Que lisez-vous en janvier?

Arabella a écrit:

Un été sans les hommes de Siri Hustvedt. Pour le moment j'accroche pas trop.

Et ça ne m'étonne pas trop, d'ailleurs je me suis demandée quelle mouche t'avait piquée, mais on ne sait jamais, tu vas peut-être l'apprécier quand même finalement.

Rien lu de tout le weekend et je ne sais pas quoi choisir pour demain. La vie est trop trop dure.

Epi a écrit:

...... et je ne sais pas quoi choisir pour demain. La vie est trop trop dure.

Ton petit tailleur prune et tes bottes noires, ça devrait le faire.

eXPie a écrit:

Après Monsieur Walser (Tavares ; c'est une petite chose), j'ai commencé Hôtel des Cimes, de Vaclav Havel, histoire de voir ce que vaut son oeuvre (mais je ne sais pas si cette pièce est représentative, si elle est considérée comme une de ses meilleure ou non).

Difficile à dire si ce théâtre-là est facile à lire. Si mon souvenir est bon, la langue et des bribes de mots, de sylabes, des onomatopées jouent un rôle important dans la pièces pour démontrer la perte de l'identité.

darkanny a écrit:

Epi a écrit:

...... et je ne sais pas quoi choisir pour demain. La vie est trop trop dure.

Ton petit tailleur prune et tes bottes noires, ça devrait le faire.

Tout à fait mon style

Epi a écrit:

Arabella a écrit:

Un été sans les hommes de Siri Hustvedt. Pour le moment j'accroche pas trop.

Et ça ne m'étonne pas trop, d'ailleurs je me suis demandée quelle mouche t'avait piquée, mais on ne sait jamais, tu vas peut-être l'apprécier quand même finalement.

J'avais vraiment apprécié Tout ce que j'aimais, et donc j'ai voulu tenter autre chose d'elle après Elégie pour un Américain qui m'avait plus que déçue. Mais ce n'est visiblement pas celui-ci qui me donnera envie de continuer.

La vie d'une autre de Frédérique Deghelt.

Arabella a écrit:

Epi a écrit:

Arabella a écrit:

Un été sans les hommes de Siri Hustvedt. Pour le moment j'accroche pas trop.

Et ça ne m'étonne pas trop, d'ailleurs je me suis demandée quelle mouche t'avait piquée, mais on ne sait jamais, tu vas peut-être l'apprécier quand même finalement.

J'avais vraiment apprécié Tout ce que j'aimais, et donc j'ai voulu tenter autre chose d'elle après Elégie pour un Américain qui m'avait plus que déçue. Mais ce n'est visiblement pas celui-ci qui me donnera envie de continuer.

Hé hé, moi aussi j'ai souri doucement dans mon coin quand j'ai vu que tu le lisais. Rien de vraiment convaincant dans celui-ci. Alors que je n'ai que des bons echos du premier (Tout ce que j'aimais)

Plongé dans "Les corrections". C'est bien!
D'un certain coté en phase avec l'actualité (L’Échec)...

L'asphyxie de Violette Leduc ; pour l'instant, ces souvenirs d'enfance me paraissent bien brouillons et fades... un poil larmoyants aussi...

Igor a écrit:

Plongé dans "Les corrections". C'est bien!
D'un certain coté en phase avec l'actualité (L’Échec)...

Tant mieux! Persiste sur les temps morts (si tu en trouves) car à distance, c'est la bonne impression qui reste(enfin pour moi, n'est-ce-pas Aeriale!)!

Je commence Nuit de Tchulpân



C’est à la faveur de l’implosion de l’URSS qu’a été redécouvert ce chef-d’œuvre des littératures d’Asie centrale, dont Stéphane A. Dudoignon, chercheur au CNRS, donne ici la première traduction dans une langue occidentale.

Par le truchement d’une fiction à re­bon­­dissements, bâtie sur une intrigue de ha­rem, l’auteur, ‘Abd al-Hamid Su­laymân, dit Tchul­pân (vers 1897-1938), l’une des figures du mouvement moderniste musulman d'Asie Centrale, dresse un tableau cinématographique du Turkestan en proie à la colonisation russe à la veille de la soviétisation.

À sa parution en 1936, ce grand roman populaire est perçu comme une critique virulente du stalinisme. Accusé de « nationalisme bourgeois », Tchulpân sera rapidement arrêté, déporté dans un camp du goulag, condamné à la peine capitale pour « activités contre-révolutionnaires » et exécuté.

Sans grande conviction, je vais commencer Mort d'un orfèvre de Magdalen Nabb.
Je vais devoir acheter de nouveaux livres, quelle corvée Ce n'est pas que j'en manque mais en fait, je n'ai pratiquement que des gros livres, il m'en faut de plus petits, max 200 pages.

topocl a écrit:

Igor a écrit:

Plongé dans "Les corrections". C'est bien!
D'un certain coté en phase avec l'actualité (L’Échec)...

Tant mieux! Persiste sur les temps morts (si tu en trouves) car à distance, c'est la bonne impression qui reste(enfin pour moi, n'est-ce-pas Aeriale!)!

En fait je n'ai pas lu Les Corrections Topocl, simplement La zone d'inconfort, avant Freedom. Peut-être que je peux tenter??

En attendant Les lâches que Tom Léo m'envoie, je dois me taper lire Inverno (LC) Pas terrible aux dires de mes amies...

Je lis les dernières pages de Sodome et Gomorrhe et j'ai préalablement terminé Gormenghast. Je fais une parenthèse avec un essai sur Romeo Castellucci:

Citation :

Autour de Romeo Castellucci, de sa sœur Claudia et de sa femme Chiara Guidi, est née la Societas Raffaello Sanzio, troupe italienne qui s'essaie depuis près de vingt ans à l'invention d'une véritable langue de la scène. En puisant dans tous les champs du savoir humain (art, science, philosophie), ce groupe parvient à créer des univers singuliers et des œuvres innovantes où toute forme d'intelligence du monde est prétexte à une traduction scénique. C'est à partir de notes, chroniques et entretiens réalisés autour de plusieurs de leurs créations que Bruno Tackels pose ici le premier opuscule d'une série qu'il consacrera aux " écrivains de plateau ", ceux qui écrivent avec les mots " de " la scène, dans les " langues étrangères " de la scène.

Aeriale a écrit:

[En fait je n'ai pas lu Les Corrections Topocl, simplement La zone d'inconfort, avant Freedom. Peut-être que je peux tenter??

.

En fait je ne pousserai personne à lire Les Corrections,tant ce roman est irrégulier. mais il ya d'excellents moments.