Parfum de livres… parfum d’ailleurs
Vous souhaitez réagir à ce message ? Créez un compte en quelques clics ou connectez-vous pour continuer.
Parfum de livres… parfum d’ailleurs

Littérature, forum littéraire : passion, imaginaire, partage et liberté. Ce forum livre l’émotion littéraire. Parlez d’écrivains, du plaisir livres, de littérature : romans, poèmes…ou d’arts…
 
AccueilAccueil  Dernières imagesDernières images  RechercherRechercher  S'enregistrerS'enregistrer  Connexion  
-20%
Le deal à ne pas rater :
Ecran PC GIGABYTE 28″ LED M28U 4K ( IPS, 1 ms, 144 Hz, FreeSync ...
399 € 499 €
Voir le deal

 

 Philippe Claudel

Aller en bas 
+47
Heyoka
Madame B.
Harelde
Maline
Cassiopée
krys
uolav
zazy
mimi54
Gladice
Orientale
Lamouette
traversay
Livvy
Menyne
tom léo
Marko
chrisdusud
Nathria
la-lune-et-le-miroir
Argantel
animal
bulle
mimi
bertrand-môgendre
Dolce.vita
sousmarin
Queenie
lys
Sahkti
Marie-Laure
Milly
Chatperlipopette
Alfred Teckel
kenavo
Steven
Aeriale
Le Bibliomane
Babelle
coline
swallow
monilet
Fantaisie héroïque
Sophie
Marie
Ellcrys
domreader
51 participants
Aller à la page : Précédent  1 ... 5, 6, 7 ... 11 ... 17  Suivant
AuteurMessage
Marie
Zen littéraire
Marie


Messages : 9564
Inscription le : 26/02/2007
Localisation : Moorea

philippe claudel - Philippe Claudel - Page 6 Empty
MessageSujet: Re: Philippe Claudel   philippe claudel - Philippe Claudel - Page 6 EmptyDim 17 Fév 2008 - 0:23

Au revoir Monsieur Friant
Editions Nicolas Chaudin



philippe claudel - Philippe Claudel - Page 6 Friant10


C'est un petit volume, dans lequel Philippe Claudel raconte des souvenirs d'une enfance lorraine, et en particulier de sa grand mère. Il part, pour ce faire, à chaque fois d'une reproduction d'un peintre naturaliste de l'Ecole de Nancy, Emile Friant, et on découvre pourquoi à la fin.
J'ai beaucoup aimé, et vous en livre un extrait:

" Grand-Mère à seize ans partit pour la ville, avec pour seul bagage son courage et un petit sac de voyage en carton bouilli que ma mère, avec d'infinies manières délicates, prenait plaisir à me montrer, bien plus tard, comme une relique, ou le signe tragique d'une condition. J'ai toujours eu beaucoup de mal à imaginer cette jeune fille sortie de la campagne lorraine, toute empêtrée encore d'air pur, de parfums de foins fauchés, de manières grossières et de recommandations de curé, arriver dans le tourbillon gueulard de Nancy. C'était au début du siècle. L'autre. Celui des premières automobiles, des chapeaux Cronstadt, des colonnes Morris, et des existences saccadées comme le sont les démarches sur les premiers films du cinématographe. Elle y fut bonne pendant trois ans, dans différentes places. Jamais elle n'évoqua devant moi ce passé de courbettes et d'encaustique, confiné dans les boiseries goitreuses des demeures bourgeoises. Elle eut juste le temps de rencontrer dans la ville, au mois d'août 1918, un jeune serrurier qui allait être mon grand père, d'un an plus jeune qu'elle. Puis elle revint dans sa campagne, qui n'était au fond qu'à quelques kilomètres, comme tant d'autres de même s'en sont revenues. Grand Père, le costume de marié suspendu comme un beau souvenir à une porte du grenier, partit pour la Guerre, la Première, celle que l'on dit "grande". Elle ne devait plus durer que deux mois, mais ce fut amplement suffisant pour qu'il y mourût, trois jours avant l'armistice, d'une volée de mitraille prise en plein visage et d'un gros éclat d'obus dans le coeur. Il avait dix-sept ans et se prénommait Anne, perpétuant ainsi une tradition qui avait fait de ce prénom jadis l'apanage des hommes."
Revenir en haut Aller en bas
sousmarin
Zen littéraire



Messages : 3021
Inscription le : 31/01/2007
Localisation : Sarthe

philippe claudel - Philippe Claudel - Page 6 Empty
MessageSujet: Re: Philippe Claudel   philippe claudel - Philippe Claudel - Page 6 EmptyVen 14 Mar 2008 - 2:35

La petite fille de Monsieur Linh

Beaucoup de tendresse dans ce livre, émouvant mais qui sait garder la distance qui caractérise les bons écrivains…

Bien sûr, la maison de retraite luxueuse pour un réfugié dans laquelle, en plus, il peut continuer de s’occuper de sa petite fille, sans parler de sa fuite victorieuse, est peu vraisemblable mais il y a dans ce roman, une très belle histoire d’amitié silencieuse qui se traduit par des gestes très purs, voire épurés…une main qui se pose sur une épaule et que le lecteur perçoit, pour ne pas dire sent, sur la sienne…2 banals paquets de cigarettes qui font pleurer celui qui les reçoit…un monsieur Bonjour qui dit bonjour pour dire au revoir…un banc où il ne fait pas froid s’asseoir…

En parallèle à cela, il y a les ricanements méprisants des uns et l’indifférence de beaucoup à ce qui ne les frappent pas directement et puis il y a la petite fille qui ne parle pas ou le gros homme qui parle beaucoup à quelqu’un qui ne le comprend pas mais qui l’écoute attentivement.
Un livre sur le déracinement, la solitude et le désespoir mais aussi sur la communication, l’amitié …et l’espoir ressuscité…
Revenir en haut Aller en bas
Dolce.vita
Envolée postale
Dolce.vita


Messages : 147
Inscription le : 02/02/2008
Age : 44
Localisation : 93

philippe claudel - Philippe Claudel - Page 6 Empty
MessageSujet: Re: Philippe Claudel   philippe claudel - Philippe Claudel - Page 6 EmptySam 15 Mar 2008 - 22:56

Je suis d 'accord, c'est plein de poésie, de jolies images, de tendresse, d'espoir ...
L'histoire est belle, on a envie de venir prendre dans nos bras ce Monsieur Linh, si gentil, si seul ...
Mais je me suis tellement ennuyée en lisant ce livre ... chut
Revenir en haut Aller en bas
http://messaline.over-blog.net/
bertrand-môgendre
Sage de la littérature
bertrand-môgendre


Messages : 1299
Inscription le : 03/02/2007
Age : 68
Localisation : ici et là

philippe claudel - Philippe Claudel - Page 6 Empty
MessageSujet: Re: Philippe Claudel   philippe claudel - Philippe Claudel - Page 6 EmptyMar 18 Mar 2008 - 10:09

La petite fille de monsieur Linh de Philippe Claudel

Broché: 159 pages
Editeur : Stock (1 août 2005)
ISBN-10: 2234057744

Présentation de l’éditeur
Monsieur Linh est un vieil homme. Il a quitté son village dévasté par la guerre, n’emportant avec lui qu’une petite valise contenant quelques vêtements usagés, une photo jaunie, une poignée de terre de son pays. Dans ses bras, repose un nouveau-né. Les parents de l’enfant sont morts et Monsieur Linh a décidé de partir avec Sang Diû, sa petite fille. Après un long voyage en bateau, ils débarquent dans une ville froide et grise, avec des centaines de réfugiés.
Monsieur Linh a tout perdu. Il partage désormais un dortoir avec d’autres exilés qui se moquent de sa maladresse. Dans cette ville inconnue où les gens s’ignorent, il va pourtant se faire un ami, Monsieur Bark, un gros homme solitaire. Ils ne parlent pas la même langue, mais ils comprennent la musique des mots et la pudeur des gestes. Monsieur Linh est un cœur simple, brisé par les guerres et les deuils, qui ne vit plus que pour sa petite fille. Philippe Claudel accompagne ses personnages avec respect et délicatesse. Il célèbre les thèmes universels de l’amitié et de la compassion. Ce roman possède la grâce et la limpidité des grands classiques.

Mon commentaire :
S'il est difficile d'écrire simple, il en est tout autant d'écrire profond. Car de cette maîtrise de la simplicité soulignée dans ce récit de Claudel, n'en ressort qu'un vague travail superficiel.
Relater des faits, notifier des descriptions anodines, décrire la vie de personnages convenus, pincer la corde vibrante du sentimentalisme bon enfant, sans autre surprise que l'arrivée d'un vague rebondissement, nuisent au roman dès lors que le support littéraire ne suit pas.

Une impression d'écriture précipitée transpire entre les lignes.
Faux jugement ? Erreur d'appréciation ? C'est une impression qui n'a pas plus de valeur critique qu'elle n'apporte aucune proposition en retour (qui, de surcroît, ne servirait à rien, puisque le livre est imprimé depuis longtemps).
« et puis là, les deux hommes se disent longuement au revoir en se disant bonjour. ».

Une phrase à retenir de ce livre, avant que l'ennui conforte sa présence au fil des pages.
Revenir en haut Aller en bas
coline
Parfum livresque
coline


Messages : 29369
Inscription le : 01/02/2007
Localisation : Moulins- Nord Auvergne

philippe claudel - Philippe Claudel - Page 6 Empty
MessageSujet: Re: Philippe Claudel   philippe claudel - Philippe Claudel - Page 6 EmptyMar 18 Mar 2008 - 14:49

La petite fille de monsieur Linh

Comme je l'ai lu après Le rapport de Brodeck (tellement fort!), j'ai failli être déçue par ce roman.
Sur une grande partie de la lecture, je me disais: "insignifiant", "pas crédible"...Et puis...et puis...vient le moment surprise (nous n'en dirons rien) qui donne toute sa dimension à l'ouvrage...et ce moment-là a changé totalement mon regard et mon appréciation sur cette histoire... aime
Revenir en haut Aller en bas
coline
Parfum livresque
coline


Messages : 29369
Inscription le : 01/02/2007
Localisation : Moulins- Nord Auvergne

philippe claudel - Philippe Claudel - Page 6 Empty
MessageSujet: Re: Philippe Claudel   philippe claudel - Philippe Claudel - Page 6 EmptyLun 31 Mar 2008 - 18:50

LE CAFE EXCELSIOR

« Nous délaissent sans prévenir les plus beaux de nos jours, et les larmes viennent après, dans les après-midi rejouées de solitude et de remords quand, nous avons atteint l’âge du regret et celui des retours. Les visages et les gestes que nous traquons dans l’ombre des puits de nos mémoires, les rires, les bouquets, les caresses, les silences boudeurs, les taloches aimantes, l’amour et le don de ceux qui nous mènent au seuil de la vie creusent notre souffrance autant qu’ils nous apaisent.

Nous vivons parmi de grands pans de lumière hachés de noir fracas. Il faut nous en convaincre. »

Le narrateur, orphelin de huit ans, fut confié trois ans à son grand’père. Ce dernier tenait un café dans un village, le Café de l’Excelsior. Un nom copié sur le prestigieux grand café de la ville la plus proche. Cette ville où, de temps à autres, le grand’père doit aller avec le gosse pour des formalités.

Dans le Café Excelsior du grand’père, antre exclusivement masculin, sous le regard de l’enfant,toute la vie du village, rapportée parle facteur, le chauffeur de car et les vieux qui viennent s’y retrouver. Jouer aux cartes, parler sans fin des parties de chasse ou de pêche qui permettent au grand ’père d’élaborer une fameuse spécialité.Et boire aussi…Et le grand ’père n’est pas le dernier…Il se perd dans l’alcool où il noie son chagrin.

« Viens donc Jules, disait au bout d'un moment un buveur raisonnable, ne réveille pas les morts, ils ont bien trop de choses à faire, sers-nous donc une tournée...
Et Grand-père quittait son piédestal, un peu tremblant, emporté sans doute par le souvenir de cette femme qu'il avait si peu connue, si peu étreinte, et dont la photographie jaunissait au-dessus d'un globe de verre enfermant une natte de cheveux tressés qui avaient été les siens, et quelques pétales de roses à demi tombés en poussière. Il saisissait une bouteille, prenait son vieux torchon à carreaux écossais et, lent comme une peine jamais surmontée, allait remplir les verres des clients. »


Mais si grand’père boit un peu, il aime et protège le petit.

« … et quand je posais ma petite tête de moineau contre la grosse chemise de laine, et sentait tout à la fois le parfum de bois brûlé, le souffle de vin, le soulèvement mesuré de la poitrine, j’embarquais pour un voyage dans une géographie chaleureuse, sans crainte ni redoute, au terme duquel, moi-même cédant au bon sommeil, je retrouvais la tiédeur tendre, enserrante et confuse, du réconfort premier. »

Le Café Excelsior est lieu de tendresse. Jusqu’à ce qu’un «un sbire à lunettes, étranglé dans le col amidonné d'une mauvaise chemise, ne décidât qu'au nom de la protection de l'enfance ma place était plutôt dans une morne et catholique famille d'accueil que dans un lieu de perdition liquide. »

Le récit est très court…On le dévore…On s’émeut…On rit…Douce lecture mélancolique !
aime


Dernière édition par coline le Lun 31 Mar 2008 - 19:03, édité 2 fois
Revenir en haut Aller en bas
coline
Parfum livresque
coline


Messages : 29369
Inscription le : 01/02/2007
Localisation : Moulins- Nord Auvergne

philippe claudel - Philippe Claudel - Page 6 Empty
MessageSujet: Re: Philippe Claudel   philippe claudel - Philippe Claudel - Page 6 EmptyLun 31 Mar 2008 - 18:52

LE CAFE EXCELSIOR

« Rien n’aurait dévié la route des ces astres mélancoliques qui avaient passé soixante-dix ans et plus : après avoir couché contre la vitrine leurs chars pétaradants, ces veufs improbables et ces maris égarés qui avaient de leur vie épuisé les surprises, se retrouvaient au vieux bistro et rompaient dans les blancs gommés et les roses picons l’éternité des jours moroses. »

"Mon grand-père tenait le Café de L’Excelsior, un bistro étriqué dont les mauvaises chaises et les quatre tables de pin rongées par les coups d’éponge composaient un décor en demi-teintes violines. L’endroit formait une enclave oubliée contre laquelle les rumeurs du monde, et ses agitations, paraissaient se rompre à la façon des hautes vagues sur l’étrave d’un navire. Tout y avait déjà la qualité de l’estompe, comme si le lieu s’apprêtait à se noyer dans un temps au fur et à mesure plus vorace, et qui ne tolérait ni la compassion pour les lieux inspirés, ni la noblesse des rares survivants qui ne cessaient de les hanter. Aujourd’hui, son souvenir en moi se pare d’ ailleurs d’un brouillard qui rend les traits confus. Je ne me souviens à vrai dire qu’incomplètement de L’Excelsior, ainsi que de mon grand-père : me reviennent pourtant avec la netteté franche que donnent aux émotions les amours électives, le dessin de ses mains rugueuses aux ongles souvent endeuillés de charbon, la masse écrasante de sa stature de chêne gaulois, et ses bons sourires, plissés du front au menton, accompagnant les mots q u’il me lançait après m’ a voir grondé pour quelques bêtises : « Va donc petit, je te pardonne, mange la vie car c’est du sucre à ton âge ! » Son estaminet était l’abreuvoir des dieux à mobylettes : ils y venaient tous, été comme hiver, malgré les brumes, les soleils aveuglants, les pluies glacées d’avril que rien ne semblait devoir arrêter et qui versaient sur la petite ville de mon enfance une froideur pressée aux parfums de terre ouverte."

Revenir en haut Aller en bas
Aeriale
Léoparde domestiquée
Aeriale


Messages : 18120
Inscription le : 01/02/2007

philippe claudel - Philippe Claudel - Page 6 Empty
MessageSujet: Re: Philippe Claudel   philippe claudel - Philippe Claudel - Page 6 EmptyLun 31 Mar 2008 - 19:05

Le Rapport de Brodeck-


Que dire de plus que vous ? C'est simplement magnifique ❤

Le Rapport de Brodeck, c'est l'histoire de l'humain. Une fable simple et belle sur ce qui ce qui le grandit et ce qui l'en éloigne. Un monde terrible où le crime rôde et unit les lâches et les faibles. Au travers des secrets, des différences, comment des hommes deviennent bourreaux lorsque leur univers les menace, juste pour faire taire les peurs.

Un roman puissant et grave, qui nous pénètre parce qu'il est un miroir de notre société et qu'on est forcé de se regarder en face, qui va aussi très loin dans l'horreur. Il y a des passages quasi insoutenables, des scènes d'une telle cruauté qu'on ne peut les chasser de l'esprit. Comme celles relatées dans le camp, où l' humain n'est plus rien, où "l'on porte la peur comme un vêtement" quand attaché à un collier on est prêt à ramper, juste pour survivre.
Citation :
Nous n'étions plus nous-mêmes. Nous ne nous appartenions plus. Nous n'étions plus des hommes.Nous n'étions qu'une espèce.

Un passage m'a marquée plus que les autres.
Citation :
Sceideidgger regarda vers la niche, s'arrêta et sembla hésiter.Il jeta des coups d'oeils autour de lui, et constatant que personne ne l'observait, vint rapidemment, s'agenouilla près de moi, fouilla dans sa poche, en sortit une petite clé et en quelques gestes tremblants, ouvrit la serrure de mon collier, puis ne sachant que faire de la clé, la jeta subitement par terre, comme si elle brûlait.
"Qui sait qui paiera pour cela..??"
Sceideigger avait murmuré ces mots, de pauvres mots de comptable en somme, minables et sans dignité, en me regardant pour la première fois dans les yeux, et attendant peut-être que je lui donne une réponse. Il avait le front couvert de sueur et la peau plus grise encore que d'ordinaire; Qu'espérait-il avec son geste? Un pardon? Le mien? Il resta ainsi quelques secondes à me fixer, implorant, craintif. Alors je me mis à aboyer, longuement, un très long aboiement , mélancolique et lugubre, qui fut repris et prolongé par les deux dogues. Sceideigger se releva brusquement, terrorisé, et s'enfuit en courant. "
Cette plainte de bête meurtrie jusqu'aux tréfonds de l'âme, elle résonne au fond de moi quand je lis ces quelques phrases et me bouleverse à chaque fois. C'est la plainte lugubre et effrayante de ce qui reste de l'humanité lorsqu'elle est confrontée à l'innommable, la barbarie la plus abjecte tapie dans les recoins de notre mémoire.

Profondément poignant.
Revenir en haut Aller en bas
Sophie
Sage de la littérature
Sophie


Messages : 2230
Inscription le : 17/07/2007
Age : 47
Localisation : Tahiti

philippe claudel - Philippe Claudel - Page 6 Empty
MessageSujet: Re: Philippe Claudel   philippe claudel - Philippe Claudel - Page 6 EmptyLun 31 Mar 2008 - 19:44

coline a écrit:
[/font]Le récit est très court…On le dévore…On s’émeut…On rit…Douce lecture mélancolique !
aime
[/font]
Je te conseille de lire Au revoir Monsieur Friant, qui est dans la même veine.
Revenir en haut Aller en bas
http://leslecturesdesophie.blogspot.com/
monilet
Sage de la littérature
monilet


Messages : 2658
Inscription le : 11/02/2007
Age : 74
Localisation : Essonne- France

philippe claudel - Philippe Claudel - Page 6 Empty
MessageSujet: Re: Philippe Claudel   philippe claudel - Philippe Claudel - Page 6 EmptyLun 31 Mar 2008 - 21:32

Si ce n'est fait, il vos faut lire Meuse, l'oubli.", son premier livre. (Plutôt à chercher en bibliothèque).
Revenir en haut Aller en bas
https://claudecolson.wordpress.com/
kenavo
Zen Littéraire
kenavo


Messages : 63288
Inscription le : 08/11/2007

philippe claudel - Philippe Claudel - Page 6 Empty
MessageSujet: Re: Philippe Claudel   philippe claudel - Philippe Claudel - Page 6 EmptyLun 31 Mar 2008 - 21:37

monilet a écrit:
Si ce n'est fait, il vos faut lire Meuse, l'oubli.", son premier livre. (Plutôt à chercher en bibliothèque).
Même pas.. Folio était si gentil de le rééditer content on peut le trouver en librairie
Revenir en haut Aller en bas
monilet
Sage de la littérature
monilet


Messages : 2658
Inscription le : 11/02/2007
Age : 74
Localisation : Essonne- France

philippe claudel - Philippe Claudel - Page 6 Empty
MessageSujet: Re: Philippe Claudel   philippe claudel - Philippe Claudel - Page 6 EmptyLun 31 Mar 2008 - 21:43

Ah, j'ignorais. Merci, Kénavo.
Revenir en haut Aller en bas
https://claudecolson.wordpress.com/
coline
Parfum livresque
coline


Messages : 29369
Inscription le : 01/02/2007
Localisation : Moulins- Nord Auvergne

philippe claudel - Philippe Claudel - Page 6 Empty
MessageSujet: Re: Philippe Claudel   philippe claudel - Philippe Claudel - Page 6 EmptyMar 1 Avr 2008 - 0:50

Sophie a écrit:
coline a écrit:
[/font]Le récit est très court…On le dévore…On s’émeut…On rit…Douce lecture mélancolique !
aime
[/font]
Je te conseille de lire Au revoir Monsieur Friant, qui est dans la même veine.

Oui oui j'ai prévu!content
Revenir en haut Aller en bas
coline
Parfum livresque
coline


Messages : 29369
Inscription le : 01/02/2007
Localisation : Moulins- Nord Auvergne

philippe claudel - Philippe Claudel - Page 6 Empty
MessageSujet: Re: Philippe Claudel   philippe claudel - Philippe Claudel - Page 6 EmptyMar 1 Avr 2008 - 0:51

monilet a écrit:
Si ce n'est fait, il vos faut lire Meuse, l'oubli.", son premier livre. (Plutôt à chercher en bibliothèque).


Ca aussi c'est prévu!...Et j'espère bien le trouver en librairie...content
Revenir en haut Aller en bas
Sophie
Sage de la littérature
Sophie


Messages : 2230
Inscription le : 17/07/2007
Age : 47
Localisation : Tahiti

philippe claudel - Philippe Claudel - Page 6 Empty
MessageSujet: Re: Philippe Claudel   philippe claudel - Philippe Claudel - Page 6 EmptyMar 1 Avr 2008 - 4:05

coline a écrit:
monilet a écrit:
Si ce n'est fait, il vos faut lire Meuse, l'oubli.", son premier livre. (Plutôt à chercher en bibliothèque).


Ca aussi c'est prévu!...Et j'espère bien le trouver en librairie...content

Si tu ne le trouves pas, je pourrai le mettre au cerclage, quandje l'aurai extrait de son carton. innocent
Revenir en haut Aller en bas
http://leslecturesdesophie.blogspot.com/
Contenu sponsorisé





philippe claudel - Philippe Claudel - Page 6 Empty
MessageSujet: Re: Philippe Claudel   philippe claudel - Philippe Claudel - Page 6 Empty

Revenir en haut Aller en bas
 
Philippe Claudel
Revenir en haut 
Page 6 sur 17Aller à la page : Précédent  1 ... 5, 6, 7 ... 11 ... 17  Suivant
 Sujets similaires
-
» Philippe Claudel
» Chaîne de lecture décembre 2012
» Camille Claudel
» Paul Claudel
» Philippe Grimbert

Permission de ce forum:Vous ne pouvez pas répondre aux sujets dans ce forum
Parfum de livres… parfum d’ailleurs :: Le cœur du forum : Commentons nos lectures en toute liberté… :: Littérature française (par auteur ou fils spécifiques)-
Sauter vers: