A la télé...

lullaby a écrit:

c'est à 20h40 (ma soirée est d'ailleurs réservée)

Merci Lullaby!
Moi aussi...
Je ne répondrai même pas au téléphone...:)

Vite vite!!!
On a encore le temps de présenter aux jeunes Liv Ullmann et Erland Josephson? On les trouvait déjà dans Scènes de la vie conjugale? Saraband en est-il la suite?
- En 1957 Bergman, frappé par la ressemblance de Liv Ullman avec l'une de ses actrices fétiches, Bibi Andersson, lui confie le rôle d'Elisabeth Vogler dans 'Persona' (1966). Elle deviendra sa "muse", au cinéma et dans la vie. Ils tourneront une dizaine de films ensemble (L'Heure du loup, Cris et chuchotements, Une passion...

Babelle a écrit:

Vite vite!!!
On a encore le temps de présenter aux jeunes Liv Ullmann et Erland Josephson? On les trouvait déjà dans Scènes de la vie conjugale? Saraband en est-il la suite?

C'est un peu une suite en effet ...puisque c'est le couple de Scènes de la vie conjugale qui se retrouve 30 ans après s'être séparé...Mais il y a d'autres personnages aussi importants qu'eux dans ce film-là (le fils et la petite fille de Johan et aussi Anna, morte, qui manque à tous...)

Molière, ou la vie d'un honnête homme - Ariane Mnouchkine

ce soir vendredi 10 août à 00h35 sur France 2

Un grand moment de cinéma! A voir pour ceux qui n'ont pas le dvd!

Je vais regarder, j'ai adoré ce film au cinéma. L'acteur joue vraiment bien le rôle de Molière.

Un de mes films préférés Une mise en scène formidable. Un film plein d'humour, de poésie et de tendresse. Que du bonheur !

Le Cercle Rouge mardi soir en première partie sur la 2

je vous laisse apprécier le casting... quand je suis moins fatigué je me décide à ouvrir un fil J-P Melville.

première piqure de rappel :

Melville aime ouvrir ses films sur une citation exotique, une phrase de Krishna par exemple pour Le Cercle Rouge :

Quand des hommes même s'ils s'ignorent, doivent se retrouver un jour, tout peut arriver à chacun d'entre eux, et ils peuvent suivre des chemins divergents. Au jour dit inexorablement, ils seront réunis dans le cercle rouge.

espérons que John Woo ne commettra jamais de remake (l'horrible rumeur...)

piqure de rappel numéro deux :

dans ce film qui pourrait avoir l'air tout froid, tout en surfaces et visages impénétrables, il y a un homme avec des monstres dans son placard qui essaye d'être à la hauteur, malgré lui en quelque sorte... il est joué par Montand et il y a une scène de cauchemar hallucinatoire qui vaut le détour.

(pas banal pour un film tout froid !)

et puis parce qu'on devrait toujours vérifier ce qu'on copie/colle, la citation d'ouverture est de Siddhartha qui a tracé un cercle avec une craie rouge et dit...

Citation :

et il y a une scène de cauchemar hallucinatoire qui vaut le détour

Ah, c'est là qu'il y a une scène de delirium tremens typique, tel qu'on n'en voit plus, heureusement. C'était bien fait, si je me souviens bien.

oui très bien et le style de la pièce avec portes masquées (papier peint pour tout le monde !), le malaise est très bien rendu

c'est commencé

est il utile d'en rajouter en précisant que Bourvil sérieux c'est un réel plaisir...

et que bon il y a Gian Maria Volonte aussi...

je vous laisse

animal a écrit:

est il utile d'en rajouter en précisant que Bourvil sérieux c'est un réel plaisir...

Oui, ça m'a fait drôle. Je n'aurais pas regardé si tu n'en avais pas parlé animal. Bon, j'étais fatiguée et me suis endormie lorsque l'alarme se met en marche (pas grave). Il date de quelle année ce film? Il fait parti de la nouvelle vague?

1970 le film. pour ce qui est de la "nouvelle vague" pardonnez moi mais n'ayant pas de point de repère précis à ce sujet je vous livre un morceau de wikipedia à propos de JP Melville :

Citation :

Il apparaît comme un des pères spirituels de la « Nouvelle Vague » par ses méthodes de production et sa manière de filmer, proche du reportage, en décor naturel et à l'aide d'un faible éclairage d'appoint.

pour Bourvil, je recommanderai le cocktail détonnant (le personnage dans le livre étant très fort) entre Les Grandes Gueules film et Le Haut-Fer. Bourvil dans le film incarnant un bucheron revenu du Canada, un gars qui impressionne et plutôt physique. Peut être dans le film apporte-t-il sa nuance à l'homme en question (qui n'en est initialement pas dénué), le contre-emploi est surprenant mais le duo de durs à cuire Bourvil-Ventura... (et Bourvil passe vraiment très bien)

Dans le cercle rouge, il y a le passage ou le visage à demi dans l'ombre, le policier Mattéi (Bourvil) met la pression au truand dans sa boite, au bar... le jeu de lumière sur le visage et la voix de l'acteur... ça méritait d'être fait.

(et Gian Maria Volonte... il y a des filmos à creuser....)