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Décès de Ravi Shankar... il a joué du sitar avec les plus grands (George Harrison, les Rolling Stone, Philip Glass, Paco de Lucia...). Le voici avec Yehudi Menuhin. La vidéo n'est pas très bonne mais quel plaisir de voir la joie de jouer...

shanidar a écrit:

Décès de Ravi Shankar...

eXPie l'avait annoncé ce matin, mais dans le Piano Bar j'ai retiré son message et ceux qui ont suivi et les ai mis sur ce fil

Elle était l'épouse du grand Mstislav Rostropovitch....

Galina Vishnevskaya,Soprano....elle s'en est allée avant hier

kenavo a écrit:

shanidar a écrit:

Décès de Ravi Shankar...

eXPie l'avait annoncé ce matin, mais dans le Piano Bar j'ai retiré son message et ceux qui ont suivi et les ai mis sur ce fil

oups désolée... (et je remarque que nous avons les mêmes références avec Igor...)

pas de raison pour être désolé

Citation :

Wolfgang Sawallisch, l'un des plus grands chefs d'orchestre allemands, est mort vendredi 22 février à l'âge de 89 ans, a annoncé dimanche l'Opéra d'Etat de Bavière, dont il a été durant vingt ans le directeur ainsi que le directeur musical. Le chef d'orchestre est mort vendredi en fin de journée dans sa maison de Grassau (Haute-Bavière), a déclaré l'Opéra dans un communiqué.

(totalité de l'article ici).



Il avait dirigé de bien belles messes de Schubert.

Disparitions de deux monuments, dont bizarrement je n'ai pas entendu parler à la radio (sauf suisse).

Marie-Claire Alain (1926-26 février 2013):




Van Cliburn (1934-27 février 2013).

Citation :

Mais c'est véritablement son succès à Moscou qui le propulse à la gloire internationale. Organisé par l'URSS, le premier Concours international Tchaïkovski était un événement destiné à démontrer la supériorité culturelle de celle-ci pendant la Guerre froide, sur la lancée de la victoire technologique du Spoutnik lancé dans l'espace quelques semaines auparavant. À la finale du concours, la lumineuse virtuosité de Cliburn dans le Concerto n°1 de Tchaïkovski et le n° 3 de Rachmaninov lui vaut une standing ovation qui dure bien huit minutes. Les juges soviétiques auraient été alors contraints de demander à Nikita Khrouchtchev la permission de donner le premier prix à cet Américain. « Est-il le meilleur ? » leur aurait demandé le dirigeant soviétique. « Alors donnez-lui le prix ! ».
Cliburn obtient donc le premier prix, devant un Chinois, Liu Shih-kun. Le magazine TIME fait de l'évènement sa couverture et titre « Le Texan qui a conquis la Russie ». Le retour de Cliburn aux États-Unis est célébré par une ticker-tape parade à New York, du jamais vu pour un interprète de musique classique.

(Wikipedia).

Van Cliburn, 1962 :

A la radio comme à la télé, on cherche les nouvelles accrocheuses....hélas....

Pour Marie-Claire Alain, France Musique l'honore depuis mardi.
Wolfgang Sawallisch a aussi un bel homage sur la même radio depuis samedi.

Merci Igor

C'est vrai que j'écoute très peu France Musique...j'ai un peu de mal à m'y sentir à l'aise

Pourtant le matin à 9h c'est Denisa Kerschova sympa avec une bonne programmation,
à 11h une leçon de musique très intéressante (le mardi: Jazz - et même Zappa l'autre jour )
Du côté de chez Pierre à 13h40 qui exploite les correspondances de musiciens fameux avec illustrations musicales
Ensuite un concert...
A 18h: 1h de jazz
Et puis souvent, je prends le relais avec mes disques...

Oui, elle était sur radio classique avant....

J'essaierai

Paris en chansons, une carte interactive !

clic !

Décès de Rafael Puyana (1931-2013)

Je me souviens que j'avais en cassette le fandango de Padre Soler qu'il interprétait, et qui ouvre le bal :

Citation :

Virtuose, chercheur, collectionneur, Rafael Puyana était originaire de Bogota en Colombie. Sa passion pour le clavecin lui avait été « inoculée » à la lecture d’un « petit bouquin », offert par son grand-père lettré, sur la grande pianiste et claveciniste polonaise Wanda Landowska, puis à l’écoute d’un enregistrement pirate – édité au Chili – de cette même artiste. Séduit, le jeune homme deviendra son élève à New York, lui que sa famille avait pourtant envoyé suivre des études de gestion et commerce à l’université de Boston… Une autre maîtresse femme de la musique lui prodiguera plus tard son enseignement, mais à Paris cette fois : Nadia Boulanger.

Le répertoire baroque constituait le jardin artistique naturel de Rafael Puyana qui excellait dans Scarlatti, Soler, la musique anglaise et, bien entendu, Jean-Sébastien Bach. Mais cet homme curieux, aimant à fréquenter les créateurs et les esprits de son temps, servait ou créait aussi volontiers la musique du XXe siècle, de Manuel de Falla au Francis Poulenc du Concert champêtre et jusqu’à Federico Mompou ou Alain Louvier qui lui dédièrent des œuvres.

(source : ici).

Musique et cinéma : le mariage du siècle ?

Du 19 mars au 18 août 2013

Cité de la musique à Paris

Citation :

Que serait la magie du cinéma sans l’émotion de la musique ? L’exposition « Musique et cinéma, le mariage du siècle ? » a l’ambition de dévoiler ce qui se joue dans cette rencontre sensible entre deux arts. Destinée à tous les publics, aux cinéphiles comme aux mélomanes, elle est l’occasion de se plonger dans les coulisses de la fabrication des grands films qui ont marqué l’histoire du cinéma, en rendant perceptible le rôle de la musique dans leur élaboration.

Partant de thèmes fédérateurs (le rire, l'épopée, l’amour, le suspense...), de duos célèbres de cinéastes-compositeurs (Prokofiev / Eisenstein, Hitchcock / Hermann, Leone / Morricone...), le parcours de l’exposition démontre le rôle que peut jouer la musique à toutes les étapes de la fabrication d’un film, dès sa conception. Tout au long de l'exposition, plus de cent extraits de films projetés dans de petites salles dialoguent avec des œuvres de natures très diverses : interviews, extraits sonores, photos, pochettes de disques, instruments, documents de tournage sont réunis pour dévoiler la façon dont la musique renforce le pouvoir d'évocation du 7e art. Des modules interactifs offrent également aux visiteurs une approche sensible et pédagogique de la musique au cinéma.

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