Expositions

André Le Nôtre et les jardins de Chantilly

Lieu: Château de Chantilly et son domaine
Dates : du 12 Avril 2013 au 7 Juillet 2013

Citation :

Presentation

Du 12 avril au 7 juillet 2013, dans le cadre du quatrième centenaire de la naissance d’André Le Nôtre (1613-1700), Chantilly propose une exposition sur les jardins français créés pour le Grand Condé par le célèbre jardinier. S’appuyant sur des plans inédits restaurés avec le soutien des Amis du musée Condé et la Fondation des Parcs et Jardins, l’exposition offre un nouveau regard sur le processus de création qui fit de Chantilly l’oeuvre préférée de son concepteur.

Grâce à une récente donation d’aquarelles et de dessins, le Domaine de Chantilly s’intéressera également à l’héritage de Le Nôtre. Pour la première fois, les jardins de Chantilly dévoileront tous leurs secrets : du génie du jardinier du roi, à ses transformations les plus récentes.

Fier de sa réalisation, André Le Nôtre écrivait en 1698 au comte de Portland : « Souvenez vous de tous les beaux jardins en France, Versailles, Fontainebleau, Vaux-le-Vicomte, les Tuileries et surtout Chantilly ».

Grâce à une scénographie subtile, mêlant documents, correspondances, gravures, plans et peintures, l’exposition offre pour la première fois à Chantilly un panorama sur ses jardins et sur les fêtes dont ils furent l’écrin aux XVIIe et XVIIIe siècles.

Une maquette au 1/600e propose au public une nouvelle lecture de l’ensemble des réalisations du parc, à la fois ludique et interactive. Des écrans disposés autour des 11m2 de plan en relief, permettent une immersion totale dans le Domaine et ses moindres recoins. Ainsi dotés d’un regard de géant, les visiteurs peuvent explorer le Château et ses jardins, les Grandes Ecuries et l’hippodrome, balayant du regard cinq siècles d’Histoire.

Un ouvrage sur André Le Nôtre et les jardins de Chantilly aux XVIIe et XVIIIe siècles est publié par les Editions d’Art Somogy (224 pages, 250 illustrations, prix public : 29 €) avec le soutien du Cercle des entreprises du Domaine de Chantilly et des American Friends of Chantilly.

Oooh je veux y aller !

Chantilly est un domaine magnifique !

Kannskia a écrit:

Oooh je veux y aller !

Chantilly est un domaine magnifique !

je te crois sur parole

kenavo a écrit:

Constance a écrit:

animal a écrit:

je la note celle là !

Une expo exceptionnelle que je visiterai au mois de mai. En attendant, j'ai acheté ce petit ouvrage.

ah oui, très belle expo... puisque je ne pourrais pas faire la visite, j'ai opté pour le grand catalogue de l'expo

je viens de le recevoir



oh combien j'envie ceux qui peuvent aller voir cette expo.. elle doit être extra-ordinaire... et quel beau catalogue... je me régale

tina a écrit:

eXPie a écrit:

A propos de l'expo "De l'Allemagne", au Louvre du 28 mars - 24 juin ...

Oui, j'hésitais à poster sur ce sujet, ne voulant pas polluer.

2 choses :

Il y a une mauvaise foi de la part des medias allemands absolument ahurissante. Insupportable même. A aucun moment, la "Germanie" n'est montrée comme une terre de concessions. Seule la dernière salle aborde le thème de la guerre (14-18) notamment et je ne vois pas en quoi les organisteurs du Louvre auraient sali le peuple Allemand. BIEN AU CONTRAIRE ! Moi qui n'achète jamais les catalogues d'expos, je l'ai pris pour le travail remarquable des historiens, cette tentative de définir une vraie sensibilité, une vraie identité culturelle proprement Allemande. Il y a un apport scientifique évident pour cette période, moins connue que le 16è ou que le début du 20è.

2d élément : s'il fallait démontrer - une fois de plus - à quel point tout est politique et intéressé dans ce qu'on appelle pompeusement "la culture", surtout les expos des grands musées. Celle-ci fut programmée en l'honneur de l'amitité franco-allemande, comprenons Hollande-Merkel, qui, comme chacun sait, ne peuvent se souffrir. Pour dire les choses autrement, la riposte des journalistes est politique.

Pris en otage : l'art, le boulot des spécialistes et le modeste amateur épris de beauté, qui n'a que faire de ces querelles basées sur des mensonges et des rapports de force.

Intéressant mais pas si simple à voir. Groupés et isolés les œuvres choisies très typées marquent bien une tendance entre conservatisme et grandiloquence et ont l'air presque anachroniques. Il est difficile d'imaginer leur perméabilité et leur coexistence avec un monde fin XIX^e début XX^e (avec un peu plus tôt on se dit pourquoi pas finalement).

Quelques surprises avec des Böcklin débordants et des paysages massifs. Étrangement le symbolisme n'est pas mentionné directement. Pour Caspar David Friedrich ce sont les paysages verdoyants et colorés de plaine qui sont les plus saisissants.

Les divergences, ou une cassure, apparaissent avec la mécanisation puis la guerre : quelques grandes toiles très impressionnantes et les dessins d'Otto Dix.

La mise en valeur d'une expression politique de la peinture est dans l'air du temps dirait-on après "l'art en guerre", Akseli Gallen-Kallela ou encore les macchiaioli, à moins que la période de création de ces œuvres n'impliquent l'état de fait.

Vue ou lue trop littéralement je conçois tout à fait que ça puisse faire grincer des dents avec des élans de modernités (belles choses autour de la botanique ou des recherches sur les couleurs) qui semblent apparaitre en intermède et cette cassure ou désenchantement qui se retrouve coincée par deux guerres.

Le point positif étant la découverte d'une vision d'art pas forcément "contestataire" (pour caricaturer) ce qui ne veut pas dire tout pourri.

A décanter...

Sans exposer les tableaux, mentionné dans des plaquettes ou avec des petites reproductions des points de repères français, allemands ou autres n'aurait pas été un luxe.

wow... voilà des raisons pour prévoi un séjour dans le sud...

Excellente exposition sur les dessinateurs Egyptiens, très émouvante car on y voit de nombreux "brouillons" quadrillés où les futurs professionnels balbutient leurs premières formes. A mon avis, avec l' Allemagne, à ne pas rater. (Je n'en dirais pas tant de l'expo Giotto, attrape-nigauds. Giotto mérite mieux que la petite salle de la Chapelle. Très peu d'oeuvres. Il ne se sont pas foulés ! Enfin, c"est le Louvre, capable du pire, comme du meilleur....).

Au Musée Guimet :

Citation :

L’art de Rosanjin, Génie de la cuisine japonaise

Du 3 juillet au 9 septembre 2013

En ouverture de la Saison japonaise, le musée Guimet a choisi de présenter une exposition consacrée à Rosanjin Kitaôji, génie de la cuisine japonaise. Il s’agira pour le public de découvrir un moment essentiel de l’évolution de l’art culinaire japonais au début du XXe siècle dont les innovations depuis n’ont cessé d’inspirer les artistes dans tous les domaines des arts de la table. L’art de Rosanjin demeure résolument actuel par beaucoup d’aspects et de dialogues même avec certaines recherches dans le domaine de la gastronomie française contemporaine.

Rosanjin, l’inventeur de la gastronomie au Japon, le « bi-shoku » ou l’esthétique du manger, redonne vie au concept du « beau autour de la table ». A la fois céramiste, artiste laqueur, calligraphe et peintre, il fut aussi essayiste et déclare à ce titre dans La voie du goût de Rosanjin : « La cuisine, tout en prenant comme matière la nature et en satisfaisant le désir le plus primitif des êtres humains, sublime ce savoir-faire au niveau de l’art. ».

Dans l’esprit de « l’art total » prôné par Rosanjin dans son restaurant mythique « Le Club des Gourmets », où se jouait devant chaque convive une pièce éphémère, les visiteurs pourront vivre une expérience culinaire et esthétique semblable à celle vécue par les heureux clients des restaurants de l’artiste. Les oeuvres seront placées dans des espaces dédiés, où seront projetées des vidéos de quatre grands chefs officiant chacun dans un style différent, dans le domaine de la haute cuisine traditionnelle.

( http://www.guimet.fr/fr/expositions/expositions-a-venir/cuisine-japonaise-rosanjin-kitao-ji )

A noter que l'on pourra lire un texte de Rosanjin dans l'anthologie "Le Club des Gourmets et autres cuisines japonaises" (voir ici).

Ce qui est bien, avec le musée Guimet, c'est que si on a vraiment faim en sortant, on sait qu'on peut aller se prendre une pâtisserie chez Noura, pas bien loin !

eXPie a écrit:

Ce qui est bien, avec le musée Guimet, c'est que si on a vraiment faim en sortant, on sait qu'on peut aller se prendre une pâtisserie chez Noura, pas bien loin !

C'est fou les messages subliminaux qu'on peut trouver dans des messages anodins !

en plus c'est terriblement vrai.

Il en faut pour tous les goûts. 

oui, en plus il y a l'embarras du choix dans leurs pâtisseries.