Que lisez-vous en mai?

Sophie a écrit:

Emilie de Laurent Bayot.

Tiens, c'est un prénom que je connais bien.... par simple curiosité, je vais acheter ce bouquin

Faute d'identité de M. Assayas.

Madame B. a écrit:

Faute d'identité de M. Assayas.

et un de plus.... il v me falloir 5 vies pour tout lire !!!

Les âmes vagabondes de S.Meyer

Astazie a écrit:

Les âmes vagabondes de S.Meyer

J'espère que tu l'apprécieras autant que je l'ai apprécié

En ce moment, je lis Divine misdemeanors, 8e et dernier tome de la très sexuée (quoique ça s'est enfin calmé ) série Merry Gentry de Laurell K. Hamilton (dont il faudrait que je me décide à ouvrir le fil un de ces quatre, d'ailleurs )

Zazy a écrit:

Citation :

Madame B. a écrit:
Faute d'identité de M. Assayas.

et un de plus.... il v me falloir 5 vies pour tout lire !!!

Et en plus il est vraiment très bien et très intelligent.

"Le retour de Jim Lamar" de Lionel Salaün

Je commence La Princesse des glaces de Camilla Läckberg.

animal a écrit:

Tango de Satan de László Krasznahorkai.

c'est du très grand, aussi lisible que dense et développé. on entrevoit une époque sans que ça ne marque le texte, ça se lirait comme un classique. ou ce qu'on peut appeler un très bon livre, tout simplement. c'est le sentiment de lecture, le reste...

zazy a écrit:

Sophie a écrit:

Emilie de Laurent Bayot.

Tiens, c'est un prénom que je connais bien.... par simple curiosité, je vais acheter ce bouquin

Tu me diras si tu trouves ce roman car il est introuvable; c'est une amie qui me l'a offert, car elle connaît l'auteur (Belge).
C'est un roman policier, plutôt bon et haletant; j'aime vraiment bien alors que c'est un premier roman. On y trouve des maladresses mais dans l'ensemble, c'est plein de suspense.

animal a écrit:

animal a écrit:

Tango de Satan de László Krasznahorkai.

c'est du très grand, aussi lisible que dense et développé. on entrevoit une époque sans que ça ne marque le texte, ça se lirait comme un classique. ou ce qu'on peut appeler un très bon livre, tout simplement. c'est le sentiment de lecture, le reste...

Et ça se lit assez facilement ? Raconte ...

Je lorgne déja vers Au nord, par une montagne, au sud par un lac...

animal a écrit:

animal a écrit:

Tango de Satan de László Krasznahorkai.

c'est du très grand, aussi lisible que dense et développé. on entrevoit une époque sans que ça ne marque le texte, ça se lirait comme un classique. ou ce qu'on peut appeler un très bon livre, tout simplement. c'est le sentiment de lecture, le reste...

Nous attendons le fil

animal a écrit:

animal a écrit:

Tango de Satan de László Krasznahorkai.

c'est du très grand, aussi lisible que dense et développé. on entrevoit une époque sans que ça ne marque le texte, ça se lirait comme un classique. ou ce qu'on peut appeler un très bon livre, tout simplement. c'est le sentiment de lecture, le reste...

L'adaptation cinéma par Bela Tarr "Satantango" vaut le coup d'oeil. Tu me donnes envie de lire le roman.

j'ai une horrible envie de voir le film ! (et le récit de la rencontre et de l'insistance du réalisateur c'est quelque chose !).

Tango de Satan, c'est dense dans son contenu et son atmosphère mais l'écriture est souple. Et la construction à travers des personnages et chapitres différents est assez bien écrite pour qu'on ne s'attarde en réalité pas vraiment sur le procédé. j'essaierai de vous trouver un extrait prochainement.

l'ai feuilleté le Au nord ... il a quand même l'air d'avoir de beaux petits morceaux. huhu.

J'ai commencé Le jour où ma fille est devenue folle de Michael Greenberg, éditorialiste au Times.

Résumé de l'éditeur:

Citation :

Le jour où ma fille est devenue folle Le jour où ma fille est devenue folle est l'implacable chronique de l'été durant lequel Sally, la fille de l'auteur, âgée de quinze ans, a connu sa première crise maniaco-dépressive - un événement qui a bouleversé sa vie et celle de toute sa famille. Dans un style simple et vibrant, Michael Greenberg brosse le portrait saisissant d'un esprit et d'un corps assiégés. Il décrit son combat quotidien, peuplé de personnages inoubliables. Il dit l'espoir placé dans les psychiatres, les infirmières et les thérapeutes. Il évoque le sentiment d'impuissance, les appels à l'aide mais aussi les secousses et les révélations au sein de la famille. Il tente de comprendre la maladie qui ronge Sally, se documente sans relâche sur les troubles mentaux, allant jusqu'à prendre une pleine dose des médicaments qui lui sont prescrits. Un récit surprenant, déchirant, tout sauf sentimental, d'un père qui tente désespérément de ramener sa fille à lui.