphone. S' il vous plait mon Dieu, s' il vous plait ! Le Coup de téléphone dans le recueil Comme ils sont | |
| | | Maryvonne Zen littéraire
Messages : 4259 Inscription le : 03/08/2009 Localisation : oui, merci.
| Sujet: Re: Dorothy Parker Jeu 3 Sep 2009 - 18:22 | |
| Je l'ai lue il y a longtemps... mais elle m'avait ravie. Certaines nouvelles sont tout simplement géniales. Elle épingle certains travers de la société (qui sont toujours d'actualité), le matérialisme, le jeu des apparences (alors qu'on le sait bien, tout le monde est seul et se fait chier), le tout avec un cynisme qui me réjouit.
"Mauvaise journée, demain "... oui, et ce n'est qu'un début... | |
| | | bix229 Parfum livresque
Messages : 24639 Inscription le : 24/11/2007 Localisation : Lauragais (France)
| Sujet: Re: Dorothy Parker Jeu 3 Sep 2009 - 18:55 | |
| Et aussi les gens au bord de la crise de nerfs ou de désespoir sous leur vernis, mondain ou pas ...
Dernière édition par bix229 le Jeu 3 Sep 2009 - 19:12, édité 1 fois | |
| | | kenavo Zen Littéraire
Messages : 63288 Inscription le : 08/11/2007
| Sujet: Re: Dorothy Parker Jeu 3 Sep 2009 - 19:03 | |
| - Maryvonne a écrit:
- Je l'ai lue il y a longtemps... mais elle m'avait ravie.
Certaines nouvelles sont tout simplement géniales. Elle épingle certains travers de la société (qui sont toujours d'actualité), tout à fait d'accord avec toi.. puisque j'aime aussi lire du théâtre, j'ai lu plusieures de ses pièces.. j'ai bien aimé Et ce fil me rappelle aussi que cela fait trop longtemps que je l'avais entre les mais.. faut remédier à cela | |
| | | Maryvonne Zen littéraire
Messages : 4259 Inscription le : 03/08/2009 Localisation : oui, merci.
| Sujet: Re: Dorothy Parker Jeu 3 Sep 2009 - 19:26 | |
| - bix229 a écrit:
- Et aussi les gens au bord de la crise de nerfs ou de désespoir sous leur
vernis, mondain ou pas ... Oui, et ses femmes esseulées qui compensent avec de la bibine, Ces couples devenus des étrangers, Ces sourires qui n'ont jamais de réponse, ces soirées où l'on s'ennuie, Ces conflits de famille ... | |
| | | Cliniou Sage de la littérature
Messages : 1116 Inscription le : 15/06/2009 Age : 54 Localisation : entre ici et ailleurs
| Sujet: Re: Dorothy Parker Mar 8 Sep 2009 - 11:48 | |
| "Big Blonde" est une nouvelle incontournable. Elle reçut en 1929 la plus haute récompense américaine qu'est le prix O'Henry. Somerset Maugham y décellera un chef d'oeuvre. | |
| | | Epi Escargote Zen
Messages : 14255 Inscription le : 05/03/2008 Age : 64 Localisation : à l'ouest
| Sujet: Re: Dorothy Parker Dim 24 Jan 2010 - 19:27 | |
| La vie à deux
Découverte de Dorothy Parker avec ce recueil de seize nouvelles, où elle dénonce l’hypocrisie, les faux-semblants et surtout l’incompréhension qui règnent dans les relations amoureuses, sociales, familiales. Des scènes de la vie quotidienne où l’on peut observer des personnages souvent mesquins, superficiels. Où les injustices, les inégalités sont dénoncées sans ménagement mais avec parfois beaucoup d’humour.
C’est parfois un peu répétitif, le thème des relations de couple par exemple, est traité dans plusieurs nouvelles pratiquement de la même façon. Elles auraient presque pu être regroupées pour n’en faire qu’une. Certaines nouvelles sont un peu frustrantes, celles composées uniquement d’un monologue ou de dialogues, sans narration, qui ne m’ont pas permis d’éprouver une quelconque sympathie pour le personnage mais plutôt de l’agacement. Ces nouvelles sont celles où D. Parker met en scène une femme quittée ou en proie à la jalousie, une femme soumise et dépendante que la froideur ou l’abandon de son amant plonge dans le désespoir.
Les nouvelles les plus réussies sont celles où D. Parker a pris le temps de développer son récit et de donner une véritable dimension à ses personnages. Parmi elles, quatre, pour moi, sortent vraiment du lot :
Le merveilleux vieux Monsieur Un vieil homme est à l'article de la mort. Ses deux filles et le mari de l'une d'elles se rassemblent pour la veillée.
Vêtir ceux qui sont nus Une femme de ménage fait ce qu'elle peut pour donner à son petit fils aveugle la meilleure vie possible. Malheureusement, elle se fait exploitée par ses employeurs qui eux, aiment croire qu'ils sont justes et généreux.
Arrangement en noir et blanc Une jeune femme lors d'un cocktail où l'invité d'honneur est un noir, se montre intolérablement raciste alors qu'elle pense au contraire faire preuve de beaucoup d'ouverture d'esprit.
Le petit Curtis L'éducation terrible qu'une bourgeoise aigrie impose au petit garçon qu'elle a adopté.
Ces nouvelles au premier abord sont amusantes, puis très vite, on est amené à voir au-delà des mots pour en arriver à l’indignation, que l’auteur veut nous faire partager, devant tant de perfidie, de méchanceté et de bêtise.
D. Parker utilise l’ironie et l’humour pour dénoncer, son style est incisif et décapant porté par une observation fine et précise des relations humaines. S’il manque de la profondeur parfois (le format de la nouvelle n’étant pas le plus adapté pour des portraits fouillés), le message passe admirablement bien et la lecture est jubilatoire. | |
| | | kenavo Zen Littéraire
Messages : 63288 Inscription le : 08/11/2007
| Sujet: Re: Dorothy Parker Dim 24 Jan 2010 - 20:16 | |
| - Epi a écrit:
- D. Parker utilise l’ironie et l’humour pour dénoncer, son style est incisif et décapant porté par une observation fine et précise des relations humaines. S’il manque de la profondeur parfois (le format de la nouvelle n’étant pas le plus adapté pour des portraits fouillés), le message passe admirablement bien et la lecture est jubilatoire.
merci pour ton commentaire.. cela me redonne envie de replonger dans quelques unes de ses nouvelles.. | |
| | | Epi Escargote Zen
Messages : 14255 Inscription le : 05/03/2008 Age : 64 Localisation : à l'ouest
| Sujet: Re: Dorothy Parker Dim 24 Jan 2010 - 20:26 | |
| - kenavo a écrit:
- Epi a écrit:
- D. Parker utilise l’ironie et l’humour pour dénoncer, son style est incisif et décapant porté par une observation fine et précise des relations humaines. S’il manque de la profondeur parfois (le format de la nouvelle n’étant pas le plus adapté pour des portraits fouillés), le message passe admirablement bien et la lecture est jubilatoire.
merci pour ton commentaire.. cela me redonne envie de replonger dans quelques unes de ses nouvelles.. J'ai envie d'en lire plus aussi mais le problème c'est qu'il n'y a pas beaucoup de choix apparemment, La vie à deux est le seul que j'aie jamais vu. | |
| | | Cliniou Sage de la littérature
Messages : 1116 Inscription le : 15/06/2009 Age : 54 Localisation : entre ici et ailleurs
| Sujet: Re: Dorothy Parker Dim 24 Jan 2010 - 20:32 | |
| Je vais fouiller dans ma bibliothèque pour voir ce que j'ai d'autre mais les Hymnes à la Haine existent en version française et traduit par P. Reumaux | |
| | | kenavo Zen Littéraire
Messages : 63288 Inscription le : 08/11/2007
| Sujet: Re: Dorothy Parker Dim 24 Jan 2010 - 20:33 | |
| - Epi a écrit:
- J'ai envie d'en lire plus aussi mais le problème c'est qu'il n'y a pas beaucoup de choix apparemment, La vie à deux est le seul que j'aie jamais vu.
oui, c'est dommage qu'elle n'est pour l'instant pas "à la mode" et du coup très peu d'elle en impression.. Tout comme Cliniou je me rappelle très bien de Big Blonde mais le problème avec des recueils de nouvelles est que les compositions sont souvent très différentes dépendant la langue... si tu vas maintenant choisir un livre d'elle en anglais, il se peut que tu retrouves quelques unes des nouvelles du livre que tu viens de lire.. | |
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| Sujet: Re: Dorothy Parker | |
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