OneShot - BD

Ivan Brun :  No-comment :

Un jour à la médiathèque, je raconte au 'Monsieur des BD' qu'il manque le 3ième tome de "Transmétropolitan" de Warren Ellis. Bien embêté, et pour me consoler, il me présente cette BD (sympas le gars) :



Un peu dubitatif, j'embarque l'album et le découvre le soir même.

Gros coup de cœur et presque seul emballement véritable pour une BD (avec Transmétropolitan et deux trois autres). Oui, c'est que  de base, la BD et moi c'est pas ça, j'ai tenté plusieurs essais mais c'est souvent infructueux. Déjà j'ai l'impression que j'ai du mal à faire deux choses en même temps, c'est à dire regarder les dessins et lire le texte. Souvent je passe en mode lecture et zappe les dessins en les parcourant trop rapidement. C'est dommage !

Ici, pas de texte, mais pourtant il y a bien des bulles. Les textes sont remplacés par de petits pictogrammes (je sais pas si c 'est courant comme procédé mais comme c'était la première fois pour moi, j'ai trouvé cela original). ça force à se concentrer pour suivre les histoires, et surtout nécessite le dessin pour comprendre, donc on ne peut pas passer outre.

No-comment nous parle du monde contemporain dans ce qu'il a d'injuste, de violent, de fragmenté, et où le pire côtoie le meilleur. Le dessin faussement naïf est peut être là pour nous rappeler ce qu'il y a perdre dans un monde qui vacille sérieusement, en mettant en rapport la couleur et le pepse de la vie (les dessins 'enfantin') face à l'odeur rance à vomir d'une violence sans limite (ce que raconte ces 'dessins').
Violences sur les enfants, violences sur les populations exploitées, violences télévisuelles qui ne proposent aucune analyse, violences des rapports humains, violence qu'engendre notre rapport et notre dépendance à l'argent, Violence dans les rapports sexuels.

Une histoire  s'intitulant '120 days' écrite comme un logo à la 'loft story' avec son œil qui voit tout. Les personnages sont enfermés dans un loft et le tout finis dans une boucherie autour de la piscine, sous l'oeil médusé du téléspectateur-suggéré. Par la disposition des personnages et la 'précision' du dessin, et avant de faire le rapprochement avec le nombre 120, j'ai pensé à ce qui se passe à la fin du film de Pasolini, lorsque les personnages, après avoir été humiliés, sont torturés par leur bourreaux se régalant du spectacle au travers de jumelles.

C'est une notion importante de l'album, je pense, cette notion d'observateur, car, alors qu'il nous inflige par ces petites histoires cruelles, des sensations que l'on a pu déjà ressentir au détour d'un journal télévisé, ou d'une émission douteuse, il questionne alors, par l'éloignement de ses dessins coloré à cette réalité crue qu'on imagine, le rapport du spectateur et son rôle dans la simple observation du monde qui se déglingue.

Merci Monsieur de la médiathèque.

Très intéressant ce commentaire, je vais regarder si cette bd est à ma mediathèque, ça m'intrigue et ça pourrait me plaire !

(Y'a un fil pour Warren Ellis si tu veux y faire un tour. Jvoulais faire un commentaire pour chaque tome, et... puis... clic de fil.
Et sinon, si jamais, peut-être que Thomas Ott pourrait te plaire : que de dessins, pas de dialogue, donc pas de double attention requise. Et je me dis que l'univers pourrait te plaire : clic de fil 2)

Bon je note No comment !

Queenie a écrit:

Très intéressant ce commentaire, je vais regarder si cette bd est à ma mediathèque, ça m'intrigue et ça pourrait me plaire !

(Y'a un fil pour Warren Ellis si tu veux y faire un tour. Jvoulais faire un commentaire pour chaque tome, et... puis... clic de fil.
Et sinon, si jamais, peut-être que Thomas Ott pourrait te plaire : que de dessins, pas de dialogue, donc pas de double attention requise. Et je me dis que l'univers pourrait te plaire : clic de fil 2)

Bon je note No comment !

Rah oui ça a l'air sympas Thomas ott. J'irai lire son fil ce soir, là d'où je suis les images sont filtrés.

Tu aimes SpiderJerusalem. J'ai beaucoup aimé, les superbes dessins et leurs couleurs, le ton décalé et incisif et la critique. Mais j'ai pas encore eu l'occasion de lire aprés le tome 3... J'ai les 3 premiers mais il y a des rupture de stock sur le 4 du coup il coute assez chère (Je le recherche dans sa dernière édition). Et a la média il était manquant. (faudrait que je revérifie)

Tu as lu les 5 et 6 du coup ? La fin est du même niveau ?

HamsterKiller a écrit:

Queenie a écrit:

Très intéressant ce commentaire, je vais regarder si cette bd est à ma mediathèque, ça m'intrigue et ça pourrait me plaire !

(Y'a un fil pour Warren Ellis si tu veux y faire un tour. Jvoulais faire un commentaire pour chaque tome, et... puis... clic de fil.
Et sinon, si jamais, peut-être que Thomas Ott pourrait te plaire : que de dessins, pas de dialogue, donc pas de double attention requise. Et je me dis que l'univers pourrait te plaire : clic de fil 2)

Bon je note No comment !

Rah oui ça  a l'air sympas Thomas ott. J'irai lire son fil ce soir, là d'où je suis les images sont filtrés.

Tu aimes SpiderJerusalem. J'ai beaucoup aimé, les superbes dessins et leurs couleurs, le ton décalé et incisif et la critique. Mais j'ai pas encore eu l'occasion de  lire aprés le tome 3... J'ai les 3 premiers mais il y a des rupture de stock sur le 4 du coup il coute assez chère (Je le recherche dans sa dernière édition). Et a la média il était manquant. (faudrait que je revérifie)

Tu as lu les 5 et 6 du coup ? La fin est du même niveau ?

(Réponse sur le fil de Ellis)

Voilà qui m'intrigue aussi. J'aime bien l'illustration. Et le reste a l'air pas mal aussi...

Je lis très peu de BD, je vais peut être m'y remettre.. 

Ce recueil de dix témoignages tous dignes d'intérêt, à un degré ou à un autre est:

-précédé d'une préface de Robert Badinter courte mais brillante , rappelant l'essentiel,

- s'achève sur le statut légal de l'homosexualité dans le monde..et il y aurait à dire.

Ces témoignages sont entrecoupés de différents développements juridique, historique, ou de réflexion effectivement sur le concept de " norme", ainsi qu'un chapitre qui explique un peu plus quelque chose de très différent qui est la transidentité.
A ce niveau, j'ai regretté quand même qu'il manque un chapitre plus scientifique, car il y a eu, et il y aura encore, pas mal de recherches sur l'orientation sexuelle. Ce chapitre aurait pu mettre en évidence ce qui a été clairement démontré, c'est qu'au même titre que la couleur des cheveux ( mais de façon beaucoup plus complexe) l'attirance sexuelle ne se décide pas. Elle existe en chacun de nous, et puis c'est tout. Elle peut mettre du temps à se découvrir,elle peut hésiter très longtemps, elle peut tenter de se masquer surtout si elle est réprouvée par l'entourage, mais elle existe.
Que l'on ne sache pas à quoi elle est due, c'est vrai . Mais il y a encore beaucoup d'inconnues dans tous les domaines, d'autant plus qu'en matière de recherche sur l'identité, tout se complexifie au fur et à mesure de l'avancée des recherches. La génétique semblait pouvoir répondre à beaucoup de questions? Et bien, ce n'est pas si simple, nous passons à l'épigénétique. Et nous allons découvrir que nous sommes faits à partir d'une multitude de données qui s'entremêlent, sont influencées par les environnements successifs, se transmettent , et que toutes ces données ne seront pas démêlées si facilement. Je ne sais pas qui a créé cela, mais c'est sûr que cela aurait été plus facile s'il s'était arrêté à la paramécie.

Le graphisme... et bien, à vrai dire, il diffère selon les dessinateurs,ce que je reprocherais peut-être , c'est d'avoir privilégié noir, blanc et gris. Est-ce volontaire? J'aurais volontiers souhaité un peu de couleurs..:)

Les témoignages:

Je mettrai à part l'histoire de Bénédicte, née Kevin dans un corps de garçon. Car le transsexualisme est à différencier de l'homosexualité. C'est un témoignage en tout cas très honnête qui démontre bien les souffrances que ces individus sont prêts à subir pour ne pas continuer à vivre dans un corps qui ne leur convient pas ( à différencier bien sûr de la chirurgie esthétique..) C'est très profond et c'est si important que le suicide est souvent la solution adoptée par ceux qui ne supportent pas de vivre sous une identité sexuelle qui n'est pas la leur ( et ce , encore une fois, non sur un coup de tête, ni expliqué par quoi que ce soit d'autre que certainement des arguments biologiques). Je sais gré à Maxime Foerster d'avoir parlé des rae rae en Polynésie.Il manque les fameux Mau, élevés comme des filles pour une raison ou une autre, ce qui ne préjuge en rien de leur avenir en matière de sexualité. La transsexualité non plus  n'a rien à voir avec l'orientation sexuelle qui vient après,Bénédicte l'explique très bien dans son témoignage.

Bien sûr, on ne peut qu'être ému du témoignage de Momo, un jeune Malien qui a fui son pays.
Mais le plus intéressant ,dans je dirais l'actualité récente qui a fait tant de bruit, me semble être celui de Marc catholique pratiquant et homosexuel. Complètement dérouté par les réactions violentes, voire haineuses constatées des jours et des jours contre l'obtention d'un droit, celui de se marier. Comment va-t-il pouvoir concilier sa foi et son implication à ce sujet et son homosexualité contre laquelle il ne peut rien. Il y a là une réflexion profonde et qu'on devine très douloureuse.

Deux..remarques:

Le premier témoignage est celui de Philippe dont le compagnon est mort du Sida. Cela semble loin, et pourtant..
  Et oui, le temps passe vite mais  l'histoire est importante, et elle a marqué un tournant majeur. Cette période a existé ( et existe encore, à moindre degré bien sûr grâce aux traitements qui ne sont que palliatifs le plus souvent -et très rarement "avoués" même à des médecins de nos jours, c'est le comble- et de façon majeure dans certains pays, on n'en parle plus , c'est tout).
Les malades à cette époque ont été traités comme des pestiférés, personne ne voulait s'en occuper et beaucoup sont morts dans des conditions médicales épouvantables, et complètement seuls et rejetés. Jusqu'à ce qu'on découvre, comme d'habitude, ce qu'était cette maladie, c'est à dire une maladie virale comme une autre. La société devrait être reconnaissante à la communauté gay de s'être prise en mains en activant les recherches, en créant des associations d'aides, qui ont apporté par la suite le développement d'autres associations, pour d'autres maladies, et des regroupements de malades , qui s'aident les uns les autres et bousculent un peu certaines prérogatives indûment dévolues à un corps médical un peu trop enfoncé dans ses certitudes.

Ensuite, le titre: Les gens normaux.. Oui, on le comprend à la fin. Mais.. dans tous ces témoignages, ce que l'on constate ( mais on le sait) , c'est qu'aucun de ceux qui témoigne n'est traité normalement. Il y a le pire bien sûr, Momo, mais les autres.. Aucun ne souhaite en parler, n'ose en parler , qui dans sa famille, qui dans son milieu professionnel. Normalité d'être, bien sûr, mais pas normalité de faits. Il me semble que le titre aurait pu le mettre plus plus en évidence.


Mais il y a le regard des autres qui nous fait nous fait nous sentir différents. Les gens ont besoin de se rassurer pour éviter la question de: Quelle est mon identité, qu'est ce que je choisis et comment je vais la construire. Evidemment, il y a un modèle Ikéa , il suffit de monter les morceaux, et hop, c'est tellement plus simple. Mais quand les morceaux ne s'assemblent pas selon le mode de montage, que les vis ne rentrent pas dans les trous et que les boulons sont tous de travers, il faut improviser...

Je trouve cette initiative très intéressante dans la diversité des témoignages ,susceptibles peut être d'ouvrir certains esprits qui m'ont surprise, le mot est faible , lors de l'actualité récente.

Super initiative. Je le commande.

Merci pour ce commentaire Marie, je pense le commander aussi.

Marie a écrit:

Je lis très peu de BD, je vais peut être m'y remettre.. 

alors un petit click pour ta prochaine lecture?

Merci pour ce commentaire bien nuancé Marie.
J'avais vu cet album à la bibliothèque mais le graphisme très serré, tout en noir et blanc, m'a dissuadé. J'ai eu l'impression que le ton était généralement très grave (certes, le sujet ne porte pas à rigoler, mais le tragique absolu m'a toujours semblé être un moyen limité pour communiquer).

En attente d'autres impressions alors...

colimasson a écrit:

Merci pour ce commentaire bien nuancé Marie.
J'avais vu cet album à la bibliothèque mais le graphisme très serré, tout en noir et blanc, m'a dissuadé. J'ai eu l'impression que le ton était généralement très grave (certes, le sujet ne porte pas à rigoler, mais le tragique absolu m'a toujours semblé être un moyen limité pour communiquer).

En attente d'autres impressions alors...

Oui, le graphisme n'est pas génial.
C'est surtout l'initiative qui est intéressante , pour parvenir à faire lire par certains certaines choses élémentaires. Passer par l'identification est un bon moyen.

J'avais lu, dans la même édition, un recueil sur le Japon je crois. C'est toujours frustrant, parce que certain nous parlent, et d'autres beaucoup moins.

Marie a écrit:

A ce niveau, j'ai regretté quand même qu'il manque un chapitre plus scientifique, car il y a eu, et il y aura encore, pas mal de recherches sur l'orientation sexuelle. Ce chapitre aurait pu mettre en évidence ce qui a été clairement démontré, c'est qu'au même titre que la couleur des cheveux ( mais de façon beaucoup plus complexe) l'attirance sexuelle ne se décide pas. Elle existe en chacun de nous, et puis c'est tout. Elle peut mettre du temps à se découvrir,elle peut hésiter très longtemps, elle peut tenter de se masquer surtout si elle est réprouvée par l'entourage, mais elle existe.
Que l'on ne sache pas à quoi elle est due, c'est vrai . Mais il y a encore beaucoup d'inconnues dans tous les domaines, d'autant plus qu'en matière de recherche sur l'identité, tout se complexifie au fur et à mesure de l'avancée des recherches. La génétique semblait pouvoir répondre à beaucoup de questions? Et bien, ce n'est pas si simple, nous passons à l'épigénétique. Et nous allons découvrir que nous sommes faits à partir d'une multitude de données qui s'entremêlent, sont influencées par les environnements successifs, se transmettent , et que toutes ces données ne seront pas démêlées si facilement. Je ne sais pas qui a créé cela, mais c'est sûr que cela aurait été plus facile s'il s'était arrêté à la paramécie.

Le risque, si on arrive à démêler l'inné de l'acquis, c'est qu'on en revienne à la traiter comme une pathologie qui pourrait être normalisée par un traitement X ou Y... ce qui explique pourquoi les recherches sont des sujets archi-sensibles...

Pour la paramécie... c'est justement un modèle d'étude pour l'épigénétique, parce qu'elle est sexy avec ses différents noyaux. Pour toi Marie, un article sympa bien de chez nous COMMENT CA ELLE EST SIMPLE LA PARAMECIE ?

EN MODE PAS LE TEMPS DE FAIRE UN TRUC BIEN ROULE MAIS VOUS AVEZ L'HABITUDE

Citation :

“Avec la famille, vous n'êtes pas obligé de dire l'entière vérité et ce n'est pas considéré comme un mensonge."
Après la Mort de son fils, Régina Segal emmène sa petite fille, Mica, à Varsovie où elles espèrent récupérer une propriété familiale spoliée pendant la seconde guerre mondiale. Une histoire de famille, de secrets, et d'amour.

Et c'est vraiment bien.
Sensible, et tout. Auteur qui m'avait déjà séduite avec "exit wounds".
Mélange entre histoire, famille, sentiments et tradition.
A (s')offrir. J'ose pas en dire trop. Mais elle aura un prix à Angoulême sûr.


Plus troublant :

Citation :

Danseuse dans les bars de Montréal au début des années 1980, Sylvie Rancourt met à la disposition des clients un fascicule exposant, en bande dessinée, les aléas de son métier. L’initiative plaît, les lecteurs en redemandent.

Ce livre reprend les sept numéros de la série dessinés par Sylvie Rancourt elle-même, avant qu’elle ne s’associe avec Jacques Boivin en 1985, pour en réaliser une version "comic book".

Alors... gros décalage temporel, il faut absolument remettre la Bd dans son époque pour la lire sans rire.

Et là... grosse nostalgie... le dessin est terriblement naif, et dialogues pires encore.
On a l'impression de retomber sur ses propres Bds de gamin, mais on se dit que l'auteur était malgré tout couillue pour l'époque.
Vaguement érotique, mais surtout comique parce que la Melody en question,
c'est un peu Bécassine au pays des pole dance... son mec Nick est bête comme ses pieds,
et elle, s'est une bonne poire du début à la fin (et on se dit qu'elle aurait un bon potentiel pour jouer Justine ou les malheurs de la vertu).
Très perplexe lors de sa lecture, au final, à classer dans les ovni : la bd est touchante par sa sincérité et sa naïveté...
Anachronisme total !

"
Si la paramécie apparaît comme un modèle de choix pour analyser les composantes épigéné- tiques de l’hérédité, cela tient sans doute à sa complexité structurale et fonctionnelle qui en fait une sorte de métazoaire non cellularisé. Ses deux caractéristiques les plus atypiques, en effet, sont la complexité de son organisation corticale - offrant une énorme amplification des structures centriolaires qui n’existent ailleurs qu’en deux exemplaires par cellule - et son dualisme nucléaire, avec un micronoyau diploïde à fonction germinale et un macronoyau très polyploïde, dérivé du micronoyau, mais contenant un génome «simplifié» dédié à la transcription. Cet article tente de décrire comment l’analyse génétique de caractères touchant justement à ces particulari- tés - l’organisation du cortex et l’expression de fonctions macronucléaires - a conduit à mettre en évidence le rôle, dans l’hérédité cellulaire chez la paramécie, de trois composantes: génome, transcriptome et « structurome », trilogie qui a quelques chances d’avoir une signification biolo- gique, voire évolutive, générale."


Effectivement, je te le concède , le côté polyploïde du noyau en temps troublés  ( ou pas d'ailleurs, empêchez moi de dériver, j'en ai trop envie!)mérite toute mon attention. 
Et sinon, oui, d'accord avec toi.. Mais il s'agissait , soyons honnête, d'un commentaire ailleurs pour répondre à certains qui m'avaient pris la tête , je n'arrive pas à comprendre comment on peut être encore aussi ..primaire. Passons.

Moi, j'aime bien les métazoaires surtout non cellularisés. Toi aussi?

Je vais relire plus à fond cet intéressant article, merci, et nous en parlerons plus à fond sur ce fil, car je suis persuadée qu'il peut y avoir des avis divergents. Oups, pardon.

Marie a écrit:

" Moi, j'aime bien les métazoaires surtout non cellularisés. Toi aussi?

Oui, ils font partie de mes zones intellectuelles érogènes !!!