L'actualité des sorties en poche - 2012

Yoshida Shuichi, Parade





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A paraître le 7 novembre en babel chez Actes Sud :

Indiennes de Mahasweta Devi, l'un des auteurs majeurs de langue bengali.

Présentation de l'éditeur
Saisissante déclinaison de la condition féminine telle qu'elle peut se vivre dans le sous-continent, ce portrait de la femme indienne en six longues nouvelles met en scène des protagonistes de castes et d'origines différentes. Nourri de tous les engagements de Mahasweta Devi, personnalité profondément ancrée dans la réalité indienne qui n'a cessé de militer pour une autre vision de l'Inde, ce recueil dérangeant est à l'image de son œuvre tout entière. Loin du misérabilisme souvent de rigueur dès qu'il est question du sous-continent - et en particulier de Calcutta, qui souffre d'un image très réductrice -, le récit de ces destins de femmes se caractérise au contraire par une vivacité et une ironie inattendues qui permettent d'exposer avec vigueur les tensions sociales, la violence des rapports dominants-dominés et de donner à entendre, avec une redoutable efficacité, ces voix opprimées et solitaires souvent ignorées par les livres d'histoire et les médias.

Biographie de l'auteur
Mahasweta Devi est née en 1926 à Dacca. Femme de conviction et de terrain, elle partage son temps entre action militante et écriture. Auteur d'une soixantaine d'ouvrages, lauréate de plusieurs prix littéraires indiens et internationaux, elle a déjà publié chez Actes Sud un roman très remarqué, La Mère du 1084 (2001).

Kathryn Stockett, La couleur des sentiments





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Heinrich Böll, Les deux sacrements




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Tom Robbins, B comme bière






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Budd Schulberg, Le Désenchanté




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Vaikom Muhammad Basheer : Grand-père avait un éléphant

Ne vous fiez pas à cette hideuse couverture (quel contraste avec l'édition zulma en grand format !); ce livre est une délicieuse parenthèse, un petit bijou de conte moral écrit en 1951 _ et en malayalam_, tendre et humoristique.

un poche paru en septembre, mais ce n'est pas trop tard de faire l'annonce
et sympa qu'ils ont gardé la même couverture



Francisco Goldman, Dire son nom





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Nicolas Fargues, Tu verras




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Dang Thuy Trâm : Les carnets retrouvés (1968-1970)

Citation :

En 1966, Dang Thuy Trâm s’engage comme volontaire dans la lutte contre l’occupation américaine au Vietnam. Elle a vingt-trois ans, elle est médecin et tient un journal de sa vie de guerre. En juin 1970, l’hôpital dont elle a la charge est bombardé. Repérée par une patrouille, Thuy meurt, touchée en plein front.
Les deux carnets qui composent son journal, retrouvés sur la piste par un agent des services secrets américains, échappent par miracle à la destruction. Ce n’est que trente-cinq ans plus tard qu’ils seront enfin restitués à sa famille.
« Ne brûlez pas ce livre, il y a déjà du feu là-dedans », avait dit son interprète vietnamien à l’agent américain. Dans ces carnets nous parvient, par-delà le temps, la voix d’une jeune femme éprise d’idéal, pleine de vie et de feu qui parle au jour le jour de la guerre, du danger, de la solitude, du bouillonnement de ses idées et de ses sentiments, des rêves qui l’habitent pour son pays. Une voix limpide, sincère, fervente.

Manu Joseph, Les savants



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Dan Chaon, Cette vie ou une autre




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