Les Polars - Questions, discussion, en général

Merci, je note. De Nesbo,j 'ai lu l'homme chauve-souris cet été, et j'ai les cafards dans ma pile.

J'ai retiré la question de Uolav concernant idées de lectures polars du fil de Millénium-le film, la question s'accorde mieux avec ce fil

en plus il y a un autre fil polars avec idées de lectures, résumés, commentaires: ici


et puis l'index de tous nos auteurs polars présents sur Parfum: ici

Essayez : Car de Harry Crews (La Noire), La triste histoire de l' homme qui veut manger une voiture. Une cruelle métaphore des USA...

Une tache sur l' éternité de James Lee Burke (Rivages), écrivain de Louisiane et de ce qu' il en reste, bien avant Katrina..

Marko a écrit:

L'un de mes romans policiers préférés de ces dernières années: Seul le Silence de R.J. Ellory

Il paraît en effet qu'il est à lire !

Pour moi Seul le silence n'est pas un polar... Ce roman excellent au demeurant relève pour moi quasiment de la littérature générale (de la blanche)...

Pour en revenir à la question, j'ai lu dans un article du magazine Lire que la définition était en pleine mutation et que le mot "polar" était synonyme de "populaire".

Livvy a écrit:

Par deux fois (peut-être plus, mais je n'ai pas lu tout le forum, bien sûr), bix a déclaré que certains auteurs prolifiques utilisaient des écrivains de l'ombre (je n'aime pas trop le terme 'nègres'). Est-ce une certitude ou une intuition ?

Pour ma part, cela me décevrait beaucoup ques mes auteurs favoris ne le soient pas...

Qu'en pensez-vous ?

Je pense que certains auteurs de romans policiers à la chaîne font effectivement tenir leur plume - ou leur clavier d'ordinateur - par d'autres personnes. Je n'ai pas de preuve à ce sujet, mais à voir la production (et souvent insipide) de quelqu'un qui écrit sous autant de noms et pseudonymes que Paul C. Doherty, Paul Harding, C. L. Grace, Ann Dukthas et d'autres encore, j'incline à penser que cette personne signe des livres en grande partie écrits par d'autres, dans l'ombre.

Quand j'avais lu Le cochon sinistre, de Tony Hillerman, je m'étais dit que soit Hillerman sucrait totalement les fraises, soit il avait signé, là, un roman écrit à la peine par un pisse-copie de troisième zone, tellement ce roman était mauvais et en décalage avec ses précédents romans.

Donc, pour répondre à votre question, j'ai des intuitions, mais pas des certitudes.

Ludo28 a écrit:

Pour moi Seul le silence n'est pas un polar... Ce roman excellent au demeurant relève pour moi quasiment de la littérature générale (de la blanche)...

Tu as raison mais je ne fais pas la distinction entre la littérature et le roman policier. Certains en relèvent et d'autres moins (ou pas). Seul le Silence est quand même un roman de genre puisqu'il y a une énigme, des meurtres, un assassin à découvrir... Mais il a un souffle et une écriture très au-dessus de la plupart des romans policiers habituels qui ont un style plus scénaristique. Un de mes livres préférés dans le genre et en général.

Merci pour l'info, Kenavo.

je ne sais pas si on en a parlé sur un autre fil, mais en tout cas, Anthony Horrowitz a eu l'autorisations des ayants droits de Sir Arthur Conan Doyle d'écrire une nouvelle aventure de Sherlock Holmes


Anthony Horowitz, Sherlock Holmes - La maison de soie

Citation :

Présentation de l'éditeur
Un an après la mort de Holmes, le docteur Watson prit la plume pour relater la dernière aventure du plus célèbre des détectives privés mais il exigea que ce récit restât inédit pendant un siècle… Pourquoi attendre si longtemps ? La réponse est élémentaire : parce que cette affaire était si monstrueuse, si terrible que, selon Holmes lui-même, « il n’est pas exagéré de dire qu’elle pourrait bien ébranler la société toute entière ». Cent six ans après la dernière aventure de Sherlock Holmes par son créateur Sir Arthur Conan Doyle nous est révélé le dernier secret du locataire du 221b Baker Street. La partie reprend !

Je n'ai jamais lu un livre de Conan Doyle, j'en ai regardé quelques adaptations.. mais depuis ma connaissance avec le Docteur House/Wilson dont l'inventeur ne nie pas son inspiration chez le couple fameux, Holmes et Watson (et oui, même les noms House et Wilson ne sont pas si loin d'eux ) je suis plus curieuse de voir de plus près

pour les amateurs du genre, si vous êtes à la recherche d'idées




cela vaut au moins le détour pour les amateurs de Harlan Coben, il ouvre sa maison dans le New Jersey, et ben, il a un certain style de vivre , photos malheureusement pas en ligne

et il y a un extrait du dernier livre de P.D. James, La mort s'invite à Pemberley

Et pi......il y a aussi une article sur Anne Tyler,dans un autre genre...un petit marque page - pour les collectionneurs-!!

Je suis en train de le lire, mais je ne crois pas que j'arriverais à être convertie à la "magie" du polar de sitôt...

Marko a écrit:

Ludo28 a écrit:

Pour moi Seul le silence n'est pas un polar... Ce roman excellent au demeurant relève pour moi quasiment de la littérature générale (de la blanche)...

Tu as raison mais je ne fais pas la distinction entre la littérature et le roman policier. Certains en relèvent et d'autres moins (ou pas). Seul le Silence est quand même un roman de genre puisqu'il y a une énigme, des meurtres, un assassin à découvrir... Mais il a un souffle et une écriture très au-dessus de la plupart des romans policiers habituels qui ont un style plus scénaristique. Un de mes livres préférés dans le genre et en général.

Marko je suis d'accord à 100% avec toi. C'est avec ce livre que j'ai découvert cet auteur et j'ai lu tous les suivants. Même s'ils sont différents, on retrouve toujours cette sensibilité dans l'écriture.

pour les lecteurs qui aiment le Whodunit, Ngaio Marsh pourrait être une bonne piste

Citation :

Le whodunit ou whodunnit (de l'anglais « Who [has] done it ? » c’est-à-dire « qui l’a fait ? ») « est devenu synonyme du roman d'énigme classique du début du xxe siècle, appelé aussi roman problème ou roman jeu ».

Ce roman de détection est une forme complexe du roman policier dans laquelle la structure de l’énigme et sa résolution sont les facteurs prédominants. Au cours du récit, des indices sont fournis au lecteur qui est invité à déduire l’identité du criminel avant que la solution ne soit révélée dans les dernières pages. L’enquête est fréquemment menée par un détective amateur plus ou moins excentrique, par un détective semi-professionnel, voire par un inspecteur de la police officielle.

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