Un artiste en passant

Les toiles de Veks Van Hillik sont excellentes, je ne connais pas du tout cet artiste, mais mon petit doigt me dit que je vais partir à la pêche aux renseignements !

C'est beau Coli.

J'aime bien l'ambiance Misery.

"Occupant une place à part dans la peinture, entre le dernier romantisme et l'éclosion du divisionnisme italien, Giovanni Segantini fut formé à l'académie de Brera à Milan, où il suivit des cours de peinture de 1875 à 1879. Vers 1880 le peintre, maître de ses moyens d'expression, se lie avec le marchand Vittore Grubicy de Dragon qui aura l'exclusivité de sa production. Entre 1880 et 1890, les thèmes « réalistes » prennent une place déterminante dans l'œuvre de Segantini. Durant les dernières années de sa vie, les paysages alpinsAlpes en mai, G. Segantini deviennent le thème privilégié de l'artiste, qui meurt dans une grange de montagne, au Schafberg, alors qu'il achevait le Triptyque de la vie (il sera exposé, en 1900, à l'Exposition universelle de Paris pour laquelle il avait été conçu. Musée Segantini, Saint-
Moritz)."

Encyclopaedia Universalis

Le cattive madri


Il castigo delle lussriose

Petalo di rosa

Death

Découvert à travers la BD Le Postello :

Citation :

Hermann Amann, né en 1934 à Bad Bellingen, est un peintre, aquarelliste, artiste de performance et graveur allemand.

Amann est un théoricien plasticien. Il n’utilise pas la couleur pour peindre. Il peint la couleur.
Hervé Richez

József Rippl-Rónai, un nabi hongrois.























La septième image est utilisée comme affiche pour l'exposition qui va ouvrir au musée du Luxembourg (Les trésors du musée de Budapest).

elle est de quand à quand cette expo ?

9 mars -10 juillet.

Bon expo! Et si je passe par là....

Citation :

Marthe Donas (Anvers, 26 octobre 1885 - Audregnies, 31 janvier 1967), peintre belge, est dite aussi Tour Donas ou Tour d’Onasky.

En 1916, après un détour par l'Irlande où elle apprend la technique du vitrail, Marthe Donas atterrit à Paris, point de rencontre par excellence de tous les artistes. Marthe y découvre le cubisme dans l'atelier d'André Lhote. Elle séjourne quelque temps dans l'atelier du sculpteur Archipenko et devient membre du groupe la Section d'Or ou groupe de Puteaux, dont font partie de nombreux artistes, parmi lesquels Léger, Braque, Gleizes, Duchamp, Brancusi, Kupka et Archipenko. Elle éveille l'intérêt d'autres artistes de l'avant-garde européenne. Dans la revue De Stijl de Theo van Doesburg paraissent différents articles qui lui sont consacrés. En 1921, elle expose à la galerie Der Sturm à Berlin chez le célèbre marchand de tableaux Herwarth Walden.

Donas passe du cubisme à l'art abstrait. Sa toute première œuvre abstraite date de 1917. Elle est la première femme à représenter la peinture abstraite en Belgique. Dans le catalogue de la Société Anonyme, Inc., la collection d'art de Katherine Dreier qui est conservée à la Yale University aux États-Unis, Dreier la nomme the first woman abstract painter.

Dans la production artistique du xxe siècle, Marthe Donas occupe une place importante. Michel Seuphor qualifiera son œuvre de cubisme quasi abstrait et la classera parmi les pionniers de l'art abstrait.

De 1927 à 1947 Marthe Donas interrompt sa carrière artistique pour la reprendre avec joie et succès jusqu'en 1967 date de sa mort. Un musée lui est consacré à Ittre, en Belgique

source: Wikipédia

du 05.03.16 - 05.06.16, grande expo au Musée des Beaux Arts à Gand: le site

J'en remets une couche :


Inganess Bay, 1999

animal a écrit:

En espérant se fendre d'un vrai fil un jour...

Jock McFadyen


Aldgate East



Tate Moss



Kill Matthew Barney



A Young and Active Man Could Have Got within a Few Feet of the Creature and a Writer or Artist May Have Contributed to the Solution of the Problem



When Not Driving Fast Cars Queenie Loved to Dance



Hawksmoor and Golden Wonder


et pour de réussies photos de l'auteur et d'autres tableaux : spitalfieldslife.com ou bbc.co.uk

La Nature est abstraite  - René LAUBIES

Exposition Galerie Alain Margaron,
5, Rue du Perche, Paris 3e.
Jusqu' au 7 mai




« Je me souviens encore du premier matin, en 2001, avant l’arrivée des visiteurs, où j’ai accroché des œuvres de Laubiès à la galerie. Bien sûr qu’elles étaient belles, ces aquarelles et ces petites huiles, d’autant que l’artiste puise son inspiration dans la nature, et que, comme il me le dira plus tard, «la nature n’est jamais laide, le soir au couchant le soleil peint pour moi d’immenses tableaux. La peinture est avant tout une fête de la couleur. Mais cela ne veut pas dire faire joli ».  Alain Margaron

"La Galerie Alain Margaron  expose un important corpus d’œuvres des années 60 de l’artiste René Laubiès (1922-2006).   L’exposition rassemblera 40 œuvres, toutes réalisées entre 1960 et 1969. Si elles ne sont pas Sans Titre, les œuvres sont intitulées Bahia, Mykonos ou encore Le désert des apparences comme autant de voyages qui marquent sa période artistique des années 60.   Trois œuvres présentées dans l’exposition portent le titre Iran, datées de 1968 et 1969, et  sont marquées par l’empreinte de ce pays où l’artiste les a réalisées. D’abord exécutées sur papier, elles sont ensuite marouflées sur toile. La couleur jaune, tirant tantôt vers le terre de Sienne, tantôt vers le vert, baigne subtilement ces œuvres inspirées par la lumière et par la nature de l’Iran. Ce sont ainsi les variations des éléments fondateurs, l’air et la terre, dont l’artiste retranscrit l’expérience.   D’autres œuvres, souvent Sans titre, sont réalisées à l’encre de Chine, mettant ainsi l’accent  davantage sur le passage du pinceau, les formes étirées qui suggèrent pourtant la profondeur de champ et de mouvement. En ce sens, René Laubiès se rapproche des peintres du nouveau monde : les américains, les expressionnistes abstraits comme Franz Kline ou encore Jackson Pollock à qui l’artiste trouvait plus de « souffle », selon ses propres mots.   René Laubiès est indiscutablement l’un des représentants majeurs de l’abstraction lyrique, dont il a contribué à définir le développement. Pour l’artiste, ce n’est pas le visible mais l’invisible qu’il s’agit de reproduire. Ses tableaux ne sont pas statiques, leurs couleurs se concentrent puis se dissolvent sans se laisser fixer ; elles coulent dans un flux continu. Dans sa pleine maturité, son œuvre propose des formes anthropomorphes ou zoomorphes qui se fondent dans les  flux de l’univers, à la pointe extrême de l’apparition et de la disparition, tout en posant la question de la vision et du regard.   A partir des années 60, si la mobilité de l’artiste s’accentue, ses œuvres, elles, sont davantage exposées et collectionnées aux Etats-Unis qu’en Europe (à l’exception de l’Allemagne et de l’Italie), notamment par les musées de Pittsburg et Buffalo. C’est d’ailleurs le musée allemand de Bochum qui lui consacrera sa première rétrospective, en 2007."

Ce peintre me parait suffisamment pour mériter une place à part original. Né en 1924, et mort en 2006. Il a traversé le 2O e sicècle. Influencé par une
forme de bouddhisme et par le taoisme, il est aparu comme un OVNI. Rattaché contre son gré à un mouvement dit "nuagiste".
Oublié dès les années 60, il reparait alors que des mouvments entiers qui occuppaient la scène ont plus ou moins disparu.
De l' influence des gouts et des marées... B

Ce qui me touche dans ce style de peinture, c' est une forme de fraicheur, d' humilité, et les influences, tant asiatiques qu' autres sont un plus.

Merci bix pour la découverte.

Citation :

Amédée Ozenfant, né le 15 avril 1886 à Saint-Quentin, (Aisne) et mort le 3 mai 1966 à Cannes (Alpes-Maritimes), était un peintre français.

source et suite

découverte ce matin à cause de mon calendrier art

Ah oui très joli. On sauterait bien dedans!